Dîme saladine

permanentes. Les turcs Seldjoukides dominent le calif abbasside de Bagdad (qui est sunnites) et créent de petits émirats (Jezirha, Anatolie, Syrie). Les Fatimides chiites, quand à eux contrôlent l'Egypte depuis le Caire, et seront par la suite conquis par Saladin en 1171. A l'ouest, les berbères et les Almoravides, puis les Almohades dominent le Maghreb et l'al-Andalus. (une partie de la péninsule ibérique) Le XII siècle se définit comme un période très particulière quand aux mouvements méditerranéens qui

mains des byzantins jusqu'au début du XIIe siècle, après un bref passage aux mains Seldjoukides à la fin du XIe siècle. Les Byzantins devront céder leur place aux croisés au tout début du XIIe siècle. En Juillet 1188, l'armée du sultan Saladin assiège le château, lors d'une campagne d'affaiblissement des abords d'Antioche. Le château est confié à l'émir Nasir al-Din Mankawars. L'émir et ses descendants le conserveront jusqu'à l'époque Mamelouke où il est placé sous la tutelle ayyoubide

personnages fictifs et personnages historiques, le jeu inclut des figures dirigeantes connues comme Saladin, Garnier de Naplouse, Guillaume de Montferrat ou Robert de Sablé. La troisième croisade qui s'est déroulée de 1189 à 1192 a été menée par trois souverains : Frédéric Barberousse, Philippe Auguste, et Richard Cœur de Lion. Le but de ces expéditions était de reprendre Jérusalem (et la Terre sainte) à Saladin. Cette croisade a eu pour conséquence la reprise de plusieurs ports de la région, et la libre

Les documents analysés par Hisham al-Hashimi ont également permis une meilleure connaissance de l'organisation interne du groupe[169]. Autour d'Abou Bakr al-Baghdadi, sept hommes composent le « gouvernement » de l'État islamique en Iraq et au Levant : Abou Abdul Kadr (Shawkat Hazem al-Farhat), chargé de l'encadrement ; Abou Mohamed (Bashar Ismail al-Hamdani), chargé des prisonniers ; Abou Louay/Abou Ali (Abdul Wahid Khutnayer Ahmad), chargé de la sécurité ; Abou Salah (Muafaq Mustafa Mohammed

Saladin à Jérusalem: la «ré islamisation» de la ville (1187) p51-52 Quel est le contexte de la prise de Jérusalem par les musulmans et comment Saladin procède-t-il à une «ré islamisation» de la ville? I- La bataille de Hattin: cause de la prise de Jérusalem par Saladin A) Les forces en présence B) Une victoire musulmane décisive II- Saladin à Jérusalem: remise en valeur des lieux saints de l'Islam... A) La mosquée d'al-Aqsà B) La coupole du Rocher III-...ainsi qu'une certaine clémence

Poussés par le Jihad (la guerre Sainte) les musulmans se rassemblent contre l’ennemi commun avec pour objectif de libérer les territoires occupés et surtout la symbolique Jérusalem. Ils sont plus nombreux, bien équipés et sont menés par un grand chef Saladin (1138-1193) qui fonde une dynastie unifiant l’Egypte, la Syrie et l’Irak. Vers 1150, alors que les efforts visant à reprendre Jérusalem devinrent sérieux, les Musulmans cherchèrent à raviver la flamme du djihad dans les esprits en augmentant la

syrien né a Shaizar, ville dont sa famille a hérité en 1081 dans la confusion de l'avancée seldjoukide, il est né en 1095, l'année où s'est tenu le concile de Clermont qui allait entrainé la première croisade. Il est mort en 1188 un an après que Saladin ait repris Jérusalem. Donc sa vie s'est déroulée pendant ces deux premières croisades auxquelles il participa mais de façon plus ou moins ambiguë du fait de la position géographique de sa ville Shaizar qui se situe en Syrie du Nord à la frontière

construites afin de les défendrent : elles sont tenues par des ordres tels les Templiers ou les Hospitaliers. Cependant, les Francs ne peuvent tenir le comté d'Edesse qui tombe dès 1144 malgré le secours de la deuxième croisade. En 1187, les Musulmans que Saladin est parvenu à unir battent les Francs qui perdent Jérusalem et ne peuvent conserver qu'une mince bande côtière. La troisième croisade (1192) ne permet que la reprise durable d'Acre et la conquête de Chypre. Les Francs en Palestine et en Syrie créent

Saladin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Saladin (homonymie) et An-Nasir. SaladinAl-Malik an-Nâsir Salâh ad-Dîn Yûsuf[1], ou Saladin (Tikrit, 1138 ; Damas, 4 mars 1193)[2] est le premier dirigeant de la dynastie ayyoubide, qui a régné en Égypte de 1169 à 1250 et en Syrie de 1174 à 1260. Lui-même dirige l’Égypte de 1169 à 1193, Damas de 1174 à 1193 et Alep de 1183 à 1193. Son nom, an-Nâsir, signifie « celui qui

dynastie des Ayyoubides (1159-1250) l'effort se poursuit. En 1169, Saladin fut nommé nouveau Vizir de l'Égypte et, deux ans plus tard, il prit le pouvoir des mains de la famille du dernier Calife Fatimide, Al-Adid[.. En tant que premier Sultan d'Égypte, Saladin établit la dynastie des Ayyoubides, basée au Caire et à Damas, et lia l'Égypte avec le Califat des Abbassides, qui était situé à Bagdad[]. Pendant son règne, Saladin fit également construire une citadelle en 1176, sur le Jebel Moqattam