Dérivé de crédit

institutionnels 1.1 La banque d’investissement La banque d’investissement constitue le fourneau de production des titres financiers. On parle alors d’origination. On y crée les véhicules obligataires (obligations, swaps, titres de crédit, etc), les produits structurés, les produits dérivés, en relation directe avec les investisseurs sophistiqués. Suivant les positionnements, les banques d’investissement peuvent également accompagner les entreprises dans leur introduction en Bourse. Tous ces produits tendent

s’agit alors d’imposer un rapport minimum entre les fonds propres dont dispose une banque et les risques qu’elle porte sur les marchés ou sous forme de crédits à ses clients. En 1988, Bâle I a imposé d’avoir un ratio minimum de 8% entre ces deux indicateurs. En 1996, une révision de l’Accord intègre les risques de marché en complément du risque de crédit. Bâle II, en 2004, est une adaptation de ce principe à la complexité des évolutions du métier bancaire. Il a notamment cherché à définir un cadre plus

pour but d'imposer aux banques des normes minimales de fonds propres, lesquelles sont fondées principalement sur le risque de crédit, un des principaux risques auxquels les banques sont exposées. Cet accord s'appuyait sur le ratio de Cooke. Cependant, ce système présentait plusieurs limites. La principale étant que le ratio de Cooke ne prenait en compte que la valeur du crédit accordé par la banque. Il ne prenait pas en compte les caractéristiques de la personne qui empruntait cet argent; d'où la

chose c’est la titrisation (car quand bale 1 a imposé aux banques des normes cela a fait apparaitre des choses néfastes dans leurs bilan et pour faire sortir ces éléments là => titrisation). Autre exemples après la titrisation, la création des dérivés (comment occuper très peu de place avec un gros morceau ?). Troisième effet pervers : les agences de notation : mauvaise notation : course à la recherche de produit AAA ; mauvaise indépendance entre les banques et les agences de notation (conflit

1 à compter du 1er janvier 2005 aux comptes consolidés des entreprises cotées sur un marché organisé européen a généré un certain nombre d’inquiétudes compte tenu de l’impact des nouveaux principes comptables sur les comptes des établissements de crédit et d’une manière plus générale sur la stabilité financière. En effet, même si les IFRS permettent d’harmoniser — certes partiellement compte tenu des différentes options de comptabilisation offertes par certaines normes (IAS 39, IAS 19, IAS 40, IAS

1re conférence MICHEL CROUHY La gestion du risque de crédit et la stabilité du système financier international Le 4 avril 2000 Série HEC Les conférences Gérard-Parizeau font partie des activités du Fonds Gérard-Parizeau. Chaque année, au moment de la remise du prix Gérard-Parizeau, un conférencier de réputation internationale est invité à discuter d’un sujet d’actualité pertinent tant des points de vue théorique que pratique. Pour accompagner la première remise du prix à une sommité

s’agit alors d’imposer un rapport minimum entre les fonds propres dont dispose une banque et les risques qu’elle porte sur les marchés ou sous forme de crédits à ses clients. En 1988, Bâle I a imposé d’avoir un ratio minimum de 8% entre ces deux indicateurs. En 1996, une révision de l’Accord intègre les risques de marché en complément du risque de crédit. Bâle II, en 2004, est une adaptation de ce principe à la complexité des évolutions du métier bancaire. Il a notamment cherché à définir un cadre plus

en question. Exemple : dès les années 90-2000, les banques tendent à externaliser leurs risques → elles vont chercher à sortir le risque de leur bilan, en essayant de vendre sur le marché certains types de produits : en particulier les risques de crédit. Par le biais de la titrisation, les banques participent à un processus de transfert des risques. La titrisation n'a pas seulement dilué les risques mais aussi le contrôle des risques. La crise des subprimes qui a éclaté en 2007 et qui a débouché

Épargne totale collectée2 (MAD Mds ) Crédits totaux distribués (MAD Mds ) Nombre total d'agences 316,4 249,5 300,9 +22,8 % 238,7 +7,9 % juin 12 2 474 +1,6 % +5,1 % 221,2 3 037 253,6 1 881 juin 12 juin 13 juin 12 juin 13 Dépôts consolidés 2 424 juin 13 Maroc Répartition géographique de l’épargne collectée à fin juin 2013 International 3 18,0 % Répartition géographique des crédits distribués à fin juin 2013 Répartition

quantité de métal précieux à la banque. Avantage : plus besoin de transporter de grosses sommes pour le marchandage. Facilitation des échanges en sécurisant et en rendant ces derniers plus commodes. Il y a plus de billet que de métal => début du crédit. 3 – LE BILLET DE BANQUE INCONVERTIBLE Le billet devient inconvertible (1936). Au cours forcé = pas possible de demander l'échange ou le remboursement du billet contre du métal. 4 – LA MONNAIE SCRIPTURALE C'est une monnaie dématérialisée