Déterminisme Freud Et Marx

l’existence est une perfection. Pascal : le « pari » on a plus à gagner qu’à perdre en croyant en Dieu. Feuerbach : ce n’est pas D qui a créé l’H à son image mais le contraire Marx et Freud : religion = drogue qui masque la dureté de la réalité Marx : apaise la misère : objectif d’une vie meilleure dans l’au-delà Freud : détresse de l’adulte envers Dieu semblable à celle de l’enfant qui appel au regard sévère et protecteur de son père LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE Travail : production de biens et

l’Erudition à l’imagination Se met dans la peau des protagonistes •Positivisme: faire de l’histoire des lois absolues, objectives et universelles H. TAINE «Essais sur Tite Live», «Les origines de la France contemporaine» Justifie l’évolution pas un déterminisme psychologique (race-milieumoment) mais en oublie la part de liberté. E. RENAN Historien et écrivain français «L’avenir de la science», «histoire du christiannisme» Conceptions rationnalistes E. LITTRE Lexicographe français «dictionnaire

théories du conflit et leurs implications. Chapitre I : Le conflit destructeur de la Cité Chapitre II : Le conflit constitutif de la Cité 2ème partie : Statut et implications du conflit dans la sociologie classique. Chapitre I : Comte, Durkheim, Marx Chapitre II : Tocqueville Chapitre III : Simmel, Weber 3ème Partie : Statut et implication du conflit dans la sociologie contemporaine. Chapitre I : Lefort, Gauchet Chapitre II : Touraine, Wiéviorka Première Partie : Les théories du conflit

1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles

devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet La conscience ***/** 1. Conscience morale, conscience psychologique [pic]  Le terme "conscience" peut sembler simple, car il est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience,

affective » ce qu’elle avait dû refouler, elle revient à un état normal mais peu durable. Freud donne plusieurs exemples de ces maux qui disparurent ainsi et en tire la leçon : « les symptômes étaient déterminés par des scènes dont ils formaient des résidus mnésiques », scènes pénibles qui avaient été oubliées sans l’être et qu’il fallait reproduire en remontant le temps « dans l’ordre inverse ». Résumé fait par Freud : « les hystériques souffrent de réminiscence », les symptômes sont les « résidus et

et puisque Dieu n'existe pas, « l'homme est condamné à être libre ». (encyclopédie de la jeunesse, 1979, p.567) La liberté est le pouvoir de la conscience de « néantiser » (encyclopédie Grolier, 1979, p.447), c'est à dire d'annihiler les divers déterminismes dont elle peut être l'objet. Cette liberté, qui constitue l'être de l'homme, se manifeste dans tous les actes qu'il pose. L'individu ne peut qu'être libre.  En résumé, la liberté est le pouvoir que détient la conscience de se soustraire à la

Pour Karl Marx, la conscience est source d’illusion au sens où elle nous trompe et nous donne une fausse image sur nous, sur l’origine de notre manière de se représenter les choses, le monde Il écrit : «  Ce n’est pas la conscience qui produit l’être social, mais l’être social qui produit la conscience. » Marx voudrait dire que notre mentalité, notre façon d’être à vrai dire ne dépendent pas de nous, de notre conscience, mais tout cela est façonné et construit par la société. Marx critique la

dirigée par Laurence Hansen-Løve Jean Lefranc Freud (1996) PhiloSophie © octobre 2008 Table des matières Introduction : Freud et la philosophie ..................................... 4 Note sur la traduction.................................................................. 9 Chapitre 1 : La naissance de la psychanalyse ......................... 10 Éléments de biographie (1856-1939) ........................................ 10 Freud neurologue .....................................

15. Sigmund FREUD (1856-1939), « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison. » Introduction à la psychanalyse. 16. Paul VALERY (1871-1945) : « la conscience règne mais ne gouverne pas. » Mauvaises pensées et autres. • La suprématie de l’inconscient sur la conscience 17. Sigmund Freud « L'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime [...], parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires. » Métapsychologie, 18. Sigmund Freud « L'inconscient