Descartes Et Nietzsche Liberté

qu'on croit être les fondements de son identité, c'est à dire le nom, l'âge et ce qui s'en suit. Mais au delà de ces quelques mots que peut-on tenter de déduire ? Au delà de notre nature humaine qu'est-ce qui nous régit ? Prenons par exemple Descartes, et mettons nous en quête du savoir, mais beaucoup de choses peuvent être remises en cause, et pourquoi pas l'existence en elle même ? Sur quoi s'appuie-t-elle ? Le doute s'insinue... Et nous ne sommes plus sûrs de rien. Continuons et poussons les

forme et produit. Travail animal = assimile l’objet de la satisfaction. L‘homme en transformant la nature et les choses, se construit et se réalise lui-même. La nature est transformée à son image, l’homme accède ainsi à la conscience et à la liberté. Dialectique du maître et de l’esclave, dans La Phénoménologie de l’esprit (1807), par Hegel. / 1 / Situation initiale : le maître domine l’esclave ; ce dernier accepte d’être esclave pour ne pas mourir. Mais ce dernier va se libérer par

Difficulté 2 II. Vérité et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2. Toute ouverture au monde est affectée (Heidegger) 4 3. La vérité se fonde sur l’action et la projection 5 4. Être et temps 5 C. La valeur de la vérité 6 1. Remettre en question la valeur de la vérité 6 2. L’erreur est souvent utile à la vie

l’histoire des idées politiques, l’Utopie (1516), là où le bien commun de l’ensemble prend le pas sur l’individu. CHAPITRE I : LE RATIONNALISME René DESCARTES (1596-1650) La Renaissance, au XVIe siècle, avait amené un changement considérable de perspective de la pensée, un déplacement du centre d’intérêt et c’est Descartes qui va le démontrer. Descartes est un mathématicien et un physicien, une personne rationnelle qui se base sur des certitudes absolues. Seule la raison permet d’atteindre la vérité

mieux. A en croire Sartre et sa citation «Nous sommes la somme de nos actes. », je suis même le seul qui me connait vraiment. En outre la conscience agit comme un mirroir, réfletant tout mes pensées, aucunes ne peut l'esquiver. D'ailleurs, comme Descartes l'affirmait « Je pense donc je suis » l'existence réside dans la pensée, et donc dans la consience. Ceci explique que je me connais totalement puisque ma cosncience aspire toutes mes pensées, et donc me connait parfaitement. De plus, je ne peux pas

observer, comme un miroir, avec tous nos défauts, nos complexes. Cette image imparfaite et donc déplaisante que l'on a de nous est un obstacle au bonheur, à notre épanouissement, qui était pourtant l'objectif de la réalisation de soi. Réf : PascalX2 + Nietzsche → La conscience est un outil, qui peut donc être utilisé par mais aussi contre nous. Comment avoir l'absolue certitude que les décisions que nous prenons sont entièrement liées à nos convictions personnelles et non pas à l'influence d'un groupe

affirme la supériorité de la science sur la religion et la métaphysique. Voir son Discours sur l’esprit positif (1844) où il distingue trois âges de la raison : théologique, métaphysique, positif. Ensuite Friedrich Nietzsche. Au 20 ème siècle, Sigmund Freud , fondateur d’une nouvelle science qui s’appelle la psychanalyse, publie un ouvrage, l’avenir d’une illusion . L’illusion concerne celle de la religion

nous en posons l’hypothèse, penche aujourd’hui fortement plus en faveur du logos. Plus précisément, j’exposerai pendant ma présentation les liens qui existent entre la philosophie de Campbell à propos du mythe et du héros, à celle du surhomme chez Nietzsche pour démontrer que le mythe et le héros sont indispensables au surhomme. Du coup, que la méthode d’analyse philosophique traditionnelle, c’est-à-dire saturé de rationalisme n’est en rien la voie d’accès à même une compréhension de ce qu’est le surhomme

donc la morale de troupeau et anticipe les thèses de Nietzsche à la fois en montrant que cette morale démocratique n’est que l’expression du ressentiment (le sentiment de vengeance des faibles) et en dénonçant la médiocrité d’une conception égalitaire de la justice. Calliclès propose donc une conception hédoniste du bonheur (il s’agit de satisfaire tous ses désirs) qui sera réfutée terme à terme par Platon. Pour Platon, le dérèglement, la liberté de faire ce que l’on veut, l’assouvissement de chacun

se mettre en quête de celle-ci. C’est alors, premièrement, adopter une attitude originale en remettant en cause ce que l’opinion accepte comme une évidence et, deuxièmement, revoir son rapport aux connaissances initialement reçues et acceptées (Descartes et l’entreprise du doute). La négation ne s’applique donc pas seulement aux autres systèmes ou philosophies ; le philosophe nie également ses propres « connaissances » et « vérités » pour autant que celles-ci ne sont pas l’expression d’une raison