Droit de cuissage

Figaro. Figaro est un personnage qui fait rire les spectateurs avec différents types de comique, tel est le cas à l’acte II scène 21 avec le comique de geste, « […] j’ai sauté sans réflexion sur les couches, où je me suis même un peu foulé le pied droit » le valet fait comme s’y-il boitait pour faire croire que c’est lui qui à sauter du balcon et non Chérubin. Chérubin est lui aussi un personnage comique de cette pièce non seulement avec le comique de caractère à l’acte I scène 7, « j’y joindrai mille

       Que le Comte a « jeté ses vues » sur Suzanne et qu’il tente de monnayer auprés d’elle la dot offerte pour son mariage en réclamant en contrepartie la possibilité d’exercer un « droit de cuissage » (« Sache qu’il la destine (la dot) à obtenir de moi secrètement certain quart d’heure, seul à seule, qu’un ancien droit du seigneur… »)        Nous apprenons en outre par Figaro que le Comte a lui-même aboli cette coutume sur ses terres lors de son mariage avec Rosine. Ce détail n’est pas sans importance :

privilèges et les abus des puissants. Dans l'acte 1 scène 1,Suzanne avoue à Figaro que le Comte a des vues sur elle et qu'il veut exercer son droit de cuissage. Marceline va dans l'acte 3 scène 16 faire un plaidoyer envers les femmes voir un réquisitoire. Pour elle, les femmes manquent de considération quel que soit leur condition. Elles ont des biens mais aucun droit juridique, pas de libre arbitre « Traitées en mineures pour nos biens,punies en majeures pour nos fautes ». L'Assemblée des femme va ,elle

petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. […]Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre.». On sent aussi tout le tragique de la scène quand il parle D’Hémon qui veut se marier à Antigone : « Il ne savait pas qu'il ne devait jamais exister de mari d'Antigone sur cette terre et que ce titre princier lui donnait seulement le droit de mourir. » une pièce aussi émouvante qu’Antigone est tout autre

accepte de le voir en secret au jardin le soir. Elle joue habilement avec le Comte en acceptant de l'écouter mais en posant ses conditions en lui lançant une pique pour lui rappeler son statut de seigneur : « Mais aussi point de mariage, point de droit du seigneur » . Le Comte est séduit par la répartie de Suzanne. Lorsqu'il veut l'embrasser, Suzanne s'échappe prétextant qu'il y a du monde, laissant le Comte frustré mais convaincu de la conquérir.Il s’agira de se demander comment Suzanne parvient-elle

à chanter de Suzanne et l'entremetteur du comte. Le comte a donné une dot à Suzanne, que Figaro avait considérée comme un cadeau pour lui. Suzanne lui fait comprendre qu'en faisant cela le comte achète ses faveurs: il veut rétablir le vieux droit de cuissage. Ca n'est pas un obstacle au mariage mais un obstacle au bonheur. A la fin, présentation de la comtesse, délaissée par son mari. On entrevoit là que Figaro et Suzanne vont lutter ensembles et que de l'autre côté le comte et Bazile seront alliés

champ les serviteurs… » !!! Pourtant, ou plutôt par conséquent, les valets laissent entrevoir, dans le film moins que dans le roman, il est vrai, un désir d’affranchissement. Annonceraient-ils la proche Révolution où le Tiers-Etat réclamera enfin des droits ? Incarnent-ils, comme Figaro, l’espoir de voir un jour le mérite considéré à sa juste valeur, autrement plus grande que celle de la naissance ? Les valets dans LD sont en effet des êtres cultivés (Azolan cite les lectures de la Présidente, la femme

est arrivée à envisager son état d'infériorité comme chose allant si bien de soi, qu'il n'en coûte pas peu de peine de lui démontrer combien sa situation est indigne d'elle, et qu'elle doit viser à devenir dans la société un membre ayant les mêmes droits que l'homme, et son égal sous tous les rapports… » Conclusion «…La femme aussi est adjurée de ne pas rester en arrière, dans cette lutte où on combattra pour sa propre liberté, pour sa propre délivrance. C'est à elle qu'il appar­tient de montrer

Marceline vieille gouvernante , mere naturelle de Figaro Antonio le jardinier Le resumé: Figaro doit epouser Suzanne, mais le comte qui commence à s'ennuyer avec sa femme est attiré par Suzanne. Il veut « restaurer » le droit de cuissage ( droit du seigneur qui lui permettrait de profiter de coucher avec Suzanne avant Figaro ) Il entreprend de seduire Suzanne, qui revele tout à Figaro et la comtesse. Ridiculisé lors d'un rendez vous qui est enfait un piege, le cote doit demander

Critiquer vices sous ttes formes (situation, visuelle, verbale, gestuelle, type de caractère faisant rire * Rapport entre maitre et valet * Mariage de Figaro ou la Folle journée : F veut épouser Susanne et le comte veut exercer son droit de cuissage. Pièce 1 journée Intrigue concentrée, unité de tps. (Acte I = décor chambre, Acte II = appartement, Acte III = jardin). L’imbroglio de la sc permet à F. de monter stratégie pr empêcher le comte d’arriver à ses fins avec S. * PB : Quels