Dualisme Fonctionnalisme

oppose le dualisme ontologique : il y a d’un coté les sciences de la nature qui ont pour vocation d’étudier des phénomènes universels et reproductibles, ce sont donc des sciences explicatives. Mais il existe aussi des sciences sociales et de laculture, mais ces sciences ont pour vocation d’étudier des phénomènes singuliers et historiques, on comprend. Il y a bien une différence de nature. |Il y a un dualisme des méthodes |Il n’y a pas de dualisme des méthodes

qu’elles sont antinomiques et que des dualismes comme ceux de l’agent et de l’acteur ou du structuralisme et de l’individualisme ou encore de l’objectivisme et du subjectivisme sont indépassables. En fait il n’en est rien et une analyse sérieuse de ces types met en évidence des passerelles. 1°) Les lectures fonctionnalistes Si le terme de fonctionnalisme date des années trente, ce n’est qu’autour des années 50 et du début des années 60 que le fonctionnalisme acquiert une réelle audience avec les

législateur étatique. Il ne faut pas croire que l'Etat démocratique a abandonné le droit divin, ou la divinisation du Prince. Au contraire, en renonçant à toute distinction entre loi humaine et loi divine, l'Etat-nation moderne a substitué à l'absolutisme (dualisme poli tique) le totalitarisme moniste d'une-seule-loi-pour-tous. L'opération idéologique est claire : entre l'individu et FEtat-nation-société, pas de place pour l'organisation sociale, ou l'incompatibilité des points de vue. Or, nulle langue n'a

réalité quotidienne, Le Corbusier a tenté de le pousser à se poser des questions sur ce monde misérable et par conséquent, à éprouver le besoin de changement. En adoptant la métaphore biologique et une formule d’argumentation Kantienne basée sur le dualisme (celle de la digestion), il avait créé chez le public un besoin qu’il va combler en proposant devant leurs yeux les solutions architecturales adéquates. Cette manière d’argumenter par l’image était semblable à un coup de théâtre. C’est une sorte

de Jean PIAGET, pour ne citer qu’eux, ont déjà ébranlé la position de la psychologie classique qui a cru, et croit encore dans certains milieux de la psychomotricité d’aujourd’hui, qu’il faut donner la primauté d’existence à l’idée et dès lors au dualisme. Plus près de notre époque, le Professeur Julien FALIZE cite Jean LE BOULCH dans son enseignement : « il nous parait fort illusoire, dit-il, d’essayer d’établir un cloisonnement entre les domaines cognitif, affectif et psychomoteur pour les enfants

 Il fut le premier à introduire les principes que nous utilisons aujourd'hui pour établir un consensus (discussion, questionnement sur ses idées et celles d'autrui, précision du sens des mots, etc.). Il propose une philosophie basée sur un dualisme entre le monde humain et le monde des idées, ces deux mondes s'opposant. Le monde dans lequel nous vivons, les objets qui nous entourent, notre corps sont des reflets des Idées. Pour lui, ces Idées constituent le réel absolu. Aussi, connaître suppose

généralement individuel : protection, séduction, hostilité, alliance ou échange de services. - Des entités non humaines sont perçues comme des personnalités avec lesquelles on peut établir des rapports sociaux - Descola oppose cet animisme à notre dualisme qu’il appelle « naturalisme occidental ». Quelle que soit la diversité des conceptions qu’on se fait de la personne, on distingue toujours le plan de l’intériorité et celui de la physicalité.  Intériorité : expérience subjective de soi, intentionnalité

l’analyse de données statistiques comme le socle de la scientificité de la sociologie) et de l’épistémologie de la sociologie d’autre part (à travers les contributions de Talcott Parsons, qui marquent l’essor du fonctionnalisme, et de son élève, Robert Merton, adepte d’un fonctionnalisme « de moyenne portée » [13]). Le centre de gravité de la sociologie américaine ne se trouve alors plus à l’Université de Chicago mais plutôt sur la côte Est, du côté des universités d’Harvard (à Cambridge, où enseigne

mettre à l’avant le fait que la société était une organisation indépendante des individus, bien que responsable de leurs actions. Notons également que Durkheim est à l’origine de l’un des importants héritages de la sociologie, soit le structuro-fonctionnalisme. Celui-ci peut être défini comme étant l’étude des différentes organisations au sein d’un groupe donné. D’ailleurs, Durkheim s’intéressait à ce sujet et a toujours voulu comprendre les problèmes de la société en étudiant l’ensemble des éléments

envisagé comme le seul objet digne de la science, et ce qui est accidentel). La dynamique a pour origine le processus de décolonisation, grâce au conflit des nouveautés et innovations apparaissent. Cependant il ne remet pas non plus en cause le fonctionnalisme ou structuralisme sans qui on n’aurait pas pu penser une dynamique des soc. « On ne peut pas penser la dynamique sans qu’on ait pensé la société stable » (besoin d’écart pour comparer). Balandier nous dit que Claude dénonce le terme d’archaïque