Despotisme éclairé Catherine Ii

monarchies a l’Empire (1750-1815) Chap I les origines de l’Europe contemporaine Chap II la France de l’ancien régime aux révolutions (1750-1799) Chap III un Empire sur l’Europe (1800-1815) Chap IV la France de Bonaparte a Napoléon (1800-1815) 2e partie : le XIXe siècle : de l’ordre aux mouvements (1815-1870) Chap I l’Europe selon les congrès de Vienne ou le second souffle des anciens régimes (les restaurations) Chap II la France : de l’Empire à la République (chute Napoléon-1848) Chap III l’Europe

Dans le monde paysan, il y a des statuts différents, des niveaux de fortunes différents, une emprise des structures féodales trop importantes (taille, impôts, …), des droits féodaux qui reposent sur les coutumes et sont mal supportés par les ruraux. II. Les causes de nature idéologique Les principes fondamentaux de la France ont été remis en cause par la philosophie des Lumières (XVIIIème siècle). 1) Les principes traditionnels Ces derniers reposent sur une conception ancienne de la monarchie qui

Lumières Image de couverture de l'interprétation par Voltaire de l'œuvre d'Isaac Newton, Éléments de la philosophie de Newton, mis à la portée de tout le monde (1738). Le manuscrit du philosophe assis, qui traduit l'œuvre de Newton, semble « éclairé » par une « lumière » quasi-divine venant de Newton lui-même, lumière réfléchie par le miroir tenu par une muse, en réalité la traductrice de l'œuvre de Newton, Émilie Du Châtelet, maitresse et collaboratrice de Voltaire. 1.1.1 Évolution de la

bonne chose car elle ne tient pas compte des droits naturels. Ils proposent des solutions pour que la liberté et les droits des individus soient mieux respectés. Trois philosophes illustrent bien cette nouvelle manière de voir les choses, d'être éclairé: Jean-Jacques Rousseau 1712 / 1778 | Dans son livre Du contrat social, il rappelle l'égalité naturelle de tous devant la loi. Donc il faut supprimer les privilèges, et tout le monde doit payer l'impôt. | Charles de Secondat baron de

formulation prudente : établissant une gradation entre despotisme (où les trois pouvoirs sont confondus) et régime idéal (la monarchie constitutionnelle), l’auteur ne critique pas directement la France, mais plus globalement les « monarchies européennes ». Encore cette critique se fait-elle discrète : ces monarchies (où la liberté n’est pas possible, pouvoirs exécutif et législatif étant confondus) sont présentées comme un moindre mal par rapport au despotisme turc. ouvrir l'encadré Montesquieu, dans son

réalité est bien sûr, et comme toujours en histoire, bien plus complexe. S'appuyant sur le « temps long » de Fernand Braudel, Godechot veut montrer que le mouvement contre-révolutionnaire apparaît dès 1770, voire avant, et pas seulement en France. II/ Première Partie : La Doctrine Le plan de Jacques Godechot étant assez pertinent, il est bienvenu de suivre son exemple et de commencer par traiter la doctrine contre-révolutionnaire. Dans un premier chapitre, l'auteur revient sur les sources de

sensibilité », il place la dignité de l'homme dans la recherche plutôt que dans la découverte de la vérité. Ses idées politiques : * Diderot semble être un partisan du despotisme éclairé, c'est-à-dire d'une monarchie où les élites intellectuelles contribuent à la postérité de l'État. Il pense en avoir trouvé le modèle avec Catherine II de Russie. Mais ses analyses politiques laissent entrevoir les prochains bouleversements révolutionnaires. * À travers l'Encyclopédie, il condamne l'absolutisme, la

Lumières car à cette époque le mouvement intellectuel scientifique et culturel fut tel que les philosophes et les penseurs avides de connaissances, de savoir eurent l'idée de transmettre ces connaissances et d'éclairer l'humanité. Cette philosophie éclaire les raisons de l'obscurantisme pour guider le peuple vers sa liberté. L'encyclopédie est une immense entreprise éditoriale qui court de 1747 à 1772, et qui a pour ambition de faire la somme de toutes les connaissances de l'époque, de la philosophie

juxtaposition des couleurs sur un même vêtement, le passage de la monochromie à la polychromie (« indiennes »). Madeleine Ferrières montre que les objets ont aussi une histoire. Le réseau des Lumières : géographie et sociologie de l' « opinion » II. A. Le doute et la raison Peut-être la plus importante des « révolutions silencieuses » qui marquèrent le Siècle des Lumières. Elle touche en priorité une fraction de la société urbaine : la vulgarisation relative de la révolution scientifique des

monarchies européennes au 17ième siècle. Autoritarisme :conception ou pratique du pouvoir. L’autoritarisme se traduit notamment par les primauté accordé à l’exécutif (gouvernement) et par les restrictions des libertés politiques. Despotisme : En 1678, le terme de despotisme apparaît : gouvernement arbitraire et autoritaire d'un souverain. Dans son sens grec original, le terme désignait le maître de maison détenant un pouvoir illimité sur les esclaves. Dans l'Empire byzantin, le terme « despote » était