Descartes Et Nietzsche Liberté

Sujet : L’État est-il l’ennemi de la liberté ? Le gendarme est la figure de l’État. Sa présence en manifeste le rôle que l’on pense habituellement comme l’exercice d’un pouvoir contraignant qui limite, voire empêche la liberté. Qu’il soit démocratique ou totalitaire, l’État paraît l’ennemi de la liberté. Et pourtant, on rit de voir Guignol donner des coups de bâton au gendarme sur le théâtre de marionnettes. On loue ceux qui s’y opposent, qui lui résistent. Comment le pourraient-ils

chose qu'il faut combattre. La religion est-elle rationnelle ? Est-ce compatible avec la raison ? La foi religieuse et la raison semblent s'opposer. Difficultés qui font que la religion est absurde : 1 : La religion semble aller contre la liberté de la pensée (Socrate condamné pour motifs religieux : impieté ; Galilée n'a jamais dit que le terre était ronde et a aussi été condamné pour raisons religieuses). 2 : Dans l'ordre religieux, on ne peut pas tout démontrer. Sinon, ce ne serait plus

pourquoi nous avons fréquemment parlé de l’importance d’être bien dans sa peau et d’avoir une bonne estime de soi, et ce, notamment dans les cours de philosophie. La fameuse devise de Socrate : « Connais-toi, toi-même» ou encore la philosophie de Nietzsche voulant que l’être humain vive selon ses désirs et ses passions en sont d’excellents exemples. Dans les faits, les deux derniers cours de psychologie s’avèrent également axés sur l’importance d’avoir un mode de vie sain, mais surtout d’avoir une

s’obscurcit, la question surgit.» système philosophique : ensemble aussi complêt que possible de réponses aux questions qu’on s’est posé. 1 3 Conscience Rabelais : «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.» intuition : saisie immédiate. Descartes – Principes de la philosophie : «Par le nom de pensée, j’entends tout ce qui se fait en nous de façon que nous en soyons conscient et pour autant que nous en avons conscience.» ⇒ conscience : saisie immédiate de la pensée par elle-même. Tt pensée

le classicisme français de Louis XIV, et une tentative de renouvellement (matrice // règles grecques). On remet en question le paradigme hérité des Grecque.  « Invention du sujet » La crise trouve sont point de départ en les textes de Descartes. « Discours de la méthode », « Méditations ». Montaigne (1532-1592) : - Prend acte du DOUTE généralisé face à cette crise sans précédent. - LA crise du passage du monde clos à l’univers infini. // Pyrrhon. - Les Essais :

qui, en droit, est accessible au cogito transparent et limpide. On notera aussi l’existence d’un inconscient primitif qui contient l’ensemble des comportements vitaux élémentaires (reflex, instincts). Alors que d’après les théories classiques de Descartes, pensée = conscience, Freud lui va plus loin, dans sa première topique, la séparation entre le conscient et l’inconscient est une nécessité posée à partir de l’hypothèse de la censure. Selon lui, l’inconscient est doublement inconscient, d’abord

créature et non pas comme sujet), Socrate ( constate ne rien savoir de fondamental : prend conscience de soi, il se connait soi meme mais par les formes intelligibles) 3)Cogito de Descartes : on peut prendre la notion de sujet comme support d’une prédication mais aussi comme à l’origine de mes actes. Descartes : * Distinguer le fait de l’existence de (j’existe parce que je pense), et l’essence de cette existence (que suis-je ?). C’est au deuxième niveau que l’on parle de sujet : je suis

2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5 3. Toute chose s’efforce de persévérer dans son être (Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de

Il est vrai, que la plupart de nos idées nous viennent de l’extérieur : notre famille, nos amis, nos enseignants… L’Homme ne cherche alors jamais à remettre en cause ce qu’on lui a appris. La philosophie peut alors nous ôter certaines certitudes. Descartes, un mathématicien, physicien mais aussi philosophe français du XVIème siècle disait sur les certitudes, dans son ouvrage Principe de la Philosophie, que ce sont «  des choses dont nous n’avons point coutume de douter touchant la conduite de la vie

métissage culturel (moral). Bien qu’appartenant à une société qui possède ses valeurs, le philosophe vit sa morale mais, cherche à comprendre pourquoi il y a morale, pourquoi il y a des morales différentes et qu’est-ce qui caractérise la règle morale. Descartes le savait bien, lui dont la première maxime était justement « d’obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m’a fait la grâce d’être instruit dès mon enfance ». Ainsi, l’existence de morales différentes