De rerum natura

imbecillitatem atque inopiam desiderata sit amicitia, ut dandis recipiendisque meritis quod quisque minus per se ipse posset, id acciperet ab alio vicissimque redderet, an esset hoc quidem proprium amicitiae, sed antiquior et pulchrior et magis a natura ipsa profecta alia causa. Amor enim, ex quo amicitia nominata est, princeps est ad benevolentiam coniungendam. Nam utilitates quidem etiam ab iis percipiuntur saepe qui simulatione amicitiae coluntur et observantur temporis causa, in amicitia autem

considéré comme le maître de l'éloquence et du beau style, il aurait donné ses conseils au poète. Or CICÉRON qui était vantard n'en parle nulle part. En fait, la critique moderne a montré que le rôle de CICÉRON s'est limité à celui d'éditeur du DE NATURA RERUM. Il faut donc nous ranger à la thèse d'une mystification consciemment orchestrée (JÉRÔME, même si on lui accorde des circonstances atténuantes telles que l'ignorance ou la difficulté de disposer d'informations fiables en cette période troublée

Comparaison stoïcisme et épicurismeEpicurisme Côté Jardin (texte : De rerum natura de Lucrèce) Stoïcisme A l’ombre du portique (texte : Lettres à Lucius de Sénèque) Lieu :Dans un jardin athénienLieu :Sous un portique proche de l’Agora d’Athènes Fondateur :Epicure (341-270 av. J.C.)Fondateur :Zénon de Kition (né

revendique le passionné : d’avoir trouvé un être incomparable, unique et exceptionnel, ce qui peut être incompréhensible ou ridicule pour des regards extérieurs. Deux textes peuvent être en ce sens médités. Premièrement , un passage du De Natura rerum de Lucrèce, et un autre de Molière extrait du Misanthrope. La passion trop souvent ferme les yeux aux hommes et ils attribuent à la femme aimée des mérites qu'elle n'a pas. En est-il assez de contrefaites et de laides, dont on les voit faire leurs

arrivèrent à la fin de l’âge de la pierre vers 6000 av. J.-C., l’Europe, le reste de l’Asie et l’Afrique vers 4000 av. J.-C. et les civilisations des Amériques vers 2500 av. J.-C. Cet âge est déjà évoqué comme hypothèse philosophique dans le De natura rerum de Lucrèce1. Âges préhistoriques La Préhistoire s'étend du Paléolithique au Néolithique. La Protohistoire s'étend du Chalcolithique à la Tène. « Âge de la pierre » Paléolithique (Paléolithique inférieur · Paléolithique moyen · Paléolithique

Cicéron, De Natura Deorum, Livre II. Texte latin (107 mots) Praeterea ipsorum deorum saepe praesentiae, quales supra commemoraui, declarant ab is et (in) ciuitatibus et singulis hominibus consuli; quod quidem intellegitur etiam significationibus rerum futurarum, quae tum dormientibus, tum uigilantibus portenduntur; multa praeterea ostentis, multa in extis admonemur multisque rebus aliis, quas diuturnus usus ita notauit, ut artem diuinationis efficeret. (167) Nemo igitur uir magnus sine aliquo

Lucrezio – brani TRADUZIONE E ANALISI BRANI DE RERUM NATURA – LUCREZIO L’INNO A VENERE (I, 1-43) – pag. 351 e seguenti (vol. 1) Madre degli Eneadi, piacere degli uomini e degli dei, Venere datrice di vita, che sotto gli astri che scorrono del cielo popoli il mare ricco di navi, che (popoli) le terre feconde di messi, poiché attraverso di te ogni genere di esseri animati è concepito e vede, una volta nato, i raggi del sole: te, o dea, te fuggono i venti, te le nubi del cielo e il tuo arrivo, per

supériorité divine. Son discours reflète bien son orgueil et il est volontairement mis en scène comme tel avec l'adverbe " fièrement ". v 531, et l'image du naufrage qu'il développe aux vers 533 et 534. Image reprise à l'ouverture du livre II de De natura rerum de Lucréce : " il est doux, quand sur la vaste mer les vents soulèvent les flots, d'assister de la terre aux épreuves d'autrui ". Par une métaphore, Racine associe la relation amoureuse d'abord à un naufrage puis à un orage. Ce lexique est emprunté

de la mort. Dans «Dans la Mort et le Mourant», La Fontaine met en scène le personnage de la Mort donnant à un vieillard, qui ne veut pas mourir et ne s'est guère préparé à ce jour fatal et commun à tous, une leçon de sagesse. En s'inspirant du Naturae rerum de Lucrèce*, La Fontaine développe un discours sur la proximité de la mort qui peut surgir à tout instant de notre vie, que l'on soit jeune ou vieux, et qui nous révèle sans cesse la finitude et la fragilité de l'existence: «la mort ravit tout

Ensuite, de ce dépit des succès d’autrui et de ce désespoir de réussir soi-même vient cet esprit qui s’irrite contre la fortune et qui se plaint du siècle et qui se replie dans son coin et qui couve son chagrin dans son dégoût et son découragement. Natura enim humanus animus agilis est et pronus ad motus. =>En effet, par nature, l’esprit humain est actif et enclin au mouvement. Grata omnis illi excitandi se abstrahendique materia est, gratior pessimis quibusque ingeniis, quae occupationibus