Edit Caracalla

s'arrête désormais aux Alpes. Cette dernière limite est fixée au trophée des Alpes mais est ensuite déplacée. Rome attribue la citoyenneté romaine à l'ensemble des Italiens dès -89, elle ne l'étend à tout l'Empire que trois siècles plus tard (édit de Caracalla, 211-212) Rome et son empireÀ l'origine la louve était représentée seule, c'est seulement lors de la renaissance que les jumeaux Rémus et Romulus ont été ajoutés La fondation de Rome est due, selon la légende, à Romulus et Rémus au milieu du

jurisconsultes deviennent des proches du prince. C'est la période (jusqu'au début du IIIe siècle) où le droit romain sera illustré par ses plus grands jurisconsultes) 138 : Gaius achève ses Institutes . 138 : La Paix Romaine (Pax Romana ). 212 : Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l'Empire 233-284 : anarchie militaire et persécution des chrétiens (poursuivie sous le règne de Dioclétien) 253 : invasions des Francs et des Alamans en Gaule Bas Empire (fin du IIIe

romains un communiqué. Dans son édit, le préteur énumérait les cas dans lesquels il allait organiser un procès. Il va permettre aux citoyens de se présenter en justice. Il protégeait les citoyens et reconnaissait qu’une situation de fait, méritait d’être protégée par le droit. Il ne pouvait pas promulguer une règle de fond mais pouvait délivrer aux citoyens de nouveaux moyens de procédure. L’édit du préteur est une sorte de catalogue d’action. Il est appelé « édit perpétuel ». Si des nouvelles situations

habitants de la Gaule par la loi roscia de civilate -en 44 av. JC :La citoyenneté est accordée à tous les hommes de Sicile par le général Marc Antoine. -en 212 : L’empereur Caracalla = surnom (Antonin). Cet empereur prend un édit qui accorde la citoyenneté à l’ensemble des habitants de l’Empire = Edit de Caracalla : édit de papyrus de Giessen de 40. Sauf une exception : les détitices. Ce sont des peuples qui on résister à Rome et lorsqu’ils ont été soumis, ils n’ont pas eu les avantages de la

politique à Rome Citoyenneté universelle aspirée par les empereurs : facilite les échanges commerciaux, influence des stoïciens (vivre en accord avec la nature et la raison) : aboutissement politique et juridique en 212 ap JC : un empereur (Caracalla) prend un édit qui va accorder la citoyenneté à tous les étrangers qui en 212 habitent l’empire romain, ne compte que pour le présent et pas pour le futur ; les « deditis » : les anciens esclaves affranchis sans respecter les formalités d’affranchissement

programme afin d’aménager et ouvrir des actions juridiques et ainsi permettre aux plaideurs de faire valoir de nouveaux droits. . Construct° d’un droit original car il émane d’un magistrat qui est d’abord un H pol et qui va rendre à l’occasion de cet édit des promesses, ce qui a permis une évolut° très souple du droit romain, il est laissé libre aux s d’appliquer telle ou telle loi = droit pretorien (=droit évolutif car bloqué par aucune codificat°, ni besoin du législateur). Comparaison de ce droit

politique à Rome Citoyenneté universelle aspirée par les empereurs : facilite les échanges commerciaux, influence des stoïciens (vivre en accord avec la nature et la raison) : aboutissement politique et juridique en 212 ap JC : un empereur (Caracalla) prend un édit qui va accorder la citoyenneté à tous les étrangers qui en 212 habitent l’empire romain, ne compte que pour le présent et pas pour le futur ; les « deditis » : les anciens esclaves affranchis sans respecter les formalités d’affranchissement

et les collectivités. -89 :  lex Plautia Papiria étendant le droit de cité complet à tous les habitants libres d'Italie au sud du Pô => Fin du processus de romanisation de l’Italie romaine212 : Édit de Caracalla => fin du processus de romanisation par les municipes et les coloniesPersistance d’inégalités entre les citoyens et les autres membres de la société romaine qui demeurent mis de côté : femmes, pérégrins, affranchis, esclavesBibliographieSources

que se met en place progressivement une justice pénale internationale, malgré les réticences américaines. De même, la crise du Moyen-Orient appelle à une mutation du débat sur la régionalisation. Alors que Régis Debray nous propose un nouvel édit de Caracalla pour fédérer l’Amérique et l’Union européenne dans des Etats-Unis d’Occident, l’avenir de l’Europe dépend bien davantage de la façon dont elle saura imaginer son rapport à l’outre-Méditerranée, illustration et défi exemplaires à l’échelle régionale

il désirait ouvrir, aux élites des régions les plus avancées, la citoyenneté ainsi que l’ordre équestre et sénatorial. Il apparaît comme un innovateur qui fixa les modalités de l’intégration des provinciaux en vigueur jusqu’à la fin du IIe s (Edit de Caracalla en 212). Bibliographie : • J.C FREDOUILLE, Dictionnaire de la civilisation romaine, Larousse, Paris, 1992. • E. CIZEK, Mentalités et institutions politiques romaines, Fayard, Paris, 1990. • Y. PERRIN, T. BAUZOU, De la cité