Des visages des figures

le sentiment de ne plus pouvoir désormais se perdre seule. Au plus épais d’une famille, elle allait couver, pareille à un feu sournois qui rampe sous la brande, embrase un pin, puis l’autre, puis de proche en proche crée une forêt de torches. Aucun visage sur qui reposer ses yeux, dans cette foule, hors celui d’Anne ; mais la joie enfantine de la jeune fille l’isolait de Thérèse : sa joie ! Comme si elle eût ignoré qu’elles allaient être séparées le soir même, et non seulement dans l’espace ; à cause

l’enfant b- Les jumeaux 3 – Les impressions de maternités Cf Statue dogon, Mali Catalogue Claude Vérité page 15 Cf Statue baoulé, Côte d’Ivoire1 Catalogue Claude Vérité page 111 CF Divinité nimba, Baga, Guinée page 160 Conclusion : Existe-t-il des figures de paternité Cf Effigie tutélaire Kongo-Yombe, République Démocratique du Congo, Catalogue Claude Vérité page 284 Alors diplômée d’un baccalauréat lettre et art passé à La Rochelle, je m’engage dans des études artistiques sans grande conviction quant

figée par l'action de ses agresseurs. Toutefois même ce visage défiguré nous apparaît clairement à travers ces lignes: " Ce rire qu'il n'avait point moins sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter." Le texte de Proust n'épargne pas sa victime : cette femme jadis belle a subi les ravages de la vieillesse; certains détails ne trompent pas: "mèches blanches", "joues raides et usées", ou encore "sa figure effritée comme un bloc". D'autres éléments de détails

Salvador DALI Dali et la psychanalyse * Le Grand Paranoïaque C’est une image à 2 sens, réalisée au moyen de figures nues dans un paysage désert. Au centre on observe des figures humaines éclairées, dans différentes attitudes, des ouvriers certainement, fatigués et décharnés. C’est la première vision que l’on a lorsqu’on observe la toile. Mais lorsque l’on s’éloigne, la figure d’un vieillard apparait, le grand paranoïaque. Pour réaliser ce tableau, Dali a utilisé sa méthode paranoïaque-critique

Le taureau La figure mythique du Minotaure est un motif central de l’œuvre de Picasso .Il est impassible, statique, il représente l'Espagne de Franco .Il semble fixer le spectateur. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance . L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il représente la liberté abolie . La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant

Prologue : lecture linéaireDans ce prologue, sous un apparent désordre se cache une profonde unité, fruit notamment d’une succession d’images qui s’entretissent et entretiennent des liens Dans votre édition belin gallimard, vous trouverez une proposition d’introduction. L’entrée en matière : lignes 1 à 5 L’entrée en matière de ce prologue a de quoi surprendre ! L’auteur interpelle son lecteur avec désinvolture : la première adresse se fait sous la forme d’une apostrophe,

immobile que peut l’être une figure de cire de ce cabinet de Curtius… » . Il veut bien montrer qu’il ressemble plus à un objet qu’a un humain en utilisant cette comparaison qui le dévalorise. 
L’effet de la misère qu’il a ressentit toutes ces années à cause de cette guerre et des multiples choses qu’il a enduré se ressent sur le Colonel. En effet, il est d’abord comparé à « une figure de cire », ensuite à « …De la nacre sale… » puis, pour accentuer cette dévalorisation, son visage est « livide et en lame

d’abord, la heaumière est dur à l’égard de sa vielle apparence, car elle la décrit toujours avec des aspects négatifs. Elle décrit avec sévérité son vieux visage dégoût. Elle ne l’aime vraiment pas, car elle utilise beaucoup d’adjectifs qualificatifs dénigrant. On peut alors voir facilement qu’elle n’est pas heureuse de la beauté de son visage. Villon utilise des adjectifs tel que «moussues», «pâli» et «déteins» pour décrire l’aspect de cette femme. Par le fait même, il utilise l’énumération pour

rasé, souriant, un genou en terre, adore l'Enfant les mains jointes, accompagné de sa houlette entre les bras, il porte suspendus a la ceinture un couteau, une bourse et un cornet à bouquins. Un jeune home imberbe aux cheveux bruns et bouclés, le visage animé d'étonnement et d'admiration, tend ses deux mains vers l'Enfant sauveur, tandis qu'un berger d'age mur reste là, debout, effaré, la bouche bée, tenant d'une main son outil et pressant contre sa poitrine un grossier chapeau de paille. On remarquera

sinueux sur le visage permettent de conjecturer qu'elles sont vieilles, ressemblant presque à des squelettes perruqués. Cette dimension qui peut faire peur se rapproche de la description faite par la poète Victor HUGO dans son poème ; ces deux femmes font peur, font penser à des sorcières, des « monstres », avec le nez crochu pour celle de droite et le nez ressemblant à celui d'un porc pour l'autre. Ces deux femmes sont assises dans un décor incertain. Si l'on se focalise sur leur visage, on observe