Enjambement

« peu à peu », trouble », « dissipe ») Choix de rimes embrassées : mouvement circulaire Rythme devient lui aussi de plus en plus ample : trois premiers vers  4/4 puis rythme ascendant (à partir du vers 6 les coupes fortes tendent à disparaître) Enjambements (cf. v. 1-2, 11-12 et suivants) créent une dynamique de lecture qui limite les pauses III. Une composition baroque Couleurs : couleurs flamboyantes (cf. v. 2 et 12) mises en relief par l’opposition avec la « nuit » Lumières : jeux de lumière

attitude de fermeté. → La Mort processus naturel & évènement scandaleux. Prélude, vers Ample. Le caractère scandaleux de la mort va être passé par les jeunes V.59, le cri du poète = Cri plaintif du mourant. Moralité : Alexandrins (sauf V.56) + enjambement + Périphrase (astre du jour) L'Homme & la couleuvre : Livre X, fable 1. Problématique soulevée : Les mots ont-ils le pouvoir ? → Champs lexical de la Justice : aucun termes dans le premier discours de l'♂ = Fi de la Justice, dans

d’autres auteurs car pour souligner ce rythme il utilise fréquemment des césures a l’hémistiche ou des coupes ailleurs dans les vers. ( - les césures et les coupes.) - exemple Contrairement il utilise des enjambements, donc des vers qui se suivent sans pause (entre les vers) (- enjambement et contre-rejet.)exemple La fontaine utilise aussi des phrases rythmiques, qu’on appelle rythmique car ses vers expriment un rythme particulier en alliant/ réunissant les vers en ensemble et sous ensemble (la

soit d'étirement, soit de rupture, soit de mise en valeur. On constate par exemple des enjambements : - V. 3-4 : "la belle / prisonnière" - V. 17-18 : "qu'elle / Vive", qui permettent la mise en valeur du mot en position de rejet - V. 45-46 : "celle / Qu'aucun des deux…" Mise en valeur des mots en contre-rejet : - V. 33-34 : "Lequel / A le plus triste…" - V. 51-52 : "se mêle / la terre…" Enjambement qui illustre bien la continuité entre la vie et la mort. On observera que c'est souvent

des vers Les sonoritésLe rythmeLes vers v5: rythme ternaire, renforcé par l'anaphore, souligne la communauté d'esprit, la communion, la paix qui règne dans l'auberge.v8: abondance des paroles de l'hôtesse heureuse d'exprimer son bonheur.v6-7: enjambement: met en valeur l'activité débordante de l'hôtesse.v10: diérèse vi-olentes qui souligne le caractère criard de cette imagerie populaire.v12-13: allitération très marquée en dentales: marmite / tic-tac et en gutturales qu'accompagne / tic-tac allègre

permet de faire des constatations intéressantes. Ex : Pour réparer/du temps//l’irrépara/ble outrage. (Racine) 4 2 4 2 ENJAMBEMENT : Report au vers suivant d’un ou plusieurs mots nécessaires au sens, le plus souvent indiqué par la suppression de la ponctuation en fin de vers. Ex : Et le sourd tintement des cloches suspendues Au cou des chevreaux dans les bois (Lamartine) REJET : enjambement d’un seul mot ou d’un petit groupe. Ex : Serait-ce déjà lui ? C’est bien à l’escalier Dérobé. (Victor Hugo) CONTRE-REJET :

image du bateau alors surgit donc nous sommes toujours dans le mouvement. La singularité d'un jour (« un seul jour ») s'oppose à l'éternité du vers 2. Ce vers est la fin d'une grande question qui s'est étendu sur quatre vers, étalée donc par des enjambements provoquant une accélération. Cette question qui, nous verrons plus tard, n’amènera pas de réponse. STROPHE 2, vers 5 à 8 v.5 Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, La carrière est le lieu où l'on taille les pierres mais ce mot peut également

de la passante se dégage des vers 2-5? Qu'apporte selon vous le fait qu'elle soit en deuil? - Par quels procédés de versification Baudelaire met-il-en valeur l'apparition de la femme? Son allure et sa démarche dignes et élégantes? (Le premier enjambement permet de mettre en valeur le groupe verbal noyau de la phrase: « Une femme passa ». Le deuxième rend sensible le rythme souple et élégant de sa démarche en invitant à lire les vers 3 et 4 sans pause. La rime interne au vers 4 (« Soulevant

Les rimes sont dites féminines (f) quand elles comportent une e caduque final. Toute autre rime est dite masculine (m) 4- Enjambement, rejet, contre-rejet : . L’enjambement : il y a enjambement lorsque le vers se continue dans le vers suivant. Exemple : « Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines                Aux cailloux des chemins. J'entrais à Charleroi. » Arthur Rimbaud . Le rejet :

est déterminé par le nombre de pieds dans le vers, la longueur des phrases, la césure, la place et le nombre de coupes, par l'accentuation, la ponctuation, les répétitions, les éventuelles énumérations (binaires, ternaires, etc.), les rejets et enjambements, les parallélismes, les chiasmes, les rythme croissant ou décroissant a) La césure : les vers traditionnels sont en général construits en deux versants séparés par une pause : c'est la césure. Dans les grands vers, cette pause a une place déterminée