Dans Le Regne Des Fins De Kant

Un humanisme esthétique est né, parallèle à celui qu'institue la politique. Dès lors, la question de la création va pouvoir se poser- là où partout auparavant, l'art n'était que le reflet d'un autre monde. Dans la critique de la faculté de juger, Kant jettera les bases d'une conception du goût qui dépassera l'opposition du rationalisme et du matérialisme pour fonder l'essentiel des théories du génie reprises par le Romantisme. Le beau n'est ni le vrai, comme le pensent les classiques, ni l'agréable

sans réfléchir sur la caducité des empires et des hommes, sans porter le deuil de cette vie passée puissante et riche ? Ce n'est pas comme devant la tombe des êtres qui nous furent, un deuil qui s'attarde aux pertes personnelles et à la caducité des fins particulières : c'est le deuil désintéressé de la ruine d'une vie humaine brillante et civilisée. » L'histoire, avec ses ruines, est toujours plus forte que l'homme avec ses empires. Enfin nous entendons les plaintes bruyantes des individus

KANT (Emmanuel) 1724-1804 Article écrit par Louis GUILLERMIT Prise de vue La meilleure image que l'on puisse proposer de la nouveauté que Kant introduit dans l'histoire de la pensée et qui le promeut au rang du petit nombre des très grands philosophes de tous les temps, c'est peut-être celle à laquelle il songea lui-même pour qualifier le changement de méthode dont il faisait l'essai en philosophie : celle de la révolution opérée par Copernic en astronomie lorsqu'il supposa que le centre

Faut-il chercher une finalité dans l’Histoire ? Programme, notions : [L’esprit des Lumières et leur destin] a) Introduction de culture générale  Problématique qui a rapport avec un texte de Kant (avoir lu Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique + Qu’est-ce que les Lumières ?). 18ème (période qui débouchera sur Révolution): se développe avec puissance inconnue jusqu’alors un certain nb de philosophies et de courants de pensées qui vont transformer monde (occidental en

personne d’un incendie est une action morale. Mais si l’objectif n’est pas tant de sauver la personne que de devenir célèbre et apprécié, on s’accorde à dire qu’il ne s’agit pas d’une action purement morale. L’action morale se caractérise ainsi par ce que Kant appelle la « pureté du vouloir », c’est à dire la réalisation d’un acte sans penser à soi. L’action morale doit donc être réalisée par devoir, et non par intérêt. Agir moralement entre en contradiction avec la recherche individuelle du bonheur. Le

situations. Cela fait appel aux capacités de l'homme à faire le bien Chez Kant, le respect est un sentiment moral. Le respect ne repose pas sur la nature des hommes mais sur leur raison. La nature humaine chez Kant est divisé en: une partie intelligible où l'homme = la raison = l'autonomie une partie sensible composée des désirs, des tendances, des besoins, des inclinations égoïstes Pour Kant, il faut humilier la partie sensible et sublimer la partie intelligible (ce qui

c’est-à-dire de plus en plus efficaces. Mais on ne peut être sûr de parvenir à un modèle qui « coïncide » tout à fait avec la nature et, même alors, on peut envisager plusieurs modèles possibles. 3ème Partie : Kant (Nietzsche cf. texte du commentaire) La position adoptée par Kant peut apparaître comme une conciliation. L’observation des phénomènes en dépit de leur apparente régularité ne permet pas d’affirmer l’existence de lois inhérentes à la nature. Ce n’est pas parce que tels phénomènes

relève-t-il du « toujours » ? 1- Une beau apparemment relatif - relativité culturelle Pensée selon laquelle la beauté n’est qu’une norme issue d’une société, ou d’une culture donnée. En Chine, une belle femme est caractérisée par des traits fins ; les Espagnols ont appris à trouver belle la corrida par exemple. La beauté semble s’apprendre progressivement, elle relève, selon cette vision, de l’acquis et non de l‘inné, de la culture et non de la nature. Tout ce que nous trouvons beau ne serait

parfaitement secondaires ont pu mener à d’effroyables guerres de religion, les institutions religieuses plus que la religion elle-même sont à blâmer : l’instrumentalisation du fanatisme et de la superstition par les institutions religieuses, à des fins de pouvoir, est à mettre en cause. L’explication est certainement pertinente mais guère suffisante. Les relations entre religion et violence restent un mystère pour les stoïciens, peut-être attachés à une vision trop optimiste de la religion. L’épicurisme

différente de la philosophie. Or nous avons souvent perçu la philosophie comme étant trop éloignée de la réalité. Cependant les héros des séries télévisées peuvent éventuellement devenir nos nouvelles références philosophiques, soient des concurrents face à Kant, Schopenhauer, ou encore Spinoza. De plus, l’auteur encourage les téléspectateurs de penser « productif » il ne suffit pas de regarder la télévision. Il faut pousser sa réflexion pour en tirer une conclusion intéressante. Le livre est bien répartit