Démocratie Hybride

théorie du Droit constitutionnel. Approche théorique : s'interroger sur les liens entre la structure du droit constitutionnel et la société, ce qui ramène à deux approches du droit constitutionnel : l'approche structurelle et l'approche sociale (démocratie). Chapitre 1 : L'Etat. Qu'est-ce que c'est ? Comment le définir ? Il existe plusieurs approches : L'Etat au sens large : il désigne une collectivité organisée qui a comme support social la nation. On peut réduire cette approche : l'Etat

notion de droit constitutionnel suscite d'autant plus d'intérêt que la seconde moitié du XXe  siècle a été marquée par une remarquable montée en puissance de la matière. Parmi les causes de ce phénomène, on retiendra, entre autres, la victoire des démocraties lors de la Seconde Guerre mondiale, la décolonisation qui a fait apparaître de nombreux États indépendants, l'implosion des régimes marxistes qui a permis la prévalence du modèle occidental. Ces événements ont contribué à la diffusion des idées

conception libérale de l’état. Il va systématiser les attaques contre l’Etat. Pour lui quel que soit le système de gouvernement il sera toujours « l’escamotage du peuple ». Il rend Rousseau responsable de la tyrannie étatiste à laquelle aboutit toute démocratie. Contrat social est vide, il autorise les abus, il est le contrat d’une minorité. Conteste la légitimité de cette minorité. Il ne s’intéresse ni au travail ni à la société. Antiétatisme fondé sur l’action spontané d’association libre agissant en

raison d’être de l’Etat c’est d’abord d’assurer une vie harmonieuse en société à l’intérieur d’un Etat. ------------------------------------------------- 1ère PARTIE : LA THEORIE GENERALE DE L’ETAT. Ce que sont l’Etat, la constitution, les démocraties. Ca consiste à appréhender l’organisation du pouvoir politique sous trois angles différents pour répondre à une question : comment les hommes ont-ils imaginé et conçu leur gouvernement ? ------------------------------------------------- CHAPITRE

ferme et continu du Parti communiste chinois sur le pouvoir politique est particulièrement déroutant : la Chine était pourtant supposée se libéraliser après son abandon du communisme maoïste. Certains analystes ont tenté d’expliquer l’absence de démocratie en Chine en décrivant le système politico-économique chinois comme une nouvelle forme de capitalisme «d’État» ou «autoritaire». Ce raisonnement soutient que le Parti a trouvé le moyen d’obtenir le beurre et l’argent du beurre : il peut être riche

partis politiques et les élections de 1992 à 2005 Section I : les partis politiques de l’époque Paragraphe 1 : les partis de la majorité A) le parti républicain démocratique et social (PRDS) B) le rassemblement pour la démocratie et le progrès (RDU) C) l’union pour la démocratie et le progrès Paragraphe 2 : les partis de l’opposition A) le rassemblement des forces démocratiques (RFD) B) l’union des forces du progrès (UFP) C) l’alliance populaire progressiste (APP) D) le front populaire (FP)

Chapitre 1 : L’avènement de la démocratie contemporaine | SECTION 1 : L’AVÈNEMENT DU SUFFRAGE UNIVERSEL EN EUROPE OCCIDENTALE Élargissement du corps électoral qui a connu un processus relativement chaotique. §1 – Élargissement du corps électoral Processus d’élargissement est continu et semble quasi-inéluctable. A – Modalités du processus Relativement progressive. Universalisation s’est faite par étape. En premier lieu au XIXe siècle, on peut dire qu’une première caractéristique apparait :

Constitutionnel (DC) A. Les influences/sources historiques du DC Il y a 3 périodes historiques importantes qui ont permis la construction de ce DC : La période de l’Antiquité grec et romaine : On peut dater la démocratie de cette période. Demos (veut dire peuple) donc la démocratie c’est le pouvoir au peuple. A partir de là, puisque le peuple a le pouvoir, il faut organiser l’exercice de ce pouvoir. Il ne s’agit pas que de désigner le titulaire du pouvoir mais il faut aussi réfléchir à l’organisation

n’a aucune dimension individuelle et ce, jusqu’en 1944. L’universalisation du droit de vote ne signifie pas égalisation du droit de vote. 2) L’apprentissage électoral La participation électorale n’allait pas de soi. Les partisans de la démocratie ont considéré que les citoyens allaient s’emparer de leurs droits en allant voter. Cependant, on s’aperçoit que cela ne fut pas le cas ; par question d’habitude, ils ont été écartés pendant plusieurs siècles de la sphère politique. Il a fallu, donc

philosophique, c'est aussi une conception de la sécularisation qui domine l'anthropologie des sociétés modernes. La réhabilitation d'une pensée du politique d'inspiration théologique ne peut dès lors éluder, d'une part, un état des lieux de la crise de la démocratie libérale contemporaine et d'autre part, les réponses philosophiques à cette crise, et ce qu'elles proposent comme analyse critique de la sécularisation et de son rapport avec le christianisme. La critique schmittienne de la pensée libérale est à