Decentralisation Departement Providence

défauts de la société . l'état va en principe se limiter a tenter de réduire les inégalités mais il doit avant tout protéger les libertés et la propriété privée . Dans les états de conception de sociale démocratie l'état a été conçu comme un état providence qui le conduit donc à s'imicer toujours plus dans la vie économique et sociale, aucun domaine ne devant lui resister à priori (soutenir les investissements, contrôler les conditions de travail, suveiller l'aménagement du territoire ...) l'état va

1 UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ET POLTIQUES COURS DROIT ADMINISTRATIF DEMBA SY DEPARTEMENT DE DROIT PUBLIC AVANT-PROPOS 1°°) Conception de l'enseignement Le droit administratif, objet de cet enseignement pose problème. En France, un débat s'est instauré sur sa pertinence, sa nécessité, son enseignement, ses fonctions etc. Le problème est d'une plus grande acuité dans les pays d'Afrique francophone qui ont repris le droit administratif français. 2 Si

constater à la fois en économie et dans la géographie, elle-même en émergence. 18Au tournant du siècle, comme l’a montré Fellmann (1986), une poignée de départements d’économie d’universités nord-américaines offraient des cours de géographie économique. La Wharton School de l’université de Pennsylvanie (où Walter Isard devait établir un département de Science Régionale dans les années 1950) joue un rôle pionnier de ce point de vue, et J. Russell Smith (1913), un éminent professeur de la Wharton School

la gestion publique » ou la « modernisation de l’administration publique ». Toutefois, et selon Pollitt (1995 ), certains termes et certains concepts reviennent constamment dans les débats au sujet du N.M. P. C’est le cas notamment de : • La décentralisation, la délégation et la déconcentration • La qualité et les normes • La culture de l’organisation • Les citoyens, les acheteurs, les clients et les utilisateurs. Généralement, toutes ces expressions forment ce qu’on appelle le fondement de

gestion publique » ou la « modernisation de l’administration publique ». Toutefois, et selon Pollitt (1995 ), certains termes et certains concepts reviennent constamment dans les débats au sujet du N.M. P. C’est le cas notamment de : • • • • La décentralisation, la délégation et la déconcentration La qualité et les normes La culture de l’organisation Les citoyens, les acheteurs, les clients et les utilisateurs. Généralement, toutes ces expressions forment ce qu’on appelle le fondement de base de

l’hygiène : publique (création d’infrastructure et d’égout qui sépare circu des déchets et des pers) et privée (créat56n de sdb ds la bourgeoisie) Distribution d’eau : pr hygiène et santé. Accès au soin de santé : ½ du 20ème : existence de l’état providence. • La révolution de la natalité. Courbe de naissance sur 2 siècles : au 19ème s, légère baisse mais fin du ½ du 20ème  il y a profonde chute de la natalité. Répartition géographique : Fr est 1er à voir chute de natalité. De plus

GOUVERNEMENTALES Les structures gouvernementales visent à satisfaire 2 objectifs parfois complémentaires, parfois contradictoires : - Répondre aux exigences politiques et fonctionnelles de l’action ; Concilier le principe de spécialisation de chaque département ministériel avec les impératifs de la collégialité gouvernementale. La distribution des postes ministériels entraîne généralement une division fondamentale, au moins en régime parlementaire, entre le gouvernement au sens strict (conseil des ministres

communautés de villes et c’est une notion qui effleure dans les difficultés qu’ont connus les concitoyens belges pour les institutions communautaires. Statutairement, oui on peut rapprocher l’E d’une communauté internationale. Cela vaut pour la décentralisation. Les systèmes de tutelle est identique. Les rapports institués sont quasiment les mêmes. D’où l’étrangeté qu’une organisation nationale de gouvernement a un statut très proche d’une collectivité territoriale. L’autre notion utilisée est une notion

droit commun et inégalitaire. Cette exorbitance se justifie traditionnellement par le dogme de l'intérêt général. Cette exorbitance a même connue une extension notable à partir de la WW1 et jusqu'aux années 70's par le biais du phénomène de l'Etat-providence (théorie selon laquelle l'Etat doit intervenir dans la sphère économique et sociale, pour redresser les défaillances) et cette intervention se fait bien sûr avec les moyens de l'Etat, c'est-à-dire les moyens de puissance, dont l'exorbitance. Elle

ST/ESA/PAD/SER.E/23 Nations Unies Département des affaires économiques et sociales Division de l’économie et de l’administration publiques Programme des Nations Unies pour le développement Bureau régional pour l’Afrique L’éthique de la fonction publique en Afrique Volume 2 Nations Unies New York, 2002 NOTES Les appellations employées dans la présente publication et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part du Secrétariat de l’Organisation des Nations