Diction

au siècle précédent, et on continuera sensiblement à utiliser les mêmes techniques à ce niveau au 19e siècle.   Quant à la diction et au jeu, c’est le style français qui prédomine à l’époque, grâce au classicisme. Le but, pour les pays autres que la France, est donc d’essayer de se dégager de ce style. Mais en France, les acteurs étant formés selon le style de diction et de jeu français, il demeurait plus difficile de représenter les nouveaux personnages du romantisme, l’influence classique demeurant

et la réalité du 19° siècle. En effet la jeune femme sait s'exprimer malgré quelques fautes dans la tournures de ses phrases mais n'a aucune notion d'orthographe ou de grammaire. De plus lorsque Ida parle, elle semble avoir quelques problèmes de diction. h)Maulincourt est le représentant des jeunes gens de l'aristocratie de la Restauration car il en est l'exemple typique. Il cherche par tout les moyens à percer le secret de Madame Jules, ce qui lui procure beaucoup de plaisir, il est prêt à risquer

personnages se remettent en place, l’éclairage apparait, la pièce reprend. Du côté du spectateur : Tout d’abord j’ai vraiment apprécié jeux de lumière intéressants. Dès le début de la pièce j'ai été prise de fascination par tous les acteurs, diction impeccable, gestuelle plus que gymnastique sur cette table « ping-ponguesque ». Les acteurs sont excellents. Il y a une bonne harmonie de chacun. Ils se complètent. Un excellent texte qui restitue parfaitement le monde si étrange de Kafka. Une mise

conformément aux vœux de la Pléiade. – Mise en valeur des ressources du vers français, des possibilités offertes par le rythme : la longueur de la phrase du deuxième quatrain s'oppose à l'accumulation des monosyllabes dans le premier tercet, la diction heurtée suggérant la souffrance du poète. La cadence régulière du vers 9 souligne le caractère inexorable de la contrainte subie. Mais surtout importance de la chute du quatorzième vers : la coupe lyrique du vers 14, qui isole les deux derniers

à l'opéra. Car l'aspect volontairement burlesque des personnages marionnettistes, qui parlent avec des vocabulaires d'aujourd'hui et un accent parisien, est contrebalancé par le sérieux de Gulliver qui récite le texte au passé simple, avec une diction théâtrale « classique ». Efficace aussi comme il impose un contraste et un bon rythme entre léger et grave, coupant la bouffonnerie au bon moment avant qu'elle n'alourdisse les mots. Seul survivant d'un naufrage, Gulliver se réveille sur le

évoqué par les pronoms « on » ou « ils » : le maître et l’élève cheminent ensemble vers le savoir. « Conversaient joyeusement ensemble » R montre au lecteur la clarté de l’enseignement de P grâce à un vocabulaire précis « haute et intelligible voie diction claire » « « expliquant les points les plus obscurs » »en tirait des conclusions pratiques » »s’exerçant le corps et l’esprit… »etc…..Ce programme éducatif alterne la répétition de la leçon « répéter (plusieurs fois dans le texte) récitait par cœur

structure rythmique Même rythme dans strophes 10-4-6-10 La première version manuscrite montre qu’Apollinaire avait d’abord songé à des tercets de 3 décasyllabes. La version définitive paraît meilleure car elle oblige à une diction continue des 3 vers 4+6+10 / à mettre en parallèle avec la continuité du courant du fleuve. De plus, production d’ambiguïtés ex : strophe 1 « amours : -sujet partiel de « coule »(accord à la latine avec le sujet le plus rapproché)

syntaxe (« Les uns et les autres qui est ici... », « Je vous donne quelle est mon opinion. »). Les journalistes Jean-Pierre Elkabbach et Alain Duhamel, ainsi que certains anciens collaborateurs de Marchais insistent sur son « sens du spectacle » et sa diction particulière, estimant que Marchais faisait ainsi pour se démarquer des autres ; les chiffres d'audiences qui en découlaient étaient, selon eux, un excellent révélateur de son impact.

« Préambule : comment étudier le théâtre », Étude sur Molière, Dom Juan, Olivier Leplatre, Ellipses, 1998, p. 5-8. Choisir une scène et dans cette scène, un personnage, et en étudier le jeu selon les aspects suivants : Éléments de jeu : 1. le ton : la diction et les inflexions : de quelle sorte d’énoncé s’agit-il (peur, sarcasme, agressivité, timidité, provocation) ? Comment l’acteur a-t-il rendu ce ton : a) quels moyens a-t-il choisis (inflexions, accentuation des mots, arrêts, pauses, tempos en accord

et une compréhension différente. Mais lire une pièce dans le but d'aller voir sa représentation serait alors une conciliation fructueuse. C'est en cela que la lecture et la représentation d'une pièce de théâtre sont liées, comme la lecture et la diction d'un poème le sont.