Dreyfusards Non Dreyfusards

l’affaire Dreyfus est considérée par beaucoup comme une des plus grandes injustices du XIX° siècle. Tiraillée entre l’antisémitisme (raciste envers les juifs), mensonges d’État et trahisons, cette affaire divisa en son temps les Français, opposant dreyfusards (ceux qui croient en son innocence) et antidreyfusards (ceux qui croient qu’il est coupable). Au cours de l'hiver 1894, le capitaine Alfred Dreyfus, juif d'origine alsacienne

société par peur qu'il n'influent le monde même dans ces idées naturalistes et presque humanistes. Sa popularité monte au zénith et il reçoit le soutien de nombreux dreyfusards, écrivains, artistes, hommes politiques (comme Clemenceau). Il bouleverse alors le pays et celui-ci se divise en deux : les Dreyfusards et les anti-Dreyfusards. Le but premier de critiquer et faire bouger les choses politiquement est mis en marche : il s'affiche comme le chef incontesté de l'écriture politique. <<

Pour Aron, l'intellectuel est un « créateur d'idées » et doit être un « spectateur engagé ». À cette conception s'oppose celle du dreyfusard Julien Benda. Dans un essai intitulé La Trahison des clercs (1927), il déplorait le fait que les intellectuels, depuis la guerre, aient cessé de jouer leur rôle de gardiens des valeurs "cléricales" universelles, celles des dreyfusards (la Vérité, la Justice et la Raison), et les délaissent au profit du réalisme politique, avec tout ce que cette expression comporte

dessous du parti Dreyfusard. A côté de la révolution violente de la commune, révolution maladroite, sans violence qui permit au parti républicain d'accéder au pouvoir dans un pays encore très conservateur. 1905 : date de la séparation de l'église et de l'état et du succès de cette révolution. La question de la révolution La violence physique n'est pas le critère principal, bien que cette révolution n'ait pas été dépourvue d'actes violents : combats des Ligues contre les dreyfusards dans Paris,

pas parler aux républicains. La France va donc choisir et élire des représentants. b) L'élection d'une Assemblée Nationale. Les Français élisent une Assemblée Nationale, qui se réunis à Bordeaux. Mais, la masse des Français sont des paysans et non des Parisiens. Mais il faut quand même des représentants pour parler aux Prussiens et aussi savoir ce que va devenir la France puisque l'empire s'est effondré et Napoléon est prisonnier des Prussiens à Sedam. Ce sont donc eux qui vont décider de l'avenir

  mille   bottes   de   foin.  Dedans  Anatole  France  se  livre  à  une  analyse  lucide  de  l'Affaire  dans  laquelle  il  fut   entièrement  impliqué  en  tant  que  dreyfusard.  Nous  montrerons  que  cet  extrait  met  en   evidence  l’injustice  subie  par  Dreyfus  à  travers  une  fiction  littéraire.  La  premiere  partie   de   ce   commentaire

Clemenceau, publie J’accuse de Zola, à l’époque très célèbre. Minoritaires et marginaux ● Lazare, fort incroyant aspire à la totale assimilation des juifs dans la société française ● Scheurer-Kestner, de la bonne société, protestant (comme beaucoup de dreyfusards), se considère comme protecteur des Alsaciens ● Le commandant Picquart, alsacien, prend la tête des Renseignements, découvre la culpabilité d’Esterhazy, ce qui lui vaut une disgrâce. Y compris au début chez les intellectuels ● Les premiers intellectuels

espion qui travaille pour les Allemands. Dreyfusards est reconnu comme coupable parce qu'il est juif Mobilisation des amis de Dreyfus, cherchent à prouver son innocence. 1898 Émile Zola, grand écrivain, publie un article dans le journal « Aurore », il commence par « J'accuse ». L'opinion public se mobilise, se divise entre - les Dreyfusards : défende l'innocence, la justice, la vérité, la liberté, ils sont Républicains, parti de gauche. Les anti-Dreyfusards : Estiment qu'il faut défendre L'État

royaliste et monarchique. Siége a Versailles, elle refuse la défaite et se revolte: La commune de Paris: rassemblement d'hommes et de femmes qui refusent la défaite allemande et la République conservatrice. On y trouve des socialistes midérés, des non modérés (revolutionnaire) et des anarchistes. Tout ces gens sont determiner la référence des communards sont les Sans-culottes. Ils mettent en avant un programme social et prennent comme symbole le drapeau rouge. La fin de la commune: Les Versaillais

juif ! » (Le bordereau.) III) Les dreyfusards et les antidreyfusards. L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique de la Troisième République qui a surgit la fin du XIXe siècle, concernant l’accusation portée auprès du capitaine Alfred Dreyfus, français d’origine alsacienne et juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et