De Tocqueville Machiavel

révoltuons qui vont, réunis ensemble, offrir les conditons d'mergence de la sociologiqe. -Une révolution conceptuelle. La pensée religieuse est remplacée par une pensée autonome du monde social. C'est tous les penseurs de la renaissance ( Descartes, Machiavel.. ). Et donc l'emergence d'une pensée scientifique. - Une révolution industrielle, et donc transformation globale de l'ordre social. On passe d'une société ou majorité de la population est faite de paysans à une société qui est essentiellement

démocraties, certains exemples récents … P. Braud nous met en garde vis-à-vis d’une logique selon laquelle il ne faudrait considérer comme violence que ce qui n’est pas considéré comme légitime. Il s’agit donc de s’affranchir de tout jugement moral. -Machiavel. -Hobbes, guerre de tous contre tous 2) Typologie - Paul Wilkinson a proposé une typologie de la violence politique afin de délimiter le champ des actes que recouvre ce concept. En s’inspirant des travaux de Samuel Huttington, il propose de

est une invention relativement récente, que l'on peut attribuer à Machiavel qui, le premier, fait des "nécessités" un principe directeur de l'ordre constitutionnel. Ceci ne signifie pas que le pouvoir exécutif en tant que tel n'existe pas auparavant, mais cet exécutif est alors "démesuré (…), rejette toute limite constitutionnelle et s'empare du pouvoir pour lui-même (…)" (Mansfield, 1989, pp.125-126). La problématique de Machiavel est alors d'intégrer cet exécutif dans un ordre politique stabilisé3

MACHIAVEL porte un regard technique sur la politique, il ne se soucis pas de ce que devrait être une bonne politique mais se soucie de ce qu’est une politique efficace, il n’est pas dans une approche morale de la politique mais essaye de comprendre ce qui est, comment ça fonctionne. Il porte donc un regard désenchanté de la politique : ce sont des pratiques de pouvoirs, ce qui l’intéresse ce sont les pratiques pour conserver le pouvoirs ou celle qui font risquer de le perdre. MACHIAVEL cherche

d’Aristote, furent la préfiguration ou l’ancêtre de la « science politique ». La renaissance, avec l’œuvre de Machiavel (le Prince), et ensuite celle de Montesquieu. (Esprit des lois), de J. Locke (Gouvernement civil), de J.J Rousseau (contrat social) aux 17ème et 18ème siècles, n’ont pas permis son décollage définitif en raison respectivement du poids du jugement de valeur (Machiavel ayant après avoir construit « empiriquement » les formes de gouvernement : La République, le Royaume et la principauté

philosophie médiévale 26 Saint Augustin (354-430) 26 Anselme (1033-1109) 27 Saint Thomas d’Aquin (1225-1274) 27 La modernité 28 La Renaissance 28 L’héliocentrisme et la révolution scientifique (Copernic, Kepler, Galilée, Newton) 28 Nicolas Machiavel (1469-1527) 29 Etienne de La Boétie (1530-1563) 29 Michel de Montaigne* (1533-1592) 30 Thomas Hobbes (1588-1679) 30 La modernité (xviie siècle) 31 René Descartes (1596-1650) 31 Blaise Pascal* (1623-1662) 32 Baruch Spinoza* (1632-1677) 33

XVIIe siècle chez  Thomas Hobbes  (1588-1679) ou dans La Science nouvelle de  Giambattista Vico  (1668-1744), plus tard chez  Montesquieu  (1689-1755) et  Alexis de Tocqueville  (1805-1859) pour ne citer que quelques grands noms. Le débat récurrent porta sur le contenu de cette science. À l’origine, ce fut surtout la philosophie et, dans une moindre mesure l’histoire, qui alimentèrent la réflexion sur la politique

terrestre n’est qu’un passage en vue du rachat du salut, accéder à la communauté des chrétiens, la cité céleste (Saint Augustin). En temps de guerre entre états, la victoire sera déterminée par la volontiers de dieu, et non sur sa stratégie (Machiavel). Le « bon » prince doit être catholique, livre des guerres au nom du dogme (croisades, reconquête de la terre sainte). On parle de vertues théologales, vertus envers Dieu. Le prince agit en fonction de la foi, de l’espérance, la charité. Les vertus

Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Période moderne : Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ; Malebranche ; Leibniz ; Vico ; Berkeley ; Condillac ; Montesquieu ; Hume ; Rousseau ; Diderot ; Kant. • Période contemporaine : Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ; Russell ; Bachelard ;

servitude douce et paisible destinée à enfermer les peuples dans un faux confort. S'il paraît être au service de ceux-ci, c'est pour assurer sa propre domination. Ce cas de figure est également très dangereux et a notamment été pointé du doigt par Tocqueville. Mais me direz-vous, pourquoi se passer de l'État s'il semble à même d'offrir ce que le peuple attend? Certes les hommes ne seraient pas véritablement libres, mais cette illusion de liberté n'est-elle pas suffisante? Je vous répondrais que non