Disney Matrice Bcg

d’utilisateur type, par exemple un homme d’affaire d’une cinquantaine d’années pour Mercedes Une expérience : de nombreuses marques proposent une expérience de consommation spécifique ou elles orchestrent une expérience mémorable pour les clients ( parc Disney, Apple store,…) 2. Les principaux types de marques : Les principaux types de marques sont: La marque corporate: La marque entreprise ou corporate brand correspond au nom de l’entreprise positionné et promu en tant que marque. L’Oréal, Danone

Iphones, Ipads et autres produits. Ainsi, ils se sentent faire partie de l’élite de la population. IAE BORDEAUX – MASTER 2 MANAGEMENT COMMERCIAL INTERNATIONAL 10 Le schéma ci-dessous illustre bien cette stratégie. Comme le montre cette matrice, on remarque la volonté de stratégie de haut de gamme, puisqu’Apple se situe à un prix élevé pour une bonne qualité. Autour de lui gravitent ses concurrents. On s’axera majoritairement sur Samsung dans cette étude, qui se rapproche le plus d’Apple

marché international et des adultes Pas de croissance intégrative Trois méthodes d’analyse de portefeuille d’activité : 1) Méthode BCG 2) La méthode multicritère 3) L’analyse SWOT Gestion portefeuille : quels produits intéressants? Quels produits se ramassent ? Lesquels je dois enlever ? A) La méthode BCG : La matrice « Croissance/pdm relative » (BCG) Deux critères : - Taux de croissance du marché (attractivité) - Part de marché relative au leader (compétitivité) Axe des

« Répartition du chiffre d’affaires par branche d’activités en 2010 »......……….…12 Schéma 3 : « Présentation de la branche SNCF Voyages »……………...……………………...14 Schéma 4 : « Résultats des ACV à fin 2010 »……………………………………………...…...16 Schéma 5 : « Matrice BCG du portefeuille d’activités de l’ACV Est »………………………...24 Schéma 6 : « Route Nord-Sud du TGV Rhin-Rhône »………………………………………….56 Schéma 7 : « Route Est-Ouest du TGV Rhin-Rhône »………………………………………….56 Schéma 8 : « Typologie des visiteurs à un salon »……………………………………………

Ces facteurs contribuent à réduire de manière continue le coût de 47 CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT fabrication unitaire d’un produit à chaque doublement de production. Formalisée dans les années soixante par le Boston Consulting Group (BCG) à partir d’une mission réalisée chez Texas Instruments, la courbe d’expérience exprime le résultat de l’effet d’expérience sur les coûts. Elle s’énonce ainsi : les coûts ajoutés baissent d’environ 20 % à 30 % en valeur réelle à chaque fois que la production

technologies. Ces facteurs contribuent à réduire de manière continue le coût de 47 C CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT fabrication unitaire d’un produit à chaque doublement de production. Formalisée dans les années soixante par le Boston Consulting Group (BCG) à partir d’une mission réalisée chez Texas Instruments, la courbe d’expérience exprime le résultat de l’effet d’expérience sur les coûts. Elle s’énonce ainsi : les coûts ajoutés baissent d’environ 20 % à 30 % en valeur réelle à chaque fois que la production

faire émerger des idées nouvelles auxquelles les entreprises ne penseraient pas spontanément. Une segmentation conçue avec sérieux peut procurer à l’entreprise un avantage certain vis-à-vis de ses concurrents. C) La matrice du BCG (Boston Consulting Group) D) L’approche Mc Kinsey (matrice “ atouts “/”attraits”) E) La méthode Delphi (ou cyberdelphi) → pour toutes ces notions, voir le dossier « La mercatique dans l’entreprise » F) Utilité de la macro-segmentation . Outre le fait de délimiter le

marché du petit déjeuner chocolaté pour enfants. Il y a des contraintes à franchir, 3 contraintes : - Licence d'exploitation : après analyse, on ne peut pas franchir le marché si on n'a pas de licence d'exploitation d'image par exemple de Walt Disney ou Dreamworks ; - Absorption des frais fixes : il faut absorber les frais fixes de production donc il faut avoir du volume, donc des accords avec la grande distribution (notion de plaque géoéconomique) ; - Frais fixes de RD : mix produit

standardisation et adaptation 3.2 Le potentiel de globalisation des produits et des marques Table des matières XI 10 LE CHOIX D’UNE STRATÉGIE DE MARKETING 1 L’analyse du portefeuille d’activités 1.1 1.2 1.3 1.4 La matrice « croissance-part de marché relative » La matrice « attractivité-compétitivité » L’analyse SWOT L’utilité des analyses du portefeuille d’activités 303 304 304 310 316 318 321 321 322 325 327 328 333 334 338 338 339 340 341 342 342 344 351 352 354 355 356 357 358 359 362

et des marques 284 287 289 289 290 292 294 295 298 299 Table des matières 10 LE CHOIX D’UNE STRATÉGIE DE MARKETING 303 1 L’analyse du portefeuille d’activités 304 1.1 1.2 1.3 1.4 La matrice « croissance-part de marché relative » La matrice « attractivité-compétitivité » L’analyse SWOT L’utilité des analyses du portefeuille d’activités 2 Les options stratégiques de base 2.1 Les conceptions de la stratégie 2.2 Les stratégies de base dans les marchés existants