Distique élégiaque

Apollinaire annonçait le projet d’une plaquette à paraître : Le Vent du Rhin, celle-ci comporterait les poèmes inspirés de son séjour rhénan et sa relation avec Annie Playden (ton mélancolique). Ce projet échoue et il publie plutôt en 1905 le poème élégiaque « La Chanson du mal aimé ». En 1912 le recueil revient sous le titre Eau de vie. Mais au dernier moment, dans le texte déjà imprimé, le poète rajoute le poème cubiste « Zone », supprime la ponctuation et opte pour le titre plus significatif : Alcools

indications temporelles et spatiales. Achevé en 1912, « Zone » est le poème le plus récent d’Alcools. À première vue, il ne comporte pas de strophes traditionnelles immédiatement perceptibles et ordonnées en un système stable. Ni quintil, ni quatrain, ni distique, ni sizain… Apollinaire n’a pas construit son poème sur des moules préétablis, des formats typiques. De même, il est malaisé de circonscrire des suites de vers réguliers, tant domine dans ce poème une liberté formelle qui autorise les agencements

3) Strophes et formes fixes La strophe est le regroupement de vers en un paragraphe, séparé du reste du poème par des blancs. Il existe différentes sortes de strophes, selon le nombre de vers qu’elle comporte ; les plus courantes sont : - le distique : contient 2 vers. - le tercet : contient 3 vers. - le quatrain : contient 4 vers. - le quintil : contient 5 vers. - le sizain : « » 6 vers. - le dizain : « » 10 vers. On distingue différentes formes fixes de poème : des poèmes dont la

vers 2 et 3 constituent, à eux deux, un unique décasyllabe (4 + 6), rimant avec les vers 1 et 4 : « – eine ». On a donc, en réalité, trois décasyllabes monorimes, pour les couplets, et deux heptasyllabes monorimes, pour le refrain : 1 tercet + 1 distique. Notons que l’on observe dans la 3ème strophe une diérèse : l’adjectif « violente » qui dans la prononciation normale ne comporte que deux syllabes (vio/lente) en comprend ici nécessairement trois (vi/o/lente), faute de quoi le vers n’aurait plus

Apollinaire « L'Esprit nouveau » ? 4) Comment peut-on affirmer qu'Apollinaire est bien le fils de la période appelée « Belle Époque » ? III. Les caractéristiques du genre 1) Quelle est la thématique principale du recueil propre à la tonalité élégiaque ? 2) Dans quels poèmes néanmoins souffle une tonalité beaucoup plus gaie et exaltée ? 3) Comment le schéma métrique et la syntaxe manifestent-ils cette tonalité plus vivante ? 4) Quelle unité pourrait-on être tenté de trouver entre les différents

la solitude douloureuse ds laquelle, contrairement à la passante, le poète se trouve : les destins se croisent ms ne s’équivalent pas : le sien est bien + lourd, lourd de cette puissance amoureuse dont il n’a pu se décharger et dont, sur un ton élégiaque, il fait presque le reproche à la passante de n’avoir rien su faire ds un emploi du v. savoir assez contradictoire : v. 13 la fm ne peut s’imaginer la nature de la quête poétique (emploi à la forme nég.) puis, juste au v. suivant, revenant, ac l’imparfait

Ce poème est inscrit dans l'esprit nouveau, mouvement initié par Apollinaire. Nous nous demanderons comment le poete exprime t-il la fuite du temps. Pour ce faire, nous parlerons dans un premier temps du poème élégiaque et dans un deuxieme temps, du poeme incantatoire. I- Un poeme élégiaque. a- Expressions des sentiments personnels. Absence de marques de destinataire, mais presence de la 1ere pers du pluriel «nos bras, restons» On peut penser que cela s'adresse à Marie comme si elle était

C’est un être d’exception qui introduit une perturbation et une rupture dans l'univers de la jeune fille, il a des qualités morales et physiques, focalisation sur le héros dont le sacrifice est exalté. Cf Catulle, 64, 78-79, accent sur les victimes, distique suscite la compassion et l’admiration. Cf Didon, admiration pour la uirtus d’Enée, reconnaissance de son genus, Enée cumule les qualités de bon roi, de chef de guerre juste et pieux, cf I, 456-545 Les qualités d’E dont écho à celles de D, vertus

des mots, comme Jacques Prévert le fait. Les surréalistes explorent le réel, tels André Breton ou Desnos qui se penchent sur leurs rêves, leur inconscient. III. Les principaux registres employés en poésie - lyrique- élégiaque - satirique Les registres lyriques et élégiaque. - épique LE ROMANDéfinitionLe roman est défini comme étant une œuvre d’imagination constituée par un récit en prose d’une certaine longueur, dont l'intérêt est dans la narration d'aventures, l'étude de mœurs ou de caractères

possible, Est-il possible - le fût-il, - Ce fier exil, ce triste exil? Mon âme dit à mon cœur : Sais-je Moi-même, que nous veut ce piège D’être présents bien qu’exilés, Encore que loin en allés?» Analyse Dans ce poème élégiaque, Verlaine exprime l'ambivalence de ses sentiments à l’égard d’une «femme», qui est évidemment Mathilde Mauté, qui, quelque peu maléfique, le rendait «triste», sans que l’éloignement (avec Rimbaud?) l’ait «consolé». Cet «exil» est à la fois «fier»