Descartes Substance Pensante

avec l’enfance, « la crise de la puberté qui entraine une modification profonde de l’identité enfantine », (Edmond Marc, L’identité personnelle, Sciences humaines, hors-série n°15). Le cogito cartésien, nous dit « je pense donc je suis » (Réné Descartes, Méditations métaphasique, 1941). Le moi n'existe à mes yeux que parce que j'en ai conscience. Je suis donc ce que j'ai conscience d'être. Il est impossible de penser sans avoir conscience de penser. Ce qui est inconscient ne renvoie plus à la pensée

prééminence est accordée à l’âme (car immortelle) tandis que le corps est périssable et mortel. (Socrate dans Platon dit que « le corps est la prison de l’âme ». Monisme : pour certains philosophes l’âme et le corps ne sont pas séparables(=une seule substances à travers la quelle ils s’interpénètrent). Si le corps meurt l’âme meurt aussi. •Spinoza : Il n’existe qu’un seul être qui se décline selon deux modes :intellectuel et corporel. Avec Spinoza, le corps acquiert une autonomie . si le corps est inerte

humain dont la conception cartésienne de René Descartes et la conception rousseauiste de Jean-Jacques Rousseau. D’abord, le philosophe René Descartes fait partie de ceux qui ont apporté beaucoup de changements et de réponses à l’être humain. La conception cartésienne est une forme de réflexion sur l’être humain qui est pour lui une substance pensante totalement distincte du corps. Cette force de l’esprit se réalise dans la puissance du doute. Selon Descartes, il faut douter pour enrichir ses connaissances

conversion de l’âme qui s’élève (de 1 à 4) : dialectique ascendante c) OUI : Etude de Descartes La raison humaine est capable de connaître la vérité. Le Discours de la Méthode permet de bien conduire sa raison et trouver la vérité dans ses sens. Philosophie de départ : doute critique qui permet à Descartes de trouver la réalité. Le point de départ de la philosophie cartésienne est donc le sujet pensant. d) nature de l’intelligence humaine : notions premières et principes premiers L’intelligence

Pour Kant il n'existe pas dans le monde, un être à part, ou une substance pensante caractérisant l'homme. Le Je est pour lui simplement un principe par lequel nous organisons nos pensées. Cela n'empêche pas que cette façon de penser ou d'organiser nos pensées en les rapportant à soi, caractérise l'homme et le distingue des autres espèces. Texte : Une chose qui élève infiniment l'homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre, c'est d'être capable d'avoir la notion de

physique la substance de tous les corps. C’est tout ce qui existe concrètement et visiblement hors de notre esprit, c’est-à-dire ce qui est perçu par nos sens. Les deux caractéristiques dominantes sont le concret, opposé à abstrait et le sensible opposé à intellectuel. Il faut lui en ajouter un autre, plus subtil : la matière est le substrat, la substance qui est susceptible de recevoir une forme. La vie de l’homme semble matérielle par son corps et spirituelle par son âme. D’après Descartes, l’homme

le corps comme sujet, puis-je pour autant penser un sujet qui se distingue du corps et qui en serait comme le propriétaire ? Il s’agit de tenter de comprendre la présence-distance du corps à la subjectivité, de penser le sujet de cette union que Descartes renvoyait au domaine du sentiment mais qu’il nous faut penser si l’on veut concevoir un seul et même sujet pour la science et pour la vie.   I-Dire que « je suis mon corps », c’est supposer une identité immédiate du corps au statut de sujet. Le

cognitive 4 14/03/10 •  René Descartes (1596-1650) oppose la substance étendue (res extensa) à la substance pensante (res cogitans). •  La substance étendue est soumise aux lois de la nature, est incapable de pensée et de conscience, et peut être étudiée par la science physique. •  La substance pensante échappe aux lois de la nature, est immatérielle et ne peut de ce fait faire l’objet d’une explication physique. •  Les animaux sont des agrégats de substance étendue. Les principes qui gèrent

depuis Descartes. En effet, la psychologie classique était une psychologie de la conscience. Si nous suivons les indications contenues dans le modèle cartésien, nous n’aurons en effet guère de possibilité de rencontrer l'idée de l’inconscient. Descartes pose que l’âme est conscience et il définit cette conscience comme une saisie immédiate de la pensée. (texte) La psychologie, comme son nom l’indique, étant une étude de la psyché, de l’âme, cela veut donc dire, suivant le modèle de Descartes, qu’elle

les plus en vue du 17ème siècle (Descartes, Malebranche, Locke, Spinoza) qui ont pourtant traité des questions psychologiques. Malgré tout cela les historiens ont une habitude de débuter l’histoire de la psychologie moderne avec René Descartes (1596-1650), tout en soulignant que la psychologie contemporaine émerge de fait de 19ème siècle. On ne peut pas comprendre cette émergence sans parler de l’empirisme du 17ème et 18ème siècle, situé par rapport à Descartes. D’ailleurs c’est la notion de tout