Despotisme éclairé Catherine Ii

dans l’intérêt général est la démocratie. «J'appelle République tout État régi par des lois, car alors seulement l'intérêt public gouverne [...] tout gouvernement légitime est républicain. [...] Le Peuple soumis aux lois en doit être l'auteur» (livre II, chap.VI). Ici, Rousseau utilise le terme de «république» pour désigner toute société régie par la loi ou qui est gouvernée par la volonté générale de son peuple. La démocratie, que Rousseau nomme donc République, est seule capable d'échapper à la

Bretagne[->27]), c'est à dire un « despotisme éclairé ». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. Rousseau a des idées plus démocratiques : dans Le Contrat social, il exprime ses principes politiques : autorité d'un peuple souverain qui peut changer ses lois et gouvernants. La loi a autorité et doit être l'expression de la volonté générale. Elle n'est acceptable que si elle est unanime et garantit la liberté individuelle. Il rejette le despotisme et toute autorité d'un homme

développement des échanges et des voyages d’une part, qui participe de la remise en question de l’ethnocentrisme, et l’essor économique de la bourgeoisie d’autre part, qui conduit à la contestation d’une société fondée sur la naissance et les privilèges. II. Combats · Vaincre l’obscurantisme En France, surtout, triomphe un courant philosophique largement laïcisé. Pour une écrasante majorité et pour la première fois dans l’histoire de la pensée, les philosophes ne sont plus des clercs, c’est à dire

attirent l’attention, ce qui permet l’acquisition d’un nouveau vocabulaire. Le despotisme éclairé est une doctrine politique issue des philsophes des Lumières. Variante du despotisme qui s’est développée au milieu du XVIIIe siècle, le pouvoir y est exercé par des manarques dont les decisions sont guidée par la raison et qui se présentent comme les premiers serviteurs de l’Etat. Les principaux despotes éclairés ont ainsi entretenu une correspondance suivie avec les philosophes des Lumières, et

l'enseignement. Il s'agit d'une pensée qui se développe en Europe au XVIIIe siècle, fondée sur le pouvoir de la réflexion, sur la raison et sur l'esprit critique. L'expression "lumières" vient du mot des philosophes pour décrire leur attitude : "éclairer toutes chose à la lumière de la raison". Cette littérature se veut contestataire et didactique. Le régime politique en France était la monarchie absolue, un régime politique dans lequel l'autorité est détenue par le roi qui doit cependant respecter

l'intégrité de son père. Il en sortira des textes importants, comme le Voyage à Langres et l'Entretien d'un père avec ses enfants. Dès 1761, Diderot pense à vendre sa bibliothèque pour doter correctement sa fille - qui n'a encore que 8 ans. Catherine II intervient et achète le bien. Non seulement elle l'achète "en viager" pour permettre au philosophe d'en garder l'usage jusqu'à sa mort mais en plus elle le nomme bibliothécaire de ce fond et le rétribue en tant que tel. Suite à un retard de paiement

favorables et d’une politique hégémonique. A. Les ambitions hégémoniques La famille des HABSBOURG issue de Charles Quint. Il a partagé ses Etats entre son frère et son fils. Son frère, Ferdinand Ier détient le titre impérial et son fils Philippe II le titre de roi d’Espagne en 1556. Ce dernier va reprendre politique de son père mais pas instaurer autorité universelle mais juste imposer hégémonie espagnole. Portugal, réclame couronne du Portugal en 1580 en faisant valoir les droits qu’il tient

Rousseau prône une religion naturelle, celle du cœur. Le plus connu pour son engagement est Voltaire (affaire Calas), mais tous sont, à leur façon, des militants. I) Généralités. A) Définition des Lumières. Les philosophes des Lumières veulent "éclairer" leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance, notamment à travers le projet grandiose de l’Encyclopédie. Les Lumières veulent asseoir le règne de la raison, de la lumière naturelle qui accumule des connaissances. B) Bornes historiques. Pour

la démarche la méthode et les domaines d’intérêts de Montesquieu. 22 2.2.1.2.2. Montesquieu sociologue et philosophe 24 2.2.1.2.3. Montesquieu politologue. 25 2.2.1.2.4. Montesquieu constitutionnaliste. 28 2.2.2. Section II : les Lumières des philosophes et des princes : 30 2.2.2.1. les Lumières des philosophes, Bayle Voltaire et Diderot. 30 2.2.2.1.1. Pierre Bayle et la tolérance religieuse. 30 2.2.2.1.2. Voltaire (1694-1778) 32 2.2.2.1

Lettres philosophiques. Le jeune exilé y est accueilli chaleureusement, d'autant que tout ce qu'il voit et entend sur la liberté et la monarchie l'enthousiasme. Rentré en France, il veut montrer à ses compatriotes éclairés ce qu'est un régime de liberté et leur rendre odieux le despotisme et e catholicisme. Pour écrire cet ouvrage, Voltaire se donne beaucoup de mal. En effet, de nombreux voyageurs et gazetiers ont déjà donné aux Français des indices sur l'Angleterre ; mais ils sont épars et il faut