Enthalpie

  | I1119–– | Xe122132– | Potentiels d’ionisations successifs (en électron-volts) L’électroaffinité : C’est l’énergie mise en jeu pour retourner de l’ion négatif à l’atome \ neutre. C’est l’enthalpie libre de la réaction : En général, cette enthalpie libre est négative, sauf pour les halogènes, pour lesquels est plus stable que X. L’échelle d’électronégativité essaye d’évaluer la capacité des éléments de gagner ou de perdre un ou plusieurs électrons. Quelle que soit l’échelle utilisée (Pauling

P ΔH°RP et que ΔH°RP = - ΔH°PR Alors des chaleurs de réaction peuvent être «calculées» sans devoir réaliser l’expérience Un exemple de cycle Un exemple : C6H6 (l) + 3H2 (g) C6H12 (l) ΔH°R = ? Admettons que nous connaissions les enthalpies de réactions : C6H6(l) + 7,5 O2(g) 6CO2(g) + 3H2O(l) H2(g) + 0,5 O2(g)  H2O(l) C6H12(l) + 9 O2(g) 6CO2(g) + 6H2O(l) ΔHC(I) =-3273 kJ mol-1 ΔHC(II) = -286 kJ mol-1 ΔHC(III)=-3923 kJ mol-1 La réaction demandée peut être obtenue en combinant

condition d’équilibre, ce qui implique une augmentation de la pression partielle d’eau. La pression de vapeur saturante augmente nécessairement lorsque T augmente. On montre que (relation de Clausius-Clapeyron) : dP sat ∆H vap = dT T∆V ∆Hvap : enthalpie de vaporisation ∆V : variation du volume provoqué par le changement de phase (Vg-Vliq) Soit, en intégrant entre 2 températures T1 et T2 (et en négligeant la variation de ∆H avec T): PT 1 ∆H vap ln sat = PT 2 R sat En négligeant le volume liquide

:  = 362 W.m-1.K-1 Données sur le sodium Masse molaire : MNa = 22,96.10-3 kg.mol-1 Masse volumique :  = 968 kg.m-3 Capacité thermique massique du liquide : c = 1230 J.kg-1.K-1 Température de vaporisation à pression atmosphérique : Tv = 1156 K Enthalpie molaire de vaporisation à pression atmosphérique :
Hm,vap = 99,2 kJ.mol-1 Description du cycle de Stirling Le cycle associé à un moteur de Stirling est constitué de 2 isothermes et de 2 isochores. Il est décrit comme suit : 1
2 : compression isotherme

de grains de la microstructure mère comme sites de germination, fig. 4.4 à gauche. En contraste avec la germination lors de la transformation de phase proprement dite, le taux de germination passe donc pas par un maximum, mais augmente pour une enthalpie libre ∆gv donnée, d’une manière continue avec la température, cf. fig. 4.4 à droite. Par contre, la probabilité, pR, qu’un germe de matière recristallisé se forme dans un 67 700 φ1 600 500 φ2 φ3 température [°C] 400 300 200

Logement n°3 Séjour Logement n°3 Chambre Logement n°3 Logement n°4 Séjour Logement n°4 Chambre Logement n°4 Logement n°5 Séjour Logement n°5 Chambre Logement n°5 S m2 Pt1 W base effectif m3/h débit AN (32°C - 75%HR) base m3/h réel m3/h enthalpie air introduit (kJ/kg) Pt2 W Pt=Pt1+Pt2 W ratio W/m2 N-O N-O N-O N-O N-O N-O N-O N-O N-O S-E S-E S-E S-E S-E S-E 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 23 NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC 23,50 11,50 12,00 23

P2 / kN/m² 770 651 P2 / kN/m² 865 756 t1 /°C 9.1 2,4 t2/°C 67.8 64,2 t3 /°C 22.0 27,2 t4 /°C 1.4 -4,1 Pompes à chaleur 2012/203 Fig12 : cycle de compression de la vapeur sur un diagramme P-H Sur ce diagramme P (pression) H (enthalpie), Nous avons tracé le cycle de compression de la vapeur de notre pompe à chaleur (en rouge). On remarque que notre cycle se rapproche du cycle théorique. La différence peut être due au type de PAC, à la prise de mesure et aux conditions dans lequel

>P, T, v, u ets sont suffisantes pour exprimer toutes les relations en thermodynamique > Mais certaines combinaisons de ces propriétés appariassent souvent »» il est plus commode de les définir comme de nouvelles fonctions d'état * Enthalpie > h = w+ Pv * Energie libre d’ Helmoltz > a= u—Ts * Energie libre de Gibbs ® g =h—Ts dvPdsTdu-=dPvdsTdh+=dvPdTsda--=dPvdTsdg+-=stesCvetsstesCPetsstesCvetTstesCPetTdyyzdxxzdzxy÷÷øöççè涶+÷÷øöççè涶=dy)y,x(Ndx)y,x(Mdz+=xyyz)y,x(Netxz)y

type de bloc et précipitant pour l’autre type. Comme pour les tensioactifs plus conventionnels, il existe un équilibre thermodynamique entre les formes monomères et les micelles. ∆G° = ∆H° - T ∆S° eq. 5-1 ∆G°: enthalpie libre standard du système (kJ.mol-1) ∆H° : enthalpie standard du système (kJ.mol-1) T : température absolue (K) ∆S° : entropie standard (kJ. mol-1 K-1 ) ∆G° doit être négative pour permettre la formation spontanée de micelles stables. Il existe deux approches principales

accessoires, Q : peut être une chaleur absorbée ou cédée selon que le système étudié dégage de la chaleur ou en absorbe. On aura toujours : Qcédée = −Qabsorbée ⇒ Qcédée + Qabsorbée = 0, n d ' une manière générale : i = ∑ Qi = 0 1 7.3. Objectifs Les enthalpies de réaction sont parfois mesurables directement par calorimétrie en effectuant la réaction dans un dispositif isolé thermiquement de l’extérieur appelé calorimètre. On utilise aussi le calorimètre pour déterminer la capacité calorifique d’un corps