Ennius

robuste, (πλάτος : « platos » signifie « largeur » et « il avait les épaules larges »[9]). Platon aurait par ailleurs participé aux Jeux isthmiques en tant que lutteur[10]. Platon était beau et fort, si l'on en croit Épictète[13] et un beau buste que Ennius Quirinus Visconti[14] considère comme authentique : il avait les épaules hautes, et ce fut pendant quelque temps la mode parmi les disciples de son école, d'imiter cette attitude ; comme on a imité Socrate de son vivant, on imita plus tard le bégaiement

qui in honoribus reque publica versantur; ubi enim istum invenias qui honorem amici anteponat suo? Quid? Haec ut omittam, quam graves, quam difficiles plerisque videntur calamitatum societates! Ad quas non est facile inventu qui descendant. Quamquam Ennius recte. Fuerit toto in consulatu sine provincia, cui fuerit, antequam designatus est, decreta provincia. Sortietur an non? Nam et non sortiri absurdum est, et, quod sortitus sis, non habere. Proficiscetur paludatus? Quo? Quo pervenire ante certam

enseignement (doctrina), des préceptes (praeceptis) et de l'art, tandis que le poète ne doit rien qu'à la nature, qu'il s'élève par la force de sa pensée, que c'est comme un souffle divin qui l'inspire (quasi divino quodam spiritu inflari). Aussi notre grand Ennius a-t-il le droit d'appeler sacrés les poètes, parce qu'ils nous sont pour ainsi dire accordés comme un présent par la faveur des dieux. Juges, ô vous qui avez tant d'amour pour les arts, qu'il soit donc sacré pour vous, ce nom de poète que jamais

Verrières, Grenoble et Paris sont assimilés, mêlant deux locations réelles, Paris et Grenoble, avec une location complètement inventée: Verrière. On retrouve ce procédé d'assimilation s'agissant des auteurs d'épigraphes: sont cités Barnave, Machiavel, Ennius, Fleury, et Strombeck. Stendhal associe à des noms plus ou moins connus celui de Strombeck, un auteur qu'il a inventé. On remarque aussi qu'il a cité Strombeck avant le passage où Julien se donne comme objectif de séduire Mme de Rénal. Peut-être en

de l’existence non plus par peur mais par rire. Dans son œuvre ( « Les guêpes » ), Aristophane dénonce l’injustice sociale et les mœurs politiques de son temps. 2- Tragiques Les auteurs tragiques, Livius Andronicus, Naevius, entre 240 et 200, Ennius, dans les trente premières années du 3ème siècle av. J.C., imitent tous trois les Grecs. On distingue deux sortes de pièces, celles dont le sujet est emprunté aux légendes et à l'histoire grecques et celles qui traitent d'un sujet romain. Il ne nous

Méditerranée occidentale, de la civilisation hellénique. Foyer d'échanges avec le monde latin, qui prend peu à peu son essor, les cités de Grande-Grèce voient l'apparition des premiers écrivains de langue latine, Livius Andronicus (v. 280-207 av. J.-C.) et Ennius (239-169 av. J.-C.). 

La mort de britannicus Ces menaces inquiètes Néron et le 17 décembre 54, un événement le décide à assassiner Britannicus. En effet, lors de cette soirée, chaque convive devait réciter un poême.Britannicus choisit de réciter des vers du poète Ennius: "Plus que la naissance, la chance me fait défaut. Sachez que je possédais un trône. Voyez donc de quelle richesse, de quelle fortune, de quelle puissance m'a précipité le sort." Chaque invité saisit l'allusion et Néron est rouge de colère. Néron

("Dii !") expriment l'émotion du poète. Les Dii Consentes ou Dii complices sont les douze grands dieux du panthéon classique gréco-romain. Ils étaient regardés comme le conseil céleste présidé par Zeus (Jupiter). Leurs noms avaient été groupés par Ennius dans deux vers célèbres :   "Personne pure" : la personne totalement réalisée, unifiée et unifiante est l'Ange, le double céleste. "Dieux !" : Henry Corbin a parlé du "paradoxe du monothéïsme" : la Déité unique et inconnaissable se  manifeste de

commençait sa leçon par la praelectio, explication de texte (latin ou grec). Puis les élèves devaient apprendre des textes latins par cœur pour pouvoir les réciter. Pendant les cinq années que durait l'enseignement les poètes grecs (Homère) et latins (Ennius et plus tard Virgile) étaient les principaux sujets d'études. Le peu d'histoire et de géographie que l'élève apprenait ne lui servait qu'à mieux comprendre ces textes. Le Rhéteur : Après seize ans Si le fils d’un riche Romain aspirait à une

Andronicus. Il s’est illustré dans 3 genres : -1) l’épopée : traduction en latin de l’Odyssée ; un de ses successeurs (Naevius) mettra en scène la Première Guerre Punique. -2) La tragédie : imitation de pièces grecques ; un de ses successeurs (Ennius) prendra comme héros des Grecs mais aussi des Romains (Scipion, Paul-Emile). -3) La comédie : imitation de comédies du Grec Ménandre ; il ouvre ainsi la voie aux Romains Plaute (254- 184) et Térence (190-159). Par la suite, les grands écrivains