Endonucléase

que d'emballage. III-DIFFERENTES APPLICATIONS La biologie opératoire Des travaux furent menés à bien en 1965 par Werner ARBER, Daniel NATHANS et Hamilton SMITH qui obtiendront le prix Nobel en 1978 : Ils découvrent les enzymes de restriction (endonucléases) permettant de découper l’ADN en petit segments à des endroits déterminés. Le clonage et le séquençage des gènes La technique de SOUTHERN BLOT Cette technique est très sensible et permet de reconnaitre un fragment d’ADN sur les milliers au départ

petits ARN nucléaires (small nucleolar RNA ou ARN sno) et plus d'une centaine de protéines. ͽ Deux étapes sont nécessaires pour le clivage de l'ARNr primaire 45S 1) modification chimique des ARNr 45S 2) clivage de ARNr 45S par des endonucléases et des exonucléases. L'ARNr 5S non modifié chimiquement est transcrit à partir d'un autre gène dans le nucléoplasme par l'ARN polymérase III. * Lorsqu'elles ne synthétisent pas de protéines les deux sous-unités ribosomiques sont séparées

5’ L’enzyme agit pas à pas à partir de l’extremité 3’ à condition qu’elle soit libre pU, pC, 2pA, pU, A A-U-A-A-C-U (c) dT-A-G-G-Cp (b) Sans effet parce que l’extremité 3’ est phosphorylée Ribonucléase pancréatique Endonucléase (RNA) coupe la liaison 5’ lorsque la liaison 3’ est fixée sur un nucléotide pyrimidique U P A-U-A-A-C-U P G C A P P AUp + A-A-Cp + U 17 (d) L’hydrolyse acide douce du DNA (pH 3) produit de façon sélective

être corrigée par un mécanisme dépourvu d’erreurs appelé hybridation des brins dépendant de la synthèse (SDSA) Utilisation de la chromatide soeur comme matrice pour garantir une réparation correcte  Dégradation des extrémités 5’ par une endonucléase Une chromatide soeur est disponible pour servir de matrice CONCLUSION  Les mutations peuvent être spontanées [mutation liée a une erreur lors de la copie de l'information génétique avant la mitose ( division cellulaire )] ou être provoquées

35nm --> perméabilité macromolécules et solutés --> mort cellulaire 1D". Small-pore-forming toxins *leukotoxines et α-toxines de S . aureus * heptamère --> pores 1 à 1,5nm --> perméabilité sélective (petits ions et nucléotides), activation endonucléases, libération cytokines, et évènements précoces apoptose *à haute concentration --> lyse cellulaire pyogenes 1E. Toxines RTX *Grande famille d'hémolysines Ca2+-dpdtes: hémolysines E. coli, Proteus vulgaris et B. pertussis, leukotoxine de Pasteurella

une base modifiée spécifique en coupant la liaison base-sucre, par exemple, l’Uracile glycosylase pour l’uracile produit par la désamination de la cytosine. a- Lorsque la base endommagée est retirée par l’ADN glycosylase, une enzyme appelée endonucléase AP (AP= apurinique ou apyrimidinique) coupe ensuite le squelette sucre- phosphate auquel la base modifiée a été retirée (coupe la liaison phosphodiestser du côté 5’) donnant une extrémité 3’-OH. Une exonucléase coupe la liaison phosphodiester

utilisé. Le précurseur le plus utilisé est le DNTP (actif en α). L’enzyme. Toutes les polymérases nécessitent une amorce et vont dans le sens 5’ 3’. On prend le brin en cours de copie et le sens de copie. L’enzyme de restriction. Ce sont des endonucléases (qui coupent l’ADN à l’intérieur, contrairement à l’exonucléase qui coupe à l’extérieur) qui ne coupent l’ADN qu’en des séquences particulières pour former : * Des extrémités franches * Des extrémités cohésives (si la coupure est en 3’

seront présentés. Enfin nous donnerons un bilan de notre recherche dans la synthèse de manière à répondre à notre problématique, avant de la conclure1Cfr. Emmanuelle Charpentier, Jenifer A. Doudna et alt., “A Programmable Dual-RNA– Guided DNA Endonuclease in Adaptive Bacterial Immunity”, Science, vol 337,n. 6096, 2012, pp. 816-821 2 Méthodologie L’écriture de ce travail, s’est construit sur plusieurs méthodes d'analyses et de réflexion. Tout d’abord, nous avons consulté

synthétisé de l’ADN grâce aux méthylations des adénines du brin anciennement synthétisé de l’ADN, ceci permettant la distinction entre les deux brins. Une endonucléase rompt ensuite le brin néo synthétisé et la partie portant la lésion est éliminée. Mut S reconnaît le mésappariement, Mut L se lie et active Mut H et Mut H est une endonucléase qui coupe en aval de l’erreur du mésappariement. Il y a ensuite action d’une exonucléase et d’une Hélicase, puis de l’ADN-polymérase I et finalement de la ligase

d’excision - synthèse du fragment lésé qui conduit à une réparation complète. Les mécanismes de réparation de l’ADN ont déjà été détaillés, on ne résume que quelques résultats : - l’excision - resynthèse : les enzymes qui interviennent sont une endonucléase, une ADN - polymérase et une ligase qui synthétisent une nouvelle molécule à partir du deuxième brin. Cette réparation est le mécanisme principal, il s’agit d’une réparation fidèle, aucune erreur n’existe dans la copie. - réparation post-réplicative