Diégèse

partition. La voix narrative n'est pas la voix de l'auteur. Elle est créée par l'auteur, au même titre que l'intrigue. Elle peut se borner à énoncer les phrases du récit. Elle peut aussi commenter, juger, ou déléguer sa fonction à un acteur de la diégèse. le récit d’enfance, ne pouvant s’adresser à personne, n’a d’autre destinataire que son narrateur ou sa narratrice, qui le reçoit. Le « moi » projette le discours d’enfance, le « surmoi » l’écoute. Monologue, Soliloque et Polylogue Le monologue

schichtig : elle perd complètement les pédales Cette lettre nous apprend beaucoup de choses : elle décrit le portrait de Cécile On n’a pas les réponses de Sophie ces lettres seront omises. Mais ces lettres ont quand même existé au niveau de la diégèse. Composition du récit fait partie de la fiction De S on a aucune lettre, pourtant elle est un personnage important. Elle est comme une caisse de résonance pour des idées de Cécile. On apprend qui est C à travers de ses lettres. Dans ce parlé même

plusieurs récits intra-diégétiques prennent place et semblent être en rupture avec la limpidité de la trame. Les récits de Mme de Tourmon ou encore ceux de Sancerre et ceux de Vidame de Chartres pour donner des exemples, rompent la continuité de la diégèse. Mme de La Fayette, est maître de son intrigue, elle conduit son héroïne vers un chemin déterminé, cela impliquant le fait que le personnage, de ce point de vue, n’est aucunement autonome au sens où sa voie est tracée d’office. L’auteur se montre

règle de vraisemblance, mais cette espace favorise l’animosité entre les différents personnages, il va permettre de concentrer la haine dans un espace localisé. Les lieux peuvent être considéré comme des élément interne à la diégèse, comme dans Britannicus lorsque Junie dit dans l’acte II scène 6 « vous êtes en des lieux tout plein de sa puissance. Ces murs mêmes, Seigneur, peuvent avoir des yeux ; et jamais l’Empereur n’est absent de ces lieux », la

effective. L’exemple encore de Claude Simon (s’inscrivant dans la tradition du nouveau roman, en rupture avec les canons du roman classique, notamment le roman réaliste) (« La route des Flandres ») où la permanence d’un matériau romanesque dépourvu de diégèse, ne sert que de support au lecteur qui, par sa lecture, interprète et donc reconstruit un autre univers conformément à celui de l’hypotexte. Ainsi, cette activité de reconstruction du spectateur pourrait presque être rapprochée de celle du Démiurge

textes conjoints (le document, la fiction...). Selon différentes modalités : Juxtaposition, superposition, surimpression... Coprésence des supports, des codes : absence d'intégration des codes. Plasticité comme possibilité d'être dans un continuum (diégèse pour la narration, surface picturale, enchaînement textuel) mais aussi de s'abstraire de ce continuum, pour trouver une forme d'autonomie, qui ne rompt pas le continuum mais joue à côté. Impossible synthèse mais intégration de différents codes, coprésence

personnage focal (elle) est démontrée par ses 3 examples : « la ville lui apparaissait comme un monstre au cœur de pierre » (l17), « tout lui semblait étrange » (l53), « Rien ne lui paraissait humain, ni les gens, ni les choses, ni les bruits » (l73). La diègèse dans le récit nous est présenté à travers les sens de la femme, mais aussi le narrateur nous permet d’entrer dans le monde intérieur / intime de la femme. Le narrateur analyse presque les sentiments ressentis pas la femme sans que ce soit verbalisé

d'alchimie à la fin du même chapitre. Nous avons affaire ici à un tour de force. En effet le narrateur évoque à plusieurs reprises la lumière, qu'il s'agisse de celle dont parle Baugin, de celle dont parle Néron ou encore de celle exprimée dans la diégèse elle-même, l'absence d'étoiles et de lune à la fin du texte. Nous voyons une diminution de cette lumière si nous passons d'un terme à l'autre : les feux deviennent des flambeaux, puis une torche et enfin la nuit noire. Le narrateur semble « éteindre »

son enterrement, c'est un début de retour à la vie qui lui est offert. Le tuyau d'essence resté dans la voiture et arraché représente le cordon ombilical enfin coupé. Le cadre a changé et s'est déplacé pour montrer ce qu'il y avait hors cadre. Diégèse : l'histoire. On utilise ce terme pour la clarté : un élément diégétique est mieux qu'«historique» (pour la confusion). 2) La lumière : Les réalisateurs peuvent jouer avec pour la connotation qu'elle revêt. Elle peut représenter la vie, Dieu, la

des point de fuite des objet ou des personne, des objet fractionner, des regard dirigé, des porte ouvert ou hombre et aussi le son etc.. Autant d’élément qui vont nous permette de créer une tension une dynamique entre le champ et le hors champs. Diégèse = recit Methode : 1er etape = observtion et description de signifiants Relevée des signifiants c a dire des traces formelles organisationnelles et chromatique de l’image (phase d’approche iconique) ou nous allons relevé er nommé le ssignifiants