Doit On Supprimer Le Smic

rémunération Les composants du salaire Le salaire de base • C’est la rémunération principale du salarié/travail qui est versé par l’employeur en contre partie du travail fourni • Il doit respecter la règle du SMIC (salaire minimum légal) ou le salaire minimum conventionnel (qui est forcément supérieur au SMIC et est prévu par la convention collective) • Le salaire est déterminé lors de l’embauche • Loi de 1978 qui a instauré la mensualisation → Forfait mensuel quelque soit le nombre de jour

ne doit pas dépasser un certain plafond (pour 2012, le revenu fiscal de référence, le revenu de 2011, ne doit pas dépasser 16 251€ pour les personnes seules et 32 498€ pour les couples ou les pacsés ; + 4 490€ pour que demi-part supplémentaire et + 2 245€ pour chaque quart de part supplémentaire). * Un des membres du foyer fiscal doit exercer une activité professionnelle. * Le montant des revenus d’activité de chaque personne susceptible de bénéficier dans le foyer de la PPE doit être

capital au travail ou à délocaliser la production vers des pays à main d'œuvre bon marché. I/ La vision libérale du coût du travail * La nécessaire flexibilité du marché du travail Selon les libéraux, il faut abaisser fortement (voire supprimer) le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance, créé le 2 janvier 1970) qui empêche le retour au point d’équilibre du marché du travail résultant de la rencontre entre l’offre et la demande de travail. Il faut aussi limiter le pouvoir des

salariés leur rapportent autant qu’il coûte ; ainsi, la demande de travail est plus importante lorsque le salaire est bas. Il ne faut donc pas que le coût du travail soit trop élevé. Les néoclassique préconisent donc la libéralisation du marché, qui doit s’autoréguler. Le chômage involontaire est dans ce cadre impossible (concurrence pure et parfaite) : il ne peut résulter que d’une volonté du chômeur de ne pas occuper une place à un salaire trop bas, qui pourtant est le salaire d’équilibre. Les keynésiens

impact sur le revenu disponible et sur le niveau de vie des deux ménages. I. Analyse de cas A) SMIC2 Nous débuterons l’analyse de cas par l’étude du Smic 2. On entend par là, un ménage composé d’un couple où chaque membre travaille 35H par semaine gagnant chacun le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance (SMIC) ; soit un montant de 1040€/mois net, d’après les renseignements fournis dans le complément d’information sur l’EPI. De plus ce couple n’a aucune autre source de revenu

marché du travail, c'est-à-dire le prix du travail – le salaire –, doit augmenter, car on assiste à une compétition entre les dirigeants d'entreprise pour recruter les travailleurs encore disponibles sur le marché. – L'offre de travail est supérieure à la demande : on constate une abondance d'offre de force de travail par rapport à une demande qui n'a pas évolué dans les mêmes proportions. Le prix du travail – donc le salaire – doit normalement baisser. À partir du moment où un bien apparaît sur

d’assurances sociales, d’allocations familiales et d’accidents du travail. Cette exonération est accordée dans la limite de la rémunération égale à 130, 140, 150% du Smic, le taux d’exonération variant selon l’effectif et le secteur d’activité de l’entreprise Afin de bénéficier des exonérations de cotisations de Sécurité sociale, l’employeur doit adresser au service recouvrement de la CGSS dont il relève (au plus tard lors de la première échéance de cotisations au cours de laquelle l’exonération est appliquée)

GRH : Chap.1 La politique de rémunération Fixation du salaire qui doit contribuer à donner à chacun une rémunération équitable. Cette rémunération implique de prendre en compte la qualification du poste et la performance du titulaire. I-La politique de rémunération : a)Fixation du salaire 1)Evaluation du poste Mise en place dans l’E d’un échelonnement des postes les uns par rapport aux autres et d’un barème correspondant. Il faut tenir compte : Des descriptions de poste Des classifications

françaises par l’Etat. L’économie de marché est un système économique où les biens et services sont échangés sur la base de prix déterminés grâce au mécanisme de l’offre et de la demande. Nous pouvons nous demander quel doit être la place de l’Etat dans cette économie de marché, et jusqu’où doit-elle intervenir ? Nous tenterons de répondre à ces questions en étudiant le rôle indispensable de l’Etat dans l’économie et nuancerons ensuite en étudiant les limites de cette intervention et par l’étude de l’approche

pour les économistes libéraux c’est l’intérêt égoïste de ces membres. Un ordre social émerge de la multitude des intérêts particuliers. Pour que l’intérêt particulier soit cohérent avec l’intérêt général, il y a la condition de la concurrence qui doit être remplie. La concurrence garantie que l’intérêt individuel ne va pas se faire au détriment de l’intérêt général. La concurrence discipline les égoïsmes individuels. L’égoïsme seul est nuisible mais la rencontre des différents égoïsmes va dans