Du Capitalisme Managérial Au Capitalisme Actionnarial

monnaies et le risque de change), une banque centrale mondiale et un gouvernement économique mondiale. Où en sommes-nous aujourd’hui en réalité :  G20 tenu en avril 2009 :  But : lutter contre les paradis fiscaux  Logique de maintien du capitalisme libéral fondé sur la libre circulation des capitaux.  Chine  USA « privilège exorbitant »  Droit de tirage spéciaux : valeur ancrés sur un panier de monnaie émis par le fond monétaire internat. Ce n’est pas réaliste car il n’y a pas de

économie : la théorie des jeux- la rationalité limitée d’H. Simon-l’économie de l’information- l’économie contractuelle (Coase-Williamson-la théorie des droits de propriété-la théorie de l’agence-la théorie des parties prenantes). 5.3 L’approche managériale de l’entreprise : Berle, Means, Galbraith .VI. Les approches cognitives de l’organisation 6.1 Cyert et March : la mémoire organisationnelle 6.2 Argyris , Schön et Nonaka : apprentissage organisationnel 6.3 L’école évolutionniste 6.4 Hamel et

affirme que les protestants ont aidés au développement du capitalisme - « est ce qui est considéré comme tel par un groupe ». Les valeurs peuvent alors évoluer. Une typologie des entreprises a été proposée par Octave Gélinier en 1968. Il y a trois types d’entreprises : - L’entreprise familiale traditionnelle : indépendance des dirigeants, conservation du patrimoine - L’entreprise bureaucratique : indépendance personnelle - L’entreprise managériale : efficacité, rationalité Toutes personnes vit avec

économie : la théorie des jeux- la rationalité limitée d’H. Simon-l’économie de l’information- l’économie contractuelle (Coase-Williamson-la théorie des droits de propriété-la théorie de l’agence-la théorie des parties prenantes). 5.3 L’approche managériale de l’entreprise : Berle, Means, Galbraith .VI. Les approches cognitives de l’organisation 6.1 Cyert et March : la mémoire organisationnelle 6.2 Argyris , Schön et Nonaka : apprentissage organisationnel 6.3 L’école évolutionniste 6.4 Hamel et

économie : la théorie des jeux- la rationalité limitée d’H. Simon-l’économie de l’information- l’économie contractuelle (Coase-Williamson-la théorie des droits de propriété-la théorie de l’agence-la théorie des parties prenantes). 5.3 L’approche managériale de l’entreprise : Berle, Means, Galbraith .VI. Les approches cognitives de l’organisation 6.1 Cyert et March : la mémoire organisationnelle 6.2 Argyris , Schön et Nonaka : apprentissage organisationnel 6.3 L’école évolutionniste 6.4 Hamel et Prahalad

théories 1. L’entreprise comme unité de production. A. La firme comme une boite noire B. La firme-acteur de l'économie industrielle C. Les approches contractuelles a. Les coûts de transaction. b. La firme comme nœud de contrats c. Les analyses managériales. D. Théorie de la décision, la mise en cause de l'hypothèse de rationalité 2. L'entreprise comme organisation A. Weber et la bureaucratie B. L’analyse stratégique C. Efficience X et culture d'entreprise 3. La firme évolutionniste 4. La firme

durable 20 III- Vers une théorie du champ de l’entrepreneuriat 22 Conclusion 26 Références 27 Introduction Depuis une quinzaine d’années, la théorie des parties prenantes fait l’objet d’une attention croissante dans la littérature managériale. Elle se trouve, en effet, au cœur des débats portant sur le rôle joué par l’entreprise dans nos sociétés. La notion de partie prenante (PP à présent) a d’abord été mobilisée en stratégie avant de devenir incontournable dans les réflexions centrées

recherche de ses valeurs perdues. Dans le contexte de remise en cause du capitalisme, la Responsabilité sociale de l’entreprise (RSE), notion à la fois ancienne et moderne connaît un regain d’attention. La progressive prise de conscience collective des effets néfastes du système économique international replace la Responsabilité sociale de d’entreprise et plus particulièrement des multinationales, acteurs principaux du capitalisme mondial, au cœur des préoccupations. La croissance ne peut se faire durablement

dotées des puissances de l’industrialisation vont devoir fixer et se partager leurs territoires à l’image des Etats-Nations Européens : ce nouveau monde multipolaire court donc un très grand risque. L’addiction à la croissance Selon Schumpeter, le Capitalisme est un processus de « destruction créatrice », en perpétuelle évolution, se débarrassant des éléments obsolètes. Les sociétés modernes sont donc fragiles et doivent faire l’objet d’une attention particulière : elles peuvent sombrer (crise de 1929

MONDIALISATION, CAPITALISME, ENTREPRISES …. AVANT PROPOS Nous reproduisons ci-dessous, avec son autorisation, un texte de la Fédération Générale de la Métallurgie CFDT sur la mondialisation. Cette fédération a estimé nécessaire d’armer intellectuellement ses militants sur cette question essentielle. Ce document fort complet, nous a paru par son intérêt devoir figurer dans notre site au titre des textes de références utiles pour une plus grande qualification des militants syndicaux. Ce texte