Double Ignorance

aurez conscience dans quel environnement vous vivez et ce vers quoi il s'oriente, vous pourrez être en droit de dire, je sais qui je suis et ce vers quoi je vais. Actuellement, vous vous nourrissez de livres qui n'est que le prolongement de votre ignorance et même, si le temps vous apporte un réconfort intellectuel de votre amorce de compréhension de la vie humaine, il sera trop tard pour vos enfants, nous les avons conduit où nous savions qu'il ne fallait pas aller et que nous avons volontairement

rien: c’est le cas de monsieur Jourdain « Ah! Que cela est beau! » l. 18 . Sa réaction est décalée par rapport au contenu de l’apprentissage: « A, E, I, I, I, I. Cela est vrai. Vive la science! » l. 21. En réalité le personnage part de loin et son ignorance finir par émouvoir: « Ah! La belle chose que de savoir quelque chose! » l. 28-29. Rose a un aspect comique par son attitude: les didascalies la décrivent « ahurie » l. 6, « ouvrant de grands yeux » l. 13 ou encore « voulant avoir compris » l. 22

recu de son pere. Pour ce faire il consultat bon nombre de sanvant,de spheres divers. Celui-ci ,s'etait donner pour but d' instruire, du mieux qu'il pouvait les gens de sa commuauté en apportant une nouvelle idée; celui de prendre conscience de son ignorance afin de s'assagir. Socrate,avoueait lui-meme manquer de connaissance. Cependant, ce état de concsience le rendrait plus sage que n' importe quel autre "savant" de son temp parce qu'en effet,celui admet avoir un manque ,recherche toujours d'une maniere

de Nietzsche : « dans la bouche d’un dieu est adressée au hommes ». Il va alors montrer de manière très ironique en quoi cette introspection est ridicule. Faire de la connaissance de soi une injonction et un idéal repose sur une illusion et une ignorance radicales. En quoi la conscience morale nous montre-t-elle l’aberration de la notion d’introspection ? Parce qu’elle conduit à nous faire croire que nous avons une voix intérieure infaillible qui nous dit ce qui est bien et ce qui est mal. Bien agir

qui entraînerait une erreur de jugement. Dans ce cas, le doute serait un instrument qui nous empêcherait de nous complaire dans nos préjugés. Une question se pose donc, le doute est-il une faiblesse intellectuelle et morale qui refléterait notre ignorance et notre impuissance ou au contraire est-il un instrument qui nous permettrait de reformer nos pensées ? Est-il la marque de notre impuissance ou la condition de la manifestation de la liberté de l'esprit ? I. Le doute, une faiblesse sur le plan

position artistique lorsque le spectateur se trouve face à une œuvre d'un artiste dont il ignore tout. Alors il doit seul ressentir que que l'auteur a voulu montrer. Peut-être que le spectateur pensera autre chose que le concept créé par l'artiste. Son ignorance sera alors une position artistique. Chaque spectateur peut commenter et échanger son impression, ses points de vue. Les enfants, notamment peuvent avoir une approche très naturelle de l'art. En France, ils vont facilement au musée dans le cadre

Socrate tenta en vain de se persuader ainsi que les autres que c’était faux. Cependant, il se rendit compte que c’est en ne prétendant rien savoir que l’on se rapproche de la sagesse et qu’en pensant tous savoir, on ne prend pas compte de notre ignorance. Malheureusement, c’est par le «bien» de sa sagesse que Socrate fut mis à mort. Il est par contre intéressant d’observer l’idée que Socrate a de la mort. Quant à moi, la philosophie que cet homme porte sur la mort ne me donne pas raison de son opinion

aussi tous ses semblables. Il les méprise et les humilie avec l’utilisation de question rhétorique « Mais, dîtes-moi, tenez-vous table ? »(V.15) La Fontaine le décrit comme une un homme vaniteux « était tenu de l’honorer »(V.8) , revendiquant son ignorance, « Que sert à vos pareils de lire incessamment ? »(V16). En contraste avec l’ignare, l’auteur fait un portrait élogieux du savant, quoique celui-ci ne parle pas et qu’il ne soit pas décrit. En fait nous avons un portrait en creux mis en évidence

représentation. Or, si l'homme a le sentiment de la liberté et s'il agit comme s'il était libre, l'est-il réellement ? Selon le philosophe Spinoza, la liberté telle que la conçoit l'homme n'est qu'une illusion; elle n'est que la simple marque de son ignorance des causes qui le déterminent. Dans la présente lettre LVIII adressée en 1674 à son ami médecin, Schuller, il aborde le thème de la liberté. Spinoza présente sa conception de la liberté, mais réfute, avant, la conception traditionnelle de la liberté

et de l’obscurité à la lumière. Ce que Platon essaye de nous faire comprendre, c’est que l’idée du bien est perçue en dernier, celui-ci est la source de toutes bonnes choses sur terre. Pour moi, Platon m’invite à sortir de ma caverne (mon ignorance) à la lumière (soleil des idées), passer du monde sensible au monde des Idées, de l’ignorance à l’instruction ainsi que de l’illusion à la réalité.