Du Capitalisme Managérial Au Capitalisme Actionnarial

augmente et la consommation diminue. Une solution existe pourtant : augmenter les impôts des plus riches pour redistribuer aux plus pauvres qui ont la propension à consommer la plus forte. Keynes continue néanmoins de croire au libre marché et au capitalisme vertueux qu’il faudra « soigner » à l’aide de réformes fiscales. Il n’est pas sûr que Karl Marx soit du même avis… Le marché, lieu de combat : Karl Marx sur le ring De formation philosophique, Karl Marx (1818-1883) a toujours exprimé de manière

en évidence l’importance stratégique des programmes créateurs de richesse choisis par la GRH. Parallèlement, l'environnement économique actuel de mondialisation, de progrès technologiques et informatiques incessants, favorise l'émergence d'un capitalisme patrimonial qui donne le pouvoir aux actionnaires et aux consommateurs( SEKIOU, BLONDIN, FABI, BAYARD, PERETTI, ALIS, CHEVALIER, Gestion Ressources Humaines 2ème édition, p. 58 et suite - Éditions De Boeck). Dans un tel environnement, la nécessité

Commission nationale de gouvernance d'entreprise, qui a animé récemment une conférence sur la « Gouvernance d'entreprise et décisions d'investissement ». D'abord, un obstacle structurel s'impose: il est lié à la nature du capitalisme marocain, qui n'est ni financier ni managérial, mais familial. Ce qui fait que le conflit d'intérêt entre actionnaires et dirigeants, qui se pose dans la grande entreprise cotée des pays développés et pousse vers l'adoption de bonnes pratiques afin d'éviter tout comportement

célèbre sellier et engage une guerre des nerfs aussi éprouvante que feutrée. Outre le choc provoqué par sa prise de participation de 17% révélée brutalement fin octobre, le numéro un mondial du luxe a créé une situation inédite dans l'histoire du capitalisme français, en s'invitant dans une entreprise protégée par un statut de commandite et détenue à 73% par ses actionnaires familiaux. Or la manière dont le groupe dirigé par Bernard Arnault a fait irruption chez Hermès, comme l'histoire même de la constitution

présente cet ouvrage comme étant une étude de « l'importation, dans les modèles et les pratiques de management, d'une psychologie comportementalo-humaniste, d'origine américaine. »1 Le contenu du livre est une critique des nouvelles techniques managériales, dites « développement personnel », mises en place dans les entreprises contemporaines. Résumé des Managers de l'âme Aujourd'hui, dans le monde de l'entreprise, les managers sont de plus en plus souvent amenés à prendre le rôle de « coaches »

le manager 1. Logique actionnariale 1.1 Finalité des nombres comptables  Utiles à la prise de décision des investisseurs  Logique de placement  Valorisation du capital investi par le SIC 1.2 Objectifs du SIC  Mesurer le capital investit apporté par les actionnaires  C’est mesurer le patrimoine accumulé dans l’entreprise = Valeur de l’entreprise Pour conclure : quelle représentation en comptabilité pour l’actionnaire ?  Logique actionnariale et évaluation patrimoniale

capital humain, capital financier, matières première, etc.) Ainsi, l’entrepreneur est au cœur de la dynamite industrielle et du développement économique, comme le souligne l’économiste autrichien Joseph SCHUMPETER. Chapitre 2 : La logique managériale Le manager se définit par cinq tâches qui sont spécifiques à sa fonction : - Définir une stratégie, c’est-à-dire, des objectifs à atteindre. - Choisir une structure permettant de mettre en œuvre cette stratégie. La structure correspond à l’organisation

elle-même permet d’accroître la productivité. « Un enrichissement indéfini devient possible » (p. 96). Pour Karl Marx, le capitalisme engendre la lutte des classes. L’ouvrier reçoit le prix de sa force de travail et le patron garde les profits engrangés grâce à la plus-value. Pour contraindre les prolétaires à accepter des salaires de misère, il suffit au capitalisme de maintenir une « armée de réserve industrielle », une masse de chômeurs prêts à remplacer à tout moment les travailleurs. De

sociale Le livre de Michèle Descolonges, sociologue, et de Bernard Saincy, responsable de la CGT, est écrit dans une perspective plus militante. Il s'adresse à ceux qui se demandent comment tirer profit de la RSE pour peser sur la trajectoire du capitalisme. Les auteurs commencent par montrer combien la réalité des choses est plutôt celle de la montée de l'"irresponsabilité sociale" des entreprises, malgré l'engouement dont bénéficie actuellement la RSE. Mais cela ne les amène pas à en rejeter en bloc

coûts des entreprises qui seront contraintes de se déplacer dans les lieux de production les plus propices. C’est cet engrenage qui nous laisse finalement penser que tout s’enchaîne, rapidement, automatiquement sans contrôle qu’il soit étatique, ou managérial. On aurait maintenant tendance à dénoncer les pays en développement qui effectueraient un dumping commercial et industriel pour attirer nos industries. La question du contrôle étatique revient ainsi souvent en Europe. La chine incarne l’Etat fougueux