Élection législative

de la Vème République marque déjà en soi, une rupture fondamentale dans l’histoire constitutionnelle française. Elle a aussi conduit à de profond changement dans notre système politique concernant l’élection du chef de l’Etat passant ainsi d’une élection par un collège élargi à un suffrage universel direct. Situation du sujet : La crise du 13 mai 1958 conduit à l’arrivée au pouvoir du général Charles de Gaulle. Il est nommé président du Conseil le 1er juin 1958, il obtient du Parlement, deux jours

l’alcoolisme, de faire perdre du temps aux élus et de menacer la République. Le sénateur des Deux-Sèvres les renvoie à des activités domestiques : le foyer et la famille. Document 2 : Affiche pour le 1er vote des femmes aux élections municipales en 1945. Ce document est une affiche de l’Union des femmes françaises appelle les femmes à voter pour des femmes. La loi prévoit pour la première fois en France que les femmes pourront voter et être élues dans les mêmes conditions

république : A. Le septennat introduit la cohabitation : C'est en 1962 que l'élection du président de la république au suffrage universel direct est introduit et a partir de 1965 qu'il est utilisé. Le septennat a décalé les élections présidentielles et législatives. En effet, le président était élue pour 7 ans alors que les députes sont élus pour 5 ans. Les deux mandats sont donc décalés de 2ans ce qui pose problème au renouvellement des députes. En effet, a ce moment la , le président est déjà

1. Une montée de l’abstentionnisme Document 1 : L’abstention aux élections présidentielles Document 2 : La participation aux élections législatives Document 3 : L’abstention aux élections municipales Document 4 : L’abstention aux élections européennes 1. Faites une phrase avec le chiffre le plus récent dans chacun des documents. 2. Comment a évolué l’abstention en France depuis 40 ans ? Faîtes une hypothèse pour expliquer cette évolution. 3. Le taux d’abstention est-il le même pour

Dossier 3 Objectif : Pourquoi peut-on parler d’une crise de confiance entre les citoyens et les partis politiques ? 1 : France Élection | Année | Taux d’abstention | Présidentielle | 1988 | 17,9 % |   | 1995 | 20,5 % |   | 2002 | 24,3 % | Législatives | 1993 | 30,7 % |   | 1997 | 31,5 % |   | 2002 | 37,6 % | Régionales | 1992 | 31,2 % |   | 1998 | 41,9 % | Aujourd’hui, on assiste à un phénomène croissant de non-participation

observé, « la langue de bois ». J’ai noté que les Commissions mises sur pied se sont livrés à une véritable catharsis de notre parti. Elles ont mis le doigt sur les raisons de notre déroute à ces deux consultations importantes, les élections présidentielles et législatives. Le Comité national de campagne, les organes spécialisés du Parti, l’UFPDCI et la JPDCI n’ont pas été à la hauteur des espoirs placés en eux. Il en a été de même des délégués départementaux et communaux. Nos structures de base

régime et bénéficiant de la légitimité issu du SUD depuis 1962, était élu pour un temps singulièrement long par rapport à ses homologues étrangers. Ceux-ci qu’ils émanent d’une élection directe en Russie ont un mandat de 4 ans selon l’article 81 de la constitution du 12 Décembre 1993. Et ceux émanant d’une élection législative comme en Allemagne ou le mandat est de 5 ans tel que le consacre l’article 54 de la constitution du 23 mai 1949. En Mars 1972, POMPIDOU déclare que « l'idée de ramener le

Ministre. Ce double vote est rendu possible par un bipartisme plus ou moins rigide jusqu’à ces dernières années. Chaque parti a son propre leader qui a l'opportunité de devenir « Prime Minister » dans le cadre des élections législatives : c'est le leader du parti qui remporte ces élections qui est nommé Premier Ministre par la reine d'Angleterre. En ce qui concerne, plus généralement, l’exécutif ; le « bicéphalisme » anglais ne ressemble guère au « bicéphalisme » à la française : si, au Royaume Unis

accordée au président de la république. Il est donc essentiel car s’il n’existait pas, l’équilibre entre le législatif (AN) et l’exécutif (Pdt) serait bouleversé. De plus ce droit a été crée du fait de la longue latence entre les élections présidentielles et législatives : les électeurs ayant le temps de changer d’avis, un président pouvait se retrouver avec une assemblée d’un autre bord politique que le sien (ce qui nuirait au bon fonctionnement du gouvernement). Pouvoir important, propre et personnel

n’existait pas, tandis qu’aujourd’hui elle dépasse les 20% et est susceptible d’être présente au second tour des élections présidentielles. Cette évolution du jeu politique a par conséquent un impact sur le fonctionnement des institutions et sur le jeu démocratique. En 1958, le CC est une institution négligée, sans importance et est devenu aujourd’hui un élément déterminant dans la production législative. Une loi contraire à la C peut être écarté par le Conseil, qui a le droit de vie ou de mort sur la loi