Decentralisation Departement Providence

être tentées de contrôler beaucoup moins les associations sportives qui leur sont favorables et proches culturellement. On peut se demander si les nouvelles formes de proximité entre élus associatifs et élus politiques locaux, suscitées par la décentralisation, offrent bien aux clubs sportifs une possibilité de renforcement démocratique de la vie associative ou au contraire renforcent les jeux de pouvoir, dans des stratégies d‟acteurs parfois complexes. Cette proximité institutionnelle qui est revendiquée

Plusieurs concours sont déjà concernés : secrétaires administratifs, attachés des IRA, magistrats … La fonction publique territoriale : Elle offre des postes et des responsabilités proches des réalités du terrain. C’est dans les régions, les départements, les communes, les établissements publics (offices de HLM, syndicats intercommunaux, services départementaux d’incendie et de secours, etc.) que l’on trouve le plus de postes. En 2008, la fonction publique territoriale offrait ainsi plus de 24 000

autres finances (internationales et territoriales). L’Etat verse des dotations au territorial, pour l’Etat c’est une dépense, pour le territoriale c’est une recette. Depuis les années 80, l’Etat a transféré ses compétences et son pouvoir (décentralisation mais l’Etat doit aussi transféré le budget, les ressources pour effectuer ces compétences par compensation (mais ce n’est pas toujours le cas !)). Les collectivités locales sont autonomes financièrement : Elles disposent la liberté de

indemnisait 16,9 % de personnes de plus qu’un an auparavant. Face à la crise, le gouvernement a redécouvert les vertus de l’indemnisation chômage, qui évite, au moins à court terme, l’exclusion définitive du marché du travail Retourengrâcedel’Etat-providence n janvier 2009, les inscriptions à Pôle emploi, le service public né de la fusion de l’ANPE et de l’Assedic, se sont envolées. La crise sociale se confirmait. Dans un tel contexte, le gouvernement a fait le choix de s’appuyer sur les mécanismes

grande autonomie au sein de la République française, avant d’accéder éventuellement à l’indépendance à l’issue d’une période transitoire de vingt ans. En mars 2003, le Parlement a à nouveau modifié la Constitution pour ouvrir la voie à la nouvelle décentralisation souhaitée par le Premier ministre Jean Pierre Raffarin. Le texte constitutionnel révisé autorise l’organisation de véritables référendums locaux et permet de nouveaux transferts de pouvoirs de l’Etat vers les collectivités locales. 2) Un droit

un mouvement social en mesure de coaliser classes moyuennes et précaires – la production des HLM s'est rapporchée du marché “au nom de la qualité” – incapable de produire un discours sur le sens de l'action HLM Source : “Les HLM, l'état providence vu d'en bas” Yann Maury, l'Harmattan 2001 C'est à travers les politiques d'attribution des logements sociaux que sont mises en pratiques ces différentes conceptions de la fonction du logement social. b) Quelle politique d'attribution pour

1959 qui en a fixée le cadre juridique le budget de l’Etat. Elle a ensuite été remplacée par la LOLF en 2001 qui est entrée en vigueur en 2006. • Concernant, le droit budgétaire des collectivités territoriales est né en 1982 au moment de la décentralisation. B. L’évolution d’une finance publique classique vers une finance publique moderne 1. Finances publiques classiques (restauration à entre deux guerres) : • Les finances publiques classiques correspondent à un contexte

développement humain » 2.3. Le rôle des diasporas dans le développement des localités d’origine . . . . . . . . . . . .38 2.4. Le renforcement des capacités, condition de la participation citoyenne . . . . . . . . .38 . . . .41 2.5. La décentralisation n’est pas le développement local, mais doit y contribuer rapport annuel 2008 enda 3. Education et formation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45 . . . . . . .47 3.1. Quand

.................................................................. 17 A. La notion de décentralisation ......................................................................................................................... 17 B. Les garanties constitutionnelles de la décentralisation ................................................................................... 17 C. Les limites de la décentralisation .......................................................................................

d'information), Y. DESRICHARD, Rédacteur en chef du Bulletin des Bibliothèques de France, service des éditions de l'enssib, T. ERMAKOFF, Directeur du Département des Services aux Bibliothèques de l'enssib, T. GIAPPICONI, Directeur de la Bibliothèque municipale de Fresnes, G. PERRIN, Inspecteur général des Bibliothèques et F. ROUET, Chargé de recherches au Département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS) du Ministère de la Culture et de la Communication. GIRAUDON Anne | DCB 18 | Mémoire