Décalogue

deux séries de dispositions : · Celle qui concrétise les résultats de la conférence dans chacune des trois corbeilles · Les dispositions qui posent les dix principes fondateurs de la coexistence pacifique et qui constituent donc le décalogue d’Helsinki. Ce décalogue ne vise lui-même qu’à fixer une sorte de code de bonne conduite entre les Etats participants et on y retrouve des principes classiques du droit international public comme le principe du non recours à la force, du respect des droits des

moise de ce que continent les quatre livres précédents. Ces cinq livres sont également appelés pentateuque. Ces textes, rédigés dans différentes régions, pas toujours à la même époque et par des auteurs différents. La base de ces textes est le décalogue (les dix commandements). Le droit est quelque chose qui est révélé par Dieu, donné par Dieu. * Le théocentrisme juif C’est la doctrine en vertu de laquelle Dieu est à l’origine de tout. Dieu est premier. Il est créateur de l’univers, créateur

un ensemble d'ensemble : théorie pluriste. Il y a bien uité du droit mais aussi diversité. Il y a une distiction entre droit positf et droit naturel. Le droit naturel, inscrit dans la nature, primerait sur le droit positif ( droit posé). Ex : le décalogue ibraïque tu ne tuera point ! Les être vivant aurait le droit à la vie => c'est un droit universel mais il y a des exception ex pour les bourreau ou en cas de légitime défense ou un militire. La peine de mort est abolit en fr depuis 1981 : somme nous

proclament droit et convention. Dans ce cas, l’état prend pour socle le droit divin et l’Etat devient l’application de la loi de Dieu. Si l’on ne prend que l’exemple de l’Etat juif, concrétisé par la création d’Israël mais qui dès la découverte du décalogue existait : car Dieu avaient réuni les hommes sous les mêmes lois, leurs offrant les mêmes droits à l’origine de la fondation de l’Etat. Alors Dieu, si l’on en croit ses dires, veut que l’on fonde l’Etat sur le droit, mais sur Son Droit, le droit

Eve, la nature peut nous renseigner sur les faits, mais pas sur l’éthique, pas sur la morale, pas sur les valeurs. Ce qui est juste et injuste ne peut résulter que de la loi, de la volonté, et non plus de la connaissance. Cette volonté, celle du décalogue, qui sera des siècles plus tard sécularisée, sera la loi du léviathan. On entre ici dans l’antichambre du positivisme, ce qui doit être n’est pas objectif, c’est le fruit d’une volonté investi du soin de dire ce qui est valide (ni vrai ni faux),

on[Qui ?] ne doit pas mentir pour éviter un meurtre, car l’obligation de dire la vérité est absolue et ne tolère aucune condition particulière5. Un ensemble de règles appliquées a priori et ayant le statut d’obligations morales. Par exemple, le décalogue et la règle d’or ou l’éthique de réciprocité. L'éthique des droits provient des droits de l'homme. Cette invention moderne est attribuée originalement à Rousseau et établit pour la première fois pour l’homme un ordre moral indépendant du cosmos

si on leurs demander de donner les caractéristiques de ce qui est bien, et de ce qui est mal. Une première approche serait de dire qu’il existe des autorités qui nous indiquent ce qui est bien et ce qui est mal. Cela pourrait commencer par le décalogue de la bible avec les 10 commandements. Ainsi, on comprend bien que respecter les commandements c’est bien, et ne pas le faire c’est mal. Cela dit, ces 10 commandements dans l’histoire, sont relativement récents. Et avant ? Il y avait bien des hommes

Il y a une proximité apparente sur le contenu et sur la structure même des règles de morale. a) Une proximité apparente Le droit et la morale sont tous 2 des moyens de régulation des comportements humains danss la société. Ex : le Décalogue, « Tu ne tueras point », « Tu ne commettras pas l'adultère » (...), morale spirituelle qui est devenue source du droit. Dans le droit civil (des obligations), on remarque l'existence de règles morales classiques : tenir sa parole (art 11-134)

principe, tout le monde s'accorde à peu près. Toutes les religions, toutes les législations ont les mêmes interdits fondamentaux : tuer, voler, mutiler (hormis à titre rituel) ou faire souffrir, mentir (pour les plus exigeantes d'entre elles), etc. Le décalogue est un exemple de répertoire d'interdits fondamentaux. Ces interdits, suivant les religions considérées, s'appliquent soit uniquement aux membres de la même religion, soit à toute l'humanité. En pratique, certaines situations amènent pourtant à

fondateurs, un enseignement (c’est l’origine du mot Torah), un savoir (c’est le sens en sanskrit du mot Véda), un ou plusieurs livres (Biblia en grec), une lecture ou une récitation (Coran en arabe), des principes, des règles, des commandements (le Décalogue dans l’Ancien Testament), bref une révélation ou une tradition, mais assumée, respectée, intériorisée, à la fois individuelle et commune (d’où les deux étymologies possibles qui peuvent se rejoindre : relire, même séparément, les mêmes textes, cela