Descartes Et Sartre

philosophie de certains auteurs dans un moment du développement d'une dialectique donnée. Esprit et matière : Descartes Fond et forme, formalisme et intuitionnisme, syntaxe et sémantique (et pragmatique) : Aristote, Gadamer ; Frege, Peano, Hilbert, Poincaré, Brouwer Généricité et spécificité (classification), révolution copernicienne Autorité et doute ou méthode, déduction et induction : Descartes, Popper Physique et métaphysique, (socialisme) scientifique et utopique : Marx Passé et présent, tradition

d’obéir à ses propres aspirations. Ce sont les Modernes, à partir de Kierkegaard, puis Heidegger et Sartre, qui ont fait de la liberté une réflexion centrale de la philosophie, comme en témoignent les citations célèbres sur la liberté. Le problème philosophique de la liberté La question principale est celle de la définition et de la preuve de la liberté., justifiant le “sentiment vif et interne” (Descartes) que nous avons d’être libre et qui se trouve en tout homme. Pour définir la liberté, il suffit

Notions : conscience- inconscient – violence – mémoire – liberté • La conscience caractérise essentiellement l’homme 1. René Descartes (1596-1650) : « je pense, donc je suis.», Discours de la méthode. 2. René Descartes : « je suis une chose qui pense. » Méditations métaphysiques. 3. Blaise Pascal (1623-1662) : «La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable ; un arbre ne se connaît pas misérable

pourrait donc conduire ce sujet à se perdre en cherchant trop à se trouver, en figeant sa personne dans des déterminations objectives , en se persuadant qu’il est « ceci » ou « cela » alors qu’en tant que sujet il demeure « condamné à la liberté » (Sartre). Plutôt que de permettre une connaissance théorique, cette recherche, si elle demeure attentive à ce statut de « sujet », provoquera donc une « dynamique », une évolution de la personne. Ainsi donc sa fécondité sera plutôt d’ordre pratique : elle

pourrait donc conduire ce sujet à se perdre en cherchant trop à se trouver, en figeant sa personne dans des déterminations objectives , en se persuadant qu’il est « ceci » ou « cela » alors qu’en tant que sujet il demeure « condamné à la liberté » (Sartre). Plutôt que de permettre une connaissance théorique, cette recherche, si elle demeure attentive à ce statut de « sujet », provoquera donc une « dynamique », une évolution de la personne. Ainsi donc sa fécondité sera plutôt d’ordre pratique : elle

Mort, Existence • La mort ne vous intéresse ni mort ni vif, vif parce que vous êtes, mort parce que vous n’êtes plus. Montaigne – Essais • Être ou ne pas être, telle est la question. Shakespeare – Hamlet • Je pense donc je suis. Descartes • Le plus beau présent de la vie est la liberté qu’elle vous laisse d’en sortir à votre heure. André Breton VI. Bonheur, Malheur • Le bonheur, cette chose qui n’existe pas et qui pourtant, un jour n’est plus. H. Barbusse • Le

LA PERCEPTION Notions du programme: Perception Espace Art Sujet Introduction Descartes, dans les Méditations métaphysiques, I, met en doute la réalité du monde qu'il perçoit. Il s'inquiète d'une possible confusion du rêve et de la réalité, de l'imagination et de la perception. Comment distinguer les deux? Certes, quand nous percevons, nous savons, avec une évidence naturelle, que nous ne rêvons pas. Notre "foi originaire" (Husserl) dans la réalité du monde perçu est un fait. Cependant, comment

espèce est sans contredire la plus intrigante et mystérieuse de toutes. Jean-Paul Sartre, dans son livre « L’existentialisme est un humanisme », qui à été publier en France dans les années 1945, cherche à prouver la compatibilité de l’existentialisme avec l’humanisme et aussi à faire comprendre au monde le vrai terme d’existentialisme qui avait été mal interprété venant des philosophes Platon, Descartes et Kant. Sartre a réaliser plusieurs conférence qui lui on permit d’initialiser son ouvrage qui

vraie et justifiée, est jugée insuffisante ou inadéquate. Il existe plusieurs compléments à la définition traditionnelle : Pour Aristote, ce sont des principes très généraux qui donnent l'essence d'une chose; pour Descartes, un petit nombre de vérités saisies de façon claire, distincte et indubitable pour Kant, les intuitions des sens (ou sensations) et les principes de l'entendement qui les organisent. En effet, les connaissances dérivées sont les sciences et nos connaissances

soi est une connaissance immédiate de soi-même et du monde. Nous montrerons pourtant que la conscience joue un rôle dans la perception et que celle-ci ne nous rend pas totalement transparente à nous-mêmes. Dans ses Méditations métaphysiques, Descartes, par le biais de l'expérience du cogito, « Je pense donc je suis », fonde la conception moderne du sujet comme « substance pensante », c'est-à-dire, comme conscience. En résulte alors un raisonnement cartésien qui se fait en trois étapes. Tout d'abord