Dialectique Maitre Esclave

PLATON Ménon L’œuvre de Platon est constituée de dialogues, forme littéraire qui correspond à une exigence philosophique essentielle. Car la vérité est l’objet d’une recherche commune et rationnelle. Elle n’est atteinte que grâce à une dialectique, c'est-à-dire l’art méthodique d’interroger et de répondre. Le dialogue institue entre les hommes un rapport fondé sur la raison et non sur la violence. Le Ménon est un dialogue de jeunesse. Les dialogues de jeunesse (dits encore « socratiques »)

pas se comprendre en dehors de la cité. La cité = libre, correspond à une ville, vit en autarcie. Athènes domine l’Attique (2600 km2). Démocratie ancienne (antique) = direct = chaque loi faite et votée directement par les citoyens (pas tous, ex : esclaves). Société simple. Petite pop + superficie restreinte. Platon dit que cité parfaite = 1x2x3x4x5x6x7 citoyens = 5040). Aristote dit que si une cité dépasse 10 000 citoyens, commence à mal fonctionner. Aujourd’hui -> démocratie représentative, indirect

chômage. HEGEL pense aussi que l'homme est libre s'il n'a pas peur de mourir. Un homme qui a peur se soumet à l'autre et devient alors son esclave. Il existe la dialectique du maître et de l'esclave. C'est à dire que l'esclave travaille pour le maître et devient libre car il travaille mais le maître lui compte sur le travail de l'esclave. Il devient donc esclave de l'esclave. Dans le travail l'homme affronte des obstacles, des difficultés mais va les affronter. L'homme est fier de son travail.

navigation L'Homme doit-il se rendre maître et possesseur de la nature L'Homme doit-il se rendre maître et possesseur de la nature L'Homme doit-il se rendre maître et possesseur de la nature L'Homme doit-il se rendre maître et possesseur de la nature L'Homme doit-il se rendre maître et possesseur de la nature Le projet de devenir « maître et possesseur de la nature » a-t-il encore un sens de nos jours ? Le projet de devenir « maître et possesseur de la nature » a-t-il

reconnaît pas que le fou est ce qu'il croit être. Or, la reconnaissance par l'autre ne passe pas simplement par la reconnaissance de l'autre. Il ne suffit pas que je reconnaisse autrui pour qu'il me reconnaisse : tel est le véritable sens de la dialectique du maître et de l'esclave. 6. Qu'est-ce que la reconnaissance d'autrui ? • Je reconnais autrui comme un homme, et en échange, il fait de même... Hegel va montrer en quoi cette thèse est absurde : si je cesse de dominer autrui, si je le reconnais

qu'apparences, qu'imitations imparfaites. Platon distingue donc trois degrés de réalité2, auxquels correspondent trois types de personnes. Les philosophes sont les seuls, par la pratique de la raison dialectique, à avoir accès aux Idées qui constituent le plus haut degré de réalité. Cette dialectique, qui se pratique par le dialogue rationnel, permet à l'esprit du philosophe de s'élever jusqu'au plus haut degré de la connaissance, à savoir l'intelligence. Suivent les artisans qui, par la fabrication

quel but ? » I – Le pouvoir mis en scène (signes non-verbaux) 1 – L’espace scénique * L’espace scénique est bien souvent hiérarchisé = opposition entre des positions dominantes et des positions dominées > passe essentiellement par la dialectique du haut et du bas. * Rhinocéros : on a une véritable mise en scène de l’autorité du chef de bureau grâce à la porte de son cabinet. 2 – Les accessoires * Comme dans la sphère réelle, la représentation du pouvoir passe par des attributs

de « dialectique du maître et de l’esclave ». Le maître a besoin d’être reconnu comme maître par l’esclave alors même qu’il le considère comme un simple instrument. D’un côté, le maître traite l’esclave comme une chose ; de l’autre, il le reconnaît comme son égal, puisqu’il lui suppose une pensée, une conscience d’homme. L’esclave, lui, n’a pas besoin d’être reconnu comme esclave, puisqu’il l’est en fait. En revanche, s’il veut être reconnu comme conscience libre, il doit s’opposer au maître en se

de torture pour les bœufs ou les chevaux agités. Le travail était donc souvent associé à la peine et à la souffrance, physique ou morale. Les esclaves travaillaient pour leurs maîtres et souffraient. Lorsqu’ils devaient effectuer des travaux forcés, les esclaves étaient fouettés. Encore aujourd’hui, nous pouvons dire que nous sommes en quelque sorte « esclaves du travail » puisque beaucoup de travailleurs souffrent de leur condition, qu’ils soient cadres, ouvriers, artisans ou bien étudiants. Le travail

dans l'Antiquité, on considérait que construire un pont, c'était transgresser l'ordre naturel des choses, l'équilibre universel établi par les dieux. Ce sacrilège, parfois nécessaire pour des raisons militaires, par exemple, demandait réparation: le maître de la religion avait alors pour mission de conjurer la colère divine. =} Ainsi pendant longtemps, la religion fut liée à la technique, à un ensemble de savoir faire, de rites. -Si l'homme occupe une place privilégiée dans l'univers, s'il est à