Déconstructivisme

des stratégies formelles, l’esprit de son époque. Néanmoins – et telle est bien la limite de ce «post »-modernisme – la détermination du rôle de l’architecte et la finalité de ses œuvres sont explicitées, aussi bien par P. Eisenman que par le déconstructivisme, en terme de forme, et s’inscrivent de ce fait dans la continuité des doctrines modernistes. L’inspiration de ces tendances architecturales, aussi bien que leur interprétation de la production du sens par les œuvres, sont postmodernes mais

Impression soleil levant) pour son travail sur la couleur introduisant le concept de la touche, ou encore Matisse pour ses portraits minimalistes, ses perspectives fantaisistes, ses appositions de couleurs en mélange ou encore Picasso pour son déconstructivisme. Leurs œuvres commencent par déranger ou choquer, précisément parce qu’elles n’offrent pas d’emblée ce que nous pouvons reconnaître, ce qui entre dans notre quotidien, dans notre univers familier. Elles sont innovantes, souvent en rupture avec

créé avec sa première femme, Carme Pinós. Courant et philosophie Lorsqu’il travaille avec Albert Viaplana et Helio Pinñón, ils introduisent alors à Barcelone les doctrines internationales, depuis le minimalisme des années 1980 jusqu'au déconstructivisme qui surviendra dix ans plus tard et trouvera à Barcelone une interprétation plus féconde qu'ailleurs, du fait de sa résonance avec la part expressionniste et... constructiviste d'une ville qui n'a jamais oublié Antonio Gaudí. Il peut être

d’une métaphore déroutante pour évoquer une fleur, puisqu’elle propose une analogie avec le théâtre. Mais ce premier paragraphe est peut-être déjà à lire aussi comme une certaine interprétation du signifiant « mimosa » en : « mime / osa » (cf. deconstructivism). Tout de suite, le mimosa rentre en scène et surprend le lecteur par son apparence d’Arlequin jaune. A la fin du poème, notre hypothèse est juste : « Comme dans tamaris il y a tamis, dans mimosa, il y a mima. » Le mot mimosa ne génère donc pas

remettant en cause ce consensus moderniste. Dans un contexte politique, économique et social particulier voit le jour l’anti-design et le design radical (en Grande Bretagne et en Italie). Ces mouvement débouchent, à terme, sur le Pop Design, le déconstructivisme et le post-modernisme. L’évolution du design est d’ailleurs très fortement liée au contexte à cette époque, cela du fait des habitudes et des goûts des consommateurs qui commencent à varier de plus en plus vite du fait de l’entrée des pays occidentaux

sont celles d’un intense renouvèlement dans l’histoire de l’art occidental. Les grandes capitales européennes, Paris, Londres, Berlin, Moscou… deviennent les foyers créatifs d’artistes novateurs. Du Cubisme à l’Abstraction en passant par le Déconstructivisme, les échanges sont féconds. En ces temps de renouvèlement, un certain nombre d’artistes d’avant-garde, dans un élan mystique, appellent de leurs vœux une guerre dont ils espèrent qu’elle serait à même d’entraîner l’humanité vers un monde plus

accorde un rôle important à l’apprenant et à la découverte autonome. « Si le sujet veut assimiler un savoir, il doit être capable d’accompagner en permanence son mode de pensée aux exigences de la situation ». Après le constructivisme arrive le déconstructivisme avec Bachelard. Mais comme nous le précise Giordan « cette démarche est impossible dans la pratique ». Pour lui, « le nouveau savoir ne s’installe véritablement que quand il a fait ses preuves ». Même si l’élève en tant qu’individu apprend seul

passion, car elle est à la base de toute l’architecture » Crites « on ne donnera pas de réponse en donnant accès à un sens objectif quelconque, dont l’accomplissement nous aurait été promis. Non, il s’agit justement de ce qui heurte le sens » Déconstructivisme « le critère principal définissant la qualité d’une architecture contemporaine « moderne », faisant se preuves dans le cadre particulier de la construction urbaine, est pour nous son autonomie » Diener « j’ai essayé d’être cohérent avec

technique comme le mur en brique sont abandonnés, et remplacées par des structures métallique (acier, plastiques, panneaux métalliques légers,…). L’intention principale de cette architecture est avant tout l’esthétique et la symbolique. Le déconstructivisme. Dans les années 1980 et 1990, une nouvelle mode voit le jour, celle qui veut s’opposer à la rationalité de l’architecture moderne. Pour se faire, on emploie dorénavant des matériaux nouveaux tel que le titane et on les modèle en forme organique

discontinu de traits différentiels et singularisants. Autant de postulats et de présupposés théoriques qui vont faire l’objet de critiques radicales, qu’elles portent sur l’intentionnalité et l’illusion du sujet développée par Foucault ou par le déconstructivisme derridien ; sur la description du style en terme d’écart (pour une critique voir N. Geunier, 1969) par rapport à une norme jugée indéfendable compte tenu de l’aspect polylectal de toute langue et de l’hétérogénéité constitutive des discours (J