Diégèse

ensuite, nous ferons ressortir ses effets rétrospectifs reflétés sur la scène de nudité en un acte flagrant délit sous les yeux de Muffat, le lecteur effectif de la chronique. La chronique citée dans cet article s’inscrit dans le cadre de la diégèse qui se réserve exclusivement de relater l’histoire du personnage de Nana, comme le montre l’omniprésence du pronom personnel « elle » partout dans le texte, les appellations «mouche d’or », « jeune fille », « mouche », ou encore les adjectifs « grande

yourcenarienne : l’universalité. Elle-même l’évoque dans son entretien avec Matthieu Galey quand elle affirme que la finalité est « d’atteindre le mieux l’humain et l’universel » (Les YO, p.62). Mais quel rapport entretient cette théorie avec la diégèse ? III- La diégèse comme support et exemplum de l’essai Dépassant l’ancien tiraillement entre les deux modes d’organisation du discours selon lequel tout est récit car l’homme s’engage à la quête du monde et de sa destinée ou que tout est argumentation

propos d’Adoam qui décrit pourtant d’après télémaque « un pays dont on raconte tant de merveilles qu’à peine peut-on les croire » p.262. b. inscription dans le diégèse : La description de la Bétique correspond à une demande de télémaque dont la fin coïncide avec la fin du livre VII. Mais ce tableau est une mise à distance de la diégèse par opposition avec les autres tableaux politiques qui pourraient avoir une signification utopique tels l’Egypte de Sésostris, la puissance de Tyr, la Crète de Minos

Genette, Figure II « Frontières du récit » ⇨ Platon, La République, livre III ⇨ Aristote, La Poétique /=> catégories différentes, conclusions différentes Mimésis => imitation ; Diégésis => diégèse Platon est le premier à théoriser une opposition entre mimésis et diégésis ; diégèse = le récit, l’histoire, le contenu narratif Mimésis chez Platon = imitation dialoguée, présence ou absence d’un narrateur /=> poésie et fiction entièrement imitative ; tragédie et comédie Diégésis ;

L’Avare est une pièce de théâtre, plus précisément une Comédie : En effet, la loi des trois unités est respectée, on retrouve bien -L’unité de temps : la diégèse se s’effectue dans un espace temporel réduit .-L’unité de lieu:Le lieu reste le même tout le long de la diégèse (Maison d’Harpagon)-L’unité

moustaches en Yatagan sorte du cadre et du cadre narratif donc les moustaches en yatagans sont un signifiant. Nous avons affaire à une métalepse (Quelque chose sort du premier niveau de niveau de l’histoire/ la diegese.). Tout ce qui est hors niveau est extra-diegetique ou une extra-diegese. On sort de l’intrigue. Le fantastique est fondé sur la metalepse qui passe de la réalité à l’univers de la réprésentation. Le rôle de l’incipit et de donner un cadre et ici il est dejà marqué par la métalepse

sont permises par l’unité recouvrée de l’écriture et du corps : les deux romans familiaux antiques se joignent pour se compléter. Le traitement que réserve le roman des Lumières au thème de l’orphelin ou de l’enfant trouvé à l’intérieur de sa diégèse montre l’influence sensible du roman grec, par delà l’héritage du roman baroque. Par exemple, dans L’Histoire d’une Grecque Moderne de Prévost, la reconnaissance de Théophé est empêchée par l’absence d’un document sûr attestant son origine. Mais,

(v. 839-848), et par ses propres remords (v. 849-859), avant de manifester de la sollicitude pour les enfants qu’elle laissera derrière elle (v. 860-868). Nœud de l’intrigue, le passage constitue à la fois une rupture qui modifie l’équilibre de la diégèse, et un condensé de son déroulement. Phèdre, qui s’y découvre criminelle et déshonorée, dresse son propre acte d’accusation. Elle renoue avec un désir de mort qui marquait déjà le premier acte et qui clôturera la pièce. La machine infernale tragique

de la pizza, de la crème gacée, de la poudre pour bébé ainsi qu’un cellulaire. Ces éléments font partie de la diégèse, c’est-à-dire du contenu narratif, qui place les figures du loup et du petit chaperon rouge, auquel font allusion respectivement Monsieur Leloup et Manon Lerouge par leurs noms de famille, sous une nouvelle perspective, c’est-à-dire celle du XXIème siècle. La diégèse, c’est-à-dire le signifié ou contenu narratif impose un sens différent au récit, à l’action de raconter l’histoire

: Intradiégétique car il fait partie du niveau de récit qui précède le récit premier, un récit enchâssé. Homodiégétique puisqu’il fait partie de l’histoire qu’il raconte, il s’exprime au « je ». En effet, le grand-père est présent dans la diégèse, il est un personnage de son récit : une situation qu’il a vécue il y a soixante-dix ans et qu’il raconte lors d’une veillée. Narrataire  : Invités présents à la veille du jour de l’an, en 1858, chez le père Hervieux dont nombreux