Descartes Substance Pensante

inconscientes ou même par le simple instinct de survie, tout porte à croire que l’individu n’a en vérité que bien peu de pouvoir sur les choses. Se pose alors la question de savoir si la conscience est véritablement quelque chose, une et indivisible, substance indépendante de la nature ou bien si elle n’est qu’une forme déterminée de la nature qui aurait juste l’illusion d’être indépendante. Avons-nous une identité intérieure immuable et indépendante ? La conscience est-elle source de certitude ou bien

conscience de telle sorte qu’il n’y aurait plus de réel à proprement parler ? I-Quelle est la nature de la conscience ? A- le point de vue spiritualiste Spiritualisme : l’ensemble de la réalité se réduit à l’esprit. 1-la conscience comme substance Spiritualistes : Doute de tout, pas de vérité, tranquillité de l’esprit. Mais le septique se contredit car il dit à la fois une vérité et dit qu’il n’y a pas de vérité. Relativistes : A chacun sa vérité, liberté de pensée  donc aucune vérité

Analyse linéaire de la deuxième méditation : Abrégé de la seconde méditation : * Descartes cherche à prouver qu’il est impossible qu’il n’existe pas lui-même * distinction âme/corps * explique la difficulté à expliquer l’immortalité de l'âme, et qu’il doit d’abord « former une conception claire nette et entièrement distincte de toutes les conceptions que l’on peut avoir du corps : ce qui a été fait en ce lieu-là » * corps : divisible âme : indivisible * « de la corruption

XVIIèmesiècle, notamment avec les travaux de Galilée et Descartes, se développe la pensée mécaniste, opposée au finalisme. Selon cette pensée, la nature s’explique en fonction de deux données : la matière et le mouvement. De ceux-ci sont dégagées les lois mécaniques qui expliquent les régularités des phénomènes naturels et rendent par conséquent compte de l’ordre du monde. La nature est ainsi conçue comme une gigantesque machine. Descartes étend cette conception aux êtres vivants (à l’exception de

Thème : le Sujet 1. La Conscience introduction : La conscience est une expérience qui semble certaine : celle de mon existence comme sujet pensant. Mais cette existence est problématique. La conscience n'est elle pas plutôt un acte, une façon de se projeter vers le monde ? D'autre part la conscience suffit-elle à définir ce que nous sommes ? N'est-elle pas, comme le pense Freud, que l'activité le plus faible de notre psychisme, dominé par l'inconscient ? Sujet et conscience:

C’est cette csce qui nous différencie des animaux, cette capacité à revenir sur soi. II. Conscience = pensée, l’itinéraire de Descartes A. Vie de Descartes Descartes : fondateur en philo, de la subjectivité, le premier à avoir réfléchit sur le moi comme csce, le moi souverain. Discours de la méthode, 1637 Méditations métaphysique, 1641 Jusqu’à Descartes, on enseignait Aristote aux élèves, not chez les jésuites, qui est le père fondateur de la logique, la bio…il écrit sur tt ce qui

-« S’il n’y a rien d’autre que le naturel (…) fait que notre existence est absurde » alors que nous pouvons très bien vivre dans une existence absurde exemple : -Position de Sartre ou position de Camus. POSITION DE RENE DESCARTES : Pour Descartes nous devons raser tous nos jugements. Il va instaurer le doute méthodique : attitude intellectuelle volontaire par laquelle nous allons décider de considérer comme faux tout ce qui n’est pas certain. Ex : panier de pomme, une pourrie=il

Autonomie : ce donné a soi même ses propres règles. Sujet : celui qui est l’agent à l’origine. Être libre, c’est aussi être libre de ses actions. Être libre et posséder une identité c’est être un SUJET. Le mot sujet en français signifie substance : ce qui se tient en dessous et demeure malgré les changements. L’inconscient psychique : des pensées qui échappe à notre conscience et remet en question la conscience. Chapitre nº1 : Le sujet est-il une illusion crée par la conscience ? Psychique

ou je ne fonctionne plus c est quand je meurs. Il n y a pas défauts a pars le corps pour un être pensant. L’imperfection n est possible que par rapport a la norme. La pense n est pas essence mais processus. L’etre c est du devenir, de l’existence, pas quelque chose de figer. ( contrairement a ce que pense descartes, car la ou il a tord c est en mettant une essance sur l’etre) Le sujet pensant est l’etre qui sait qui devient et donc il est autre. L’etre est toujours en devenir. Tout ce qui

humain. Mais penchons nous sur l’étymologie de cette notion, sujet vient du latin, « Sub-jectum », et signifie « ce qui est jeté en dessous »… et que l’on peut entendre comme « ce qui se tient dessous, la fondation. Dans ce sens, le sujet est substance (du latin « Sub_stans » « se tenir en dessous ».) Cette étymologie nous fait comprendre que le sujet doit être appréhendé comme une réalité permanente, ce qui ne change pas, ni ne disparaît malgré tout les changements extérieurs. Le corollaire