Dérives De La Démocratie

pouvoir de révision dans la mesure où, la révision ne peut être retenue que dans des cas formellement décrite par la loi supérieure. L’idée sous-jacente dans l’adoption des constitutions rigides par les démocraties Africaines est que, la constitution est considérée comme un rempart « contre les dérives présidentialistes » [1] c’est-à-dire que par le biais de la constitution, il s’agirait de contourner l’obstacle qui consisterait, pour les dépositaires de l’autorité publique, de la modifier dans le

LES LIMITES DE LA DEMOCRATIE ATHENIENNE La démocratie est un régime politique ou le pouvoir appartient à l'ensemble des citoyens. Le régime politique athénien est une démocratie directe dans laquelle chaque citoyen participe par son vote à la prise de décision sans aucun intermédiaire. Le citoyen d’Athènes est un homme libre né de parents, eux même citoyens et né sur le sol (inscrit au dème) Le fonctionnement de ce régime se partage en trois parties : Le pouvoir Exécutif : Les magistrats

République désigne ce bien commun qui est le QUOI de l'objet du pouvoir. L'article 2 de la Constitution énonce le principe du gouvernement, le QUI du pouvoir : « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », c'est à dire le Démocratie. La Démocratie est le sujet du pouvoir. Le choix du peuple en temps que sujet du pouvoir signifie que les intérêts de ce bien commun sont mieux gérés par un grand nombre d'individus plutôt que par un seul (un roi) ou une élite (les aristocrates). L'article

communauté, territoire ( frontières ) et organisation ( puissance ) ✯ Olivier DUHAMEL, Droit constitutionnel (extraits) - 2000 Les Démocraties présente une théorie, accessible à tout lecteur, des systèmes politiques appliquée aux différents pays. L'analyse scientifique rejoint ainsi l'exigence civique par la recherche d'une articulation entre démocratie gouvernante et démocratie délibérante. Selon lui, la puissance est le plus important, il considère que le pouvoir est contraint de l’état. Il aborde 3

Inquiétudes, refus, critiques : les remises en cause de la démocratie du XIXe siècle à nos jours.* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * ** * * * * * * * * Inquiétude  : interrogation, souci, crainte, angoisse, appréhension... Refus  : rejet, négation, contestation, rébellion... Critique  : jugement, examen (pas toujours négatif!), évaluation... XIXe siècle  :

L’actualité plus ou moins récente nous montre l’importance grandissante du référendum depuis ces dernières décennies. Rousseau désigne le référendum comme une technique de démocratie semi-directe, permettant de faire participer directement le peuple ; souverain, à la confection des lois. Pour lui, il doit toujours être obligatoire ; ceci dans le cadre de la souveraineté populaire. Il est alors envisagé dans le projet de constitution girondin sous le nom de censure populaire mais ce projet n’aboutira

ton annonciateur ce qu'il conçoit être le plus grand péril de la démocratie et qui prendra corps au XXe siècle sous l'appellation de totalitarismes. Si dans son pressentiment, Tocqueville relie si étroitement ces deux types de régimes, il est légitime de s'intéresser sur la nature de ces liens et de déterminer le degré de responsabilité de la démocratie à l'égard des excès totalitaires. La responsabilité structurelle des démocraties dans la mise en place des régimes totalitaires a) Universalité

démocratique, il défend alors les intérêts qui caractérisent ce régime. Or les droits fondamentaux, qui sont énumérés et garantis dans ces déclarations des droits, sont caractéristiques du régime démocratiques. Démocratie et droits fondamentaux sont inéluctablement liés. En effet, une démocratie ne peut subsister sans la défense de ces droits de l’Homme et des libertés publiques qui constituent les droits fondamentaux. Les libertés publiques ne sont qu’une traduction dans le droit positif des droits

Démocratie directe et démocratie représentative Abraham Lincoln a Défini la démocratie comme étant « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple «. Dans tout régime démocratique, les citoyens devraient donc incarner le pouvoir politique et agir directement ainsi que le laisse entrevoir la théorie de la Souveraineté populaire à Rousseau.
La théorie de la Souveraineté nationale suppose au contraire que la souveraineté n’appartient pas au peuple, mais à la collectivité globale, la

      «  la  loi  organique  du  1er  août  2003,  sur  le  référendum  local  décisionnel,  s’inscrit  dans  une   lente   démarche   destinée   à   renforcer   la   démocratie   participative   à   l’échelon   local.   Elle   représente   une   amélioration   certaine,   même   si   elle   s’avère   limitée   dans   sa   portée   ».   En   effet,   alors