Descartes Substance Pensante

unes aux autres, mais totalement distinctes. Ces parties seraient dotées d’une activité intellectuelle, et chercheraient à exercer sur l’autre une sorte de « domination ». Ainsi, on distinguerait une véritable hiérarchie du corps, avec un « moi » pensant qui serait à la tête de subordonnés, dont la mission serait plus ou moins inconnue du « moi ». Le « moi « correspondrait alors à la partie dominante à un instant donné. De ce fait, les autres parties effectueraient leur « travail » normalement, mais

des certitudes. Et si, au terme de cette enquête, il ne sait qu’une chose, c’est qu’il ne sait rie, du moins ce non savoir est-il conscient et est déjà une forme de sagesse. La conscience comme lieu de vérité ou d’illusion ? [Descartes vs Spinoza] Pour Descartes, la conscience était le lieu et le modèle de la vérité (le cogito). L’individu devenait le point de départ de la connaissance. « Mais je ne connais pas encore assez clairement ce que je suis, moi qui suis certain que je suis : de sorte

riche en enseignements. En effet, le cogito me révèle bien ma nature fondamentale de "substance pensante", mais il n'explore en rien, par lui-même, ma subjectivité. Au point qu'on peut considérer qu'il m'enseigne davantage que, ou ce que je suis, que, plus précisément, qui je suis. Sans doute peut on considérer qu' être substance pensante est commun à tous les "je" différents, puisque la démarche initiée par Descartes s'accompagne de l'invitation faîte à chacun de la répéter, mais c'est précisément cette

il peut prendre par rapport à lui-même et au monde une certaine distance et un certain recul qui lui permettra au moins d’envisager plusieurs solutions possibles à une même difficulté et de choisir celle qui lui semblera la meilleure. Selon Descartes : Nos représentations et idées des choses extérieures sont toujours incertaines, toujours susceptibles de succomber à l’épreuve du doute qui est une mise en question radicale de l’existence des choses que dans la vie courante nous supposons exister

discerner le bien du mal. Donc, si nous doutons de notre conscience cela signifie |èt que nous doutons de notre existence. Selon René Descartes, la conscience est un savoir qui accompagne notre être lorsque nous pensons, nous sommes conscient dèes l’instant où nous sommes, il citera d’ailleurs dans le « Discours de la méthode » : « je pense donc je suis », René Descartes va donc douter de tout (son corps, le monde, autrui etc.) sauf de son existence.Par ailleurs, la voix de la conscience n’est pas le

comme il a conscience il peut obéir à ses propres lois, à sa raison, conscience psychologique, réfléchie, il s'impose ses propres règles. pour soi, ouvert sur le monde, être un sujet, substance pensante, permet de se connaître et d'être soi-même, une même unité, notion de permanence (morceau de cire de Descartes). se détacher par sa conscience des autres car conscience réfléchie en opposition à la conscience réfléchie, il a conscience d'avoir conscience et prend conscience des autres (en opposition

objectif-subjectif, persuader-convaincre, ressemblance-analogie, démonstration principe-conséquence, en théorie-en pratique, transcendant-immanent, universel-particulier-singulier. Auteurs :Platon, Aristote, Augustin, Thomas d’Aquin, Galilée, Descartes, Pascal, Bossuet , Kant, Hegel, Kierkegaard , Marx, Nietzsche, Sartre, Husserl, Merleau-Ponty, Jaspers, Heidegger, Arendt, Introduction problématique. Dans nos sociétés pluralistes la définition de la vérité est difficile car chacun ne voit

OBJECTIVES, VERITABLES MIROIRS DANS LESQUELS SE REFLECHIT SA PERSONNALITE. A CE STADE DE L'ANALYSE NOUS SAISISSONS ALORS TROIS INTERETS MAJEURS A LA DOUBLE EXPLICATION DONNEE PAR HEGEL. SON PREMIER INTERET EST DE MONTRER QUE (CONTRAIREMENT A DESCARTES ET BERGSON QUI FONT DE LA CONSCIENCE DE SOI L'OBJET D'UNE SAISIE INTUITIVE ET IMMEDIATE) LA CONSCIENCE DE SOI EST TOUJOURS L'ABOUTISSEMENT D'UN MOUVEMENT DE RECONNAISSANCE ET D'IDENTIFICATION. LA SAISIE DE LA CONSCIENCE PAR ELLE-MEME PASSE PAR UNE

classique Au XVIIe siècle, Descartes sépare le corps de l'esprit (qu'il identifie à l'âme) en un dualisme : le corps est une substance étendue et relève de la mécanique (d'où la théorie des animaux- machines), tandis que l'âme est une substance pensante. En tant que passif, l'esprit est intellect ; en tant qu'actif, il est volonté. L'unité des deux reste un problème épineux, et Descartes voit dans la glande pinéale le lieu de communication entre les deux. Plus simplement, Descartes décompose l'esprit

illusions de la conscience). 1. La conscience nest pas lexpression dune me ou substance pensante. Elle nest pas lexpression de toute la vie psychique dans son ensemble en tant quacte mme de la pense. Cf. le Cogito de Descartes Je suis une chose qui pense, cd qui doute, qui affirme, qui nie, qui connat peu de choses, en ignore beaucoup, qui aime, qui hait, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent. (Descartes, Mditations. Mtaphysiques, 3me). 2. La pense nest pas synonyme de conscience