Dom Juan Subversive

Molière, Dom Juan, Acte I, sc. 1 – Éloge du tabac. Commentaire littéraire. ⇨ En quoi cette scène d’exposition est-elle une illustration du double libertinage de Dom Juan – libertinage philosophique et libertinage moral – qui va dominer toute la pièce ? Et, partant, en quoi annonce-t-elle la pensée des Lumières ? ← Axes de lectures : o Une scène d’exposition à la fois classique et atypique. o L’inscription de la scène dans une idéologie. Introduction - Le

la suite de Tartuffe interdit, Molière donne le 15 février 1665 Dom Juan. C’est l’histoire d’un mystificateur chevronné. La pièce se caractérise par son aspect transgressif et perturbateur : aussi bien au niveau de sa forme que de son contenu, Dom Juan, de par sa plasticité, s’inscrit dans la tradition des œuvres novatrices et contestataires des canons esthétiques jusqu’alors observés par la plupart des dramaturges, y compris Corneille qui serait l’un des premiers classiques à ouvrir la brèche de

dimension polémique de l’Ecole des femmes 1. la portée subversive de la scène Molière s’amuse à l’aide des maximes à parodier les dix commandements bibliques. Ainsi, Arnolphe, dans la péroraison de son discours qui s’apparente d’ailleurs à une forme de sermon engage Agnès à « savoir son office ». La jeune fille lit ensuite les 10 maximes proposées par son directeur de conscience, pourrait-on dire. Cette scène a une portée subversive car Molière glisse dans les maximes des passages à connotation

Texte Orale français Dom Juan Actes 3, scène 1 P73 à 75 Intro : Présentation de la pièce et de l’auteur Situé l’extrait dans la pièce : La fin des l’acte 2 est marqué par la mise en péril de DJ et S par l’annonce de l’arrivé des 12 hommes (frère de don Elvire) dont découle le stratagème au cour du quel Sganarelle se dissimule sous l’habit d’un médecin. L’acte trois s’ouvre sur une discussion sur la médecine dans laquelle Molière règle ses comptes. Ce qui semble être une digression est

Commentaire Comparé : Séquence Théâtre Molière est un dramaturge classique. Il écrit Dom Juan en 1665, une comédie en cinq actes. Celle-ci porte sur le libertinage d'un noble, Dom Juan, et plus généralement sur le thème de l'opposition entre la noblesse dominante qui possède tous les droits, et la roture encore impuissante et soumise du 17éme siècle. On se situe à l'acte I scène 2, après que Dom Juan ait fait sa grande tirade de l'inconstance, son valet essaie tant bien que mal de critiquer

La dimension polémique de l’Ecole des femmes   1. la portée subversive de la scène Molière s’amuse à l’aide des maximes à parodier les dix commandements bibliques. Ainsi, Arnolphe, dans la péroraison de son discours qui s’apparente d’ailleurs à une forme de sermon engage Agnès à « savoir son office ». La jeune fille lit ensuite les 10 maximes proposées par son directeur de conscience, pourrait-on dire. Cette scène a une portée subversive car Molière glisse dans les maximes des passages à connotation

facile à comprendre et une morale simple et pratique. Le divertissement semble donc être tout à fait une fonction ou plutôt un besoin de la comédie, mais, comment s’en fait-elle pour divertir ? Tout est permis dans la comédie : mélange des genres (Dom Juan), rebondissements (les dénouements des pièces de Molière), quiproquos (Le Médecin malgré lui), coups de théâtre… l’important, c’est de plaire. Pour cela la comédie a recours à plusieurs procédés comiques : -Le comique des mots : niveaux de langage

exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportées aux spectateurs sous forme de récits. Quelques exceptions comme le suicide de Phèdre, ou la folie d’Oreste dans Andromaque, chez Racine ou celle de Dom Juan chez Molière sont restées célèbres. La règle de vraisemblance : Cette règle a pour but de définir des limites sur l’imagination des pièces, en d’autres termes, le spectateur ne doit pas croire que la pièce est une fiction, un conte.

Dom Juan de Molière – Acte 2 scène 2 Introduction : Dom Juan est l'une des plus célèbres pièce de Molière . Rapidement écrite en 1665 pour remplacer Tartuffe qui avait été censurée , cette comédie et pièce à machine n'obéit pas au règles du théâtre classique et mélange les registres comique , tragique et fantastique . Molière reprend le personnage d'un grand seigneur débauché . La puissance subversive de la pièce apparaît dans la peinture du libertin ainsi que dans le personnage de Sganarelle

platoniques avec des chats, des alcooliques défoncés à l’absinthe ou au vin aux terrasses des cafés qui reluquent les minettes défilant sous leurs yeux...L'univers baudelairien est peuplé de créatures aussi véritables que fictives, aussi immorales que subversives, aussi salvatrices que destructrices, véracité fabuleuse qui fera de lui le moderne inspirateur des Rimbaud, des Verlaine et autres Mallarmé. Mais le bon peuple n'aime pas qu'on lui balance à la figure une vérité qu'il n'est pas habitué à contempler