Déchéance Pathétique De Fantine

vivante. Dans un second temps, du début de la deuxième strophe à « Le pain est cher », le portrait d’une jeune femme qui lutte courageusement contre la misère, avant d’étudier, dans la dernière strophe, de « O jeunesse ! Printemps ! » la déchéance morale inévitable et tragique du personnage. De manière surprenante pour le lecteur, qui rattache le titre de « Melancholia » au caractère artiste de création du beau vanté dès Aristote, la parole du poète se fait, dès les premiers vers, orale et

mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d'une fatalité humaine la fatalité, qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle : la dégradation de l'homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l'atrophie de l'enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans certaines régions, l'asphyxie sociale sera possible ; en d'autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu'il y aura ignorance et

la fin du roman, et évoque la mort de Gervaise, qui, en contraste, apparaît comme le fond de la déchéance humaine. Ce passage sera suivi d'une épitaphe du père Bazouge, le croque-mort, ivre. L'extrait comporte deux paragraphes, qu'unit la thématique et la temporalité, ainsi que la figure rhétorique de l'épanorthose.au Nous verrons donc comment la mort de Gervaise aboutit à une hyperbole de la déchéance, comment la cruauté de l'entourage s'exprime dans ce passage, et comment ce texte illustre la différence

Très engagé dans les combats sociaux de son temps, Hugo dresse dans la première partie de son roman Les Misérables, un tableau sombre des classes populaires. Fantine, puis Cosette sont ainsi l’objet d’une misère qui les détruit. Le chapitre de ce roman sur lequel notre étude portera, met ainsi en relief la maltraitance de Cosette par les Thénardier, et au-delà, de celle des enfants. Nous mettrons d’abord en évidence le récit par lequel Hugo nous présente ses personnages puis nous relèverons les caractéristiques

divine ? Regardez la vie de près. Elle est ainsi faite qu'on y sent partout de la punition. » Puis sociale : tout le roman illustre l'injuste loi qui profite à la bourgeoisie ( sans travail, Jean Valjean vole un pain pour nourrir ses sept neveux, Fantine vend ses cheveux, ses dents, se prostitue pour payer les Thénardier ), la sévérité des juges indifférents au récit des malheurs de Champmathieu, la déshumanisation du bagne, lieu d'abrutissement et de férocité, l'impossible réinsertion sociale du

Conclure : Montrez clairement que vous avez répondu à la problématique en récapitulant les axes qui sont les étapes de votre démonstration. Ensuite, proposez une comparaison avec.... le TC au- dessous qui met en scène l'humiliation de Fantine, se prostituant pour permettre à sa fille de manger, humiliée par un homme et arrêtée par la police, et qui trouvera son salut grâce à l'amour et à l'action de Jean Valjean. *Syllepse La syllepse est une figure de style qui consiste à jouer

Sujet : « Et des types tout d’une pièce comme dans les tragédies ! Où y a-t-il des prostituées comme Fantine, des forçats comme Valjean, et des hommes politiques comme les stupides cocos de l’A B C ? Pas une fois on ne les voit souffrir dans le fond de leur âme. Ce sont des mannequins, des bonhommes en sucre, à commencer par monseigneur Bienvenu. […] Où est l’évêque qui demande la bénédiction d’un conventionnel ? […] Quant à leurs discours, ils parlent très bien, mais tous de même ». Ce jugement

femmes à travers des personnages porte-parole : Marceline, Fantine et Lily. Il s’agit dans le 1er, de l’exploitation masculine des jeunes femmes crédules/naïves séduites, puis abandonnées. (+ inégalité hommes/femmes de l’époque, réquisitoire pathétique et argumenté). Le texte B quant à lui, dénonce la misère sociale qui pousse Fantine jusqu’à la prostitution. (gradation de la déchéance physique, matérielle et morale/ registre pathétique, DIL, bcp de figures de style). Enfin, le dernier texte

Correction de la dissertation : Dans quelle mesure la fiction littéraire est-elle capable de convaincre et de persuader le lecteur ? Vous répondrez à cette question en prenant appui sur le corpus et sur vos lectures personnelles. Pour éduquer les enfants, on recourt souvent à des histoires fîctives et à leurs personnages inventés, souvent destinés à forger leur vision de la vie ou à leur donner un message moral. L'âge adulte oublie ce goût du recit et préËre des genres argumentatifs, cependant des

quartier de la Goutte-d’Or, à Paris, raconte la vie et la déchéance de Gervaise Macquart, une blanchisseuse. Dans cet extrait, situé vers la fin du roman, Gervaise a sombré dans l’alcoolisme et la misère, avec son mari Coupeau. Leur fille adolescente, Nana, a mal tourné et se livre à la prostitution. B- Hypothèse de lecture et axes HL : Comment Zola rend-il sensible la déchéance du personnage? Axes : - Le réalisme - Un personnage pathétique C- Lecture analytique 1) le réalisme du passage Zola est