Dysphagie

Un jeune de 16 ans se présente à la consultation. Il est fébrile avec une dysphagie. L’examen retrouve une angine érythémateuse. Vous concluez à une angine rouge. • Que devez-vous faire ? A- Traitement symptomatique seul B- Amygdalectomie C- Traitement local par collutoire D- Antibiothérapie E- Auscultation cardiaque Cas clinique 1 Un jeune de 16 ans se présente à la consultation. Il est fébrile avec une dysphagie. C’est la deuxième fois dans l’année qu’il a ce type de symptomatologie. L’examen

lésions de grattage XIV- AUTRES SIGNES D’ALERTE * Polyphagie (mange en permanence) * Polydipsie (soif intense) * Anorexie (perte de l’appétit) * Boulimie * Nausées * Langue rôtie, saburrale * Fausse-route Dysphagie : «  Sensation de gêne à la déglutition. Traduit une lésion organique ou fonctionnelle de l’œsophage. » Dyspepsie : «  Trouble en lien avec l’œsophage et/ou l’estomac = difficulté à digéré » XV- LES PRINCIPAUX EXAMENS ASP = ABDOMEN

................. 58 3.5.4. Procidence de la 3e paupière..................................................................... 58 3.6. Les dysphagies ................................................................................................. 58 3.6.1. Troubles du contrôle volontaire de l’alimentation ................................... 58 3.6.2. Dysphagie orale........................................................................................ 59 3.6.2.1. Troubles de la préhension .....

dysgraphie 88 La dysorthographie 91 La dyscalculie 93 AA Astuce 96 IV. Les troubles du développement 97 L’autisme 99 Le syndrome d’Asperger 110 L’anosognosie 114 AA Astuce 117 V. Les troubles du mouvement 119 L’apraxie 120 La dyspraxie 123 La dysphagie 125 VI. Qui consulter ? 129 L’orthophoniste 130 Le phoniatre 138 Les tarifs et le remboursement d’un orthophoniste 140 Trouver des professionnels près de chez vous 143 L’orthophonie en un coup d’œil Le terme « orthophonie », créé par le docteur

les maladies des globules blancs. Appareil digestive Gastrite : inflammation de l’estomac Gastroentérocolite : inflammation de l’estomac et de l’intestin grêle Dyspepsie : digestion difficile Anorexique : diminution ou abolition de l’appétit Dysphagie : difficulté à avaler Polyphagie : besoin excessif de manger ou absence de sensation de satiété Hypersialorrhée : salivation abondante excessive Hépatalgie : douleur au foie Colectomie : ablation totale ou partielle du gros intestin Lithiase

- Début d’hydrocéphalie AU niveau du diagnostic : - Syndrome de korsakoff sans troubles du comportement avec : - Apathie (absence ou baisse de l’affectivité avec indifférence et inertie physique) - Dysphagie (difficulté de la fonction du langage provoquée par des lésions des centres cérébraux) - Troubles de la marche et de l’équilibre - Altération de l’état général - Incurie (négligence, absence de soin corporel) - Aboulie

(s’humidifie grâce à des glandes qui sécrètent du mucus facilitant ainsi sa progression)Patho de l’œsophage  : Cancer de l’œsophage Facteurs de risque : alcool, tabac, alimentation riche en sel, ATCD familiauxSymptomes : AEG, dysphagie aux solides puis aux liquides, douleurs médiastinalesComplications : métastases os, poumons, foieTTT : chirurgie, chimio, radiothérapieLe reflux gastro oesophagienFDR : hernie hiatale, baisse du tonus du SIO, tabac, café, obésitéSymptomes : pyrosis

prise en charge en ½ assis. Nous sommes au mois de juillet ; il fait 28°C à l’ombre. Mr A. a 28 ans. Il est resté tétraplégique suite à un AVP en juin 2006 au cours duquel il a eu une lésion complète en C7. Il peut s’exprimer, ne souffre pas de dysphagie et grâce à une prise en charge pluridisciplinaire

sont représentées par les neurinomes. Les signes cliniques des tumeurs médiastinales sont souvent des signes d’emprunt dus à la compression des organes de voisinage. Ainsi on aura une dyspnée en cas de compression de l’axe trachéobronchique, une dysphagie en cas de compression de l’oesophage, un syndrome cave supérieur en cas de compression voire d’envahissement de la veine cave supérieure, ou une névralgie en cas de compression des nerfs intercostaux La persistance de reliquats embryonnaires dans

mycose bucco-linguale PNEUMOPATHIE D'INHALATION PNEUMOPATHIE D'INHALATION épidémiologie - 1990 : British Medical Journal 136 sujet >87 ans : fréquence : 16% - Kawashima : 1313 sujets vivant à domicile de plus de 65 ans, dysphagie chez 13,8% d’entre eux. la prévalence de la dysphagie est estimée entre 8 et 15% chez les sujets vivant à domicile, 30 à 40% chez les sujets vivant en institution. PNEUMOPATHIE D'INHALATION soins - patient en position assise en semi-assise - redressement céphalique correct