Diploïde

phénotype ne se résume pas à la seule expression du génotype. I. Le phénotype peut correspondre à plusieurs génotypes différents. 1) Un gène, des allèles. Pour la plupart des gènes d’une espèce, il existe plusieurs allèles. Les cellules diploïdes possèdent 2 exemplaires de chaque gène soit 2 allèles portées chacun par un chromosome homologue de chaque paire de chromosome, ce sont les chromosomes d’une même paire, ils portent donc les mêmes gènes mais pas nécessairement les mêmes allèles pour

sous plusieurs formes : les allèles. Un phénotype moléculaire donné dépend de l'expression des différents gènes qui s'expriment dans le voie métabolique qui conduit à cette molécule, donc a un même phénotype correspond de nombreux génotypes. Le diploïde possèdent 2 allèles de chaque gènes : Si les 2 allèles sont les même, il est dit homozygote pour ce gène. Si les 2 allèles sont différentes, il est dit hétérozygote. L'allèle qui s'exprime dans le phénotype lorsqu'il est présent en deux

have shown that three other species of sunflower (each growing in a habitat too harsh for either parental type) are each the product of an ancient hybridization between Helianthus annuus and H. petiolaris. Although each of these species has the same diploid number of chromosomes as the parents (2n = 34), they each have a pattern of chromosome segments that have been derived, by genetic recombination, from both the parental genomes. They demonstrated this in several ways, notably by combining RFLP analysis

protozoaires, virus,… En résumé, ce sont des organismes de structure procaryote (peu d’organite et pas de noyau = cellule haploïde comportant n chromosomes) et de structure eucaryote (nombreux organites, noyau délimité par une membrane = cellule diploïde possédant 2n chromosomes). 6.1.1.1. La lampe UV 6.1.1.1.1. Le fonctionnement Elle est protégée par une gaine de quartz. Cette gaine renferme du mercure et un gaz inerte, généralement de l’argon. L’énergie électrique, apportée par un ballast

Dans les espèces très avancés, les mâles n’existent plus, le chromosome Y a disparut, chez les abeilles… Cela a des conséquences importantes, la reine est diploïde et le mâle est haploïde. Entre deux ouvrières du côté maternel est de 50%, du côté paternel la proximité génétique est de 100% car les ovules sont créés par mitose. Haplo-diploïde : proximité entre sœurs La proximité génétique entre deux ouvrières est de (50+100)/2 = 75% Une ouvrière qui veut se reproduire elle-même va transmettre

ou femelle. On les appelle les gênes "sexuels". Si le gène n'est présent qu'à un seul exemplaire, ce sera un mâle. S’il est présent en 2 exemplaires, ce sera une femelle. Dans certains cas, ce gène peut être défectueux, et on peut voir des mâles diploïdes, c'est-à-dire des mâles obtenus avec des œufs fécondés. Chez ces mâles, un des deux exemplaires du gêne est fonctionnel, et l'autre non (mutation...) et donc, même s'il est issu d'un œuf fécondé, il n'y a qu'une seule copie du gène "sexuel" et cet

Montrer comment la méiose est à l'origine de la diversité des génotypes des gamètes. Pour illustrer le brassage interchromosomique, on envisagera la méiose chez un individu diploïde hétérozygote pour deux gènes A et B non liés, puis pour illustrer le brassage génétique intrachromosomique, on envisagera la méiose chez un individu diploïde hétérozygote pour deux gènes D et E liés. La réponse, qui inclura une introduction, un développement structuré et une conclusion sera illustrée de schéma(s).   2ème

tissus conducteurs -apparition : -de cellules reproductives entourées de périneles cellules peuvent vivre plus longtemps -des tissus conducteurs Ptéridophytes = cryptogames vasculaires mode de reproduction sans fleurs racines pied feuillé diploïde moins sensibles aux effets des mutations tissus conducteurs en trachéides (cloisons transversales) structure de reproduction pluricellulaire = archégone autour de la gamète femelle fougères au sens strict : filicinées ex : polypode (TP) -375

des plantes dégrade la cutine. Cette enzyme est alors appelée « cutinase ». a. La cutine : substrat naturel de la cutinase La cutine (Fig. 3) est un polymère cuticulaire des plantes supérieures (plantes se reproduisant grâce à des graines diploïdes), recouvrant toute la surface aérienne de la plante et servant de protection sous forme de cuticule à la plante (non au niveau des racines) (Woloshuk C. P. and Kolattukudy P. E., Proc. Natl. Acad. Sci. USA, 1986). La cutine se compose d’hydroxyl

actuellement en cours. Ils reposent essentiellement sur Ics méthodes classiques et visent l’intégration des outils biotechnologiques. En effet. la maitrise des techniques de production in vitro de plantes chlorophylliennes haploïdrs (cultures antheres) ou diploïdes (cultures d’embryons immatures) offre différentes possibilités aux sélectionneurs. Pour cela, un travail a été réalisé dans le cadre de notre programme de recherche qui a pour objectif l’adaptation de ces deux techniques aux variétés marocaines.