Entreprise

L’entreprise et son environnement Cours Productique– Année 2007/2008 Partie 1: Page 1 L’entreprise Raison d'être  La raison d'être d'une entreprise est la réalisation d'un profit.  Le profit est calculé en faisant la différence entre le prix de vente et le prix de revient des produits ou services vendus par l'entreprise. P=Pv-Pr • Pv : Prix de vente, il doit être attractif, • Pr : Prix de revient, il doit être efficace. • P : Profit ou bénéfice, il doit maximal. Cours Productique– Année 2007/2008

elle permet d’adapter les compétences des travailleurs aux orientations stratégiques de l’entreprise. Certains Etats l’ont si bien compris que, pour booster leur économie, ils ont rendu obligatoire la mise en place de politiques de formation en entreprise. C’est le cas notamment de la France qui en a fait une obligation légale avec la loi de réforme de la formation de mai 1994 qui consacre le droit a la formation professionnelle. En Belgique aussi (exemple de la Wallonie), la formation a pris une

avons rencontré Benoit Popovitch directeur commerciale de l’entreprise Sitem Dans quelle entreprise travaillez-vous et où se situe-t-elle ? Je travaille dans l’entreprise Sitem depuis maintenant 3 ans. C’est une PME composée de 35 employés qui est responsable de toutes fournitures, équipements ou décoration dans le secteur hôtelier. Cette société se situe avenue J. Dubrucq 36-38, à Molenbeek. Cette entreprise est actuellement leader sur le marcher hôtelier mais elle est également positionnée sur

EVALUATION DES ENTREPRISES INTRODUCTION L ’évaluation des entreprises intéresse de nombreux acteurs de la vie économique : Epargnants, banquiers, prêteurs, dirigeants, administration fiscale, experts, etc…. Chacun des acteurs a un but particulier (opération boursières, stratégie de croissance, placement d ’épargne ….) L ’entreprise peut être en continuité d ’exploitation comme elle peut envisager sa liquidation. 1 Exemple : la valeur d ’un arbre dépend de la destination qu’on va

L'employeur comme responsable des choix collectifs Dans une entreprise, la responsabilité du travailleur apparaît principalement à un niveau local, appelé « shopfloor », c'est-à-dire les travailleurs dits « ordinaires ». La principale différence avec les employeurs est le pouvoir de décision qu'ont ces derniers. En effet, contrairement aux travailleurs, l'employeur effectue des choix qui modifieront les stratégies de l'entreprise et auront un impact sur les différentes parties prenantes. Cependant

informations relatives aux contacts avec les clients. Puis les systèmes sont aménagés pour permettre des interactions avec les clients via des systèmes vocaux sur Internet et des réponses aux e-mails et aux questions via Internet. Une partie des entreprises intègre des données des CRM avec leur ERP ou prévoit de le faire. Une bonne partie des firmes utilise des méthodes d’intelligence artificielle et le « data mining » (exploitation sophistiquée de la mine d’or que représentent ces masses de données)

.......................................................... 44 3.1.1 3.1.2 3.1.3 3.1.4 3.2 Restitution des entretiens..................................................................................................... 45 Cartographie des entreprises interrogées..................................................................... 45 Quelle définition de la performance de la fonction RH ?.............................................. 47 Quels critères d'évaluation de la performance de la fonction

L’obligation de francisation des entreprises de la province du Québec provoque des situations parfois absurdes Les médias anglophones du Québec se sont délectés de l’incident. La province canadienne, qui fait face à une pénurie préoccupante de personnel médical, a récemment congédié deux infirmières anglophones d’un hôpital de Montréal parce qu’elles avaient échoué à un examen écrit de français. L’établissement dont la clientèle est majoritairement anglophone a eu beau faire valoir que ses employés

Culture de l entreprise La réponse que nous apportons dans cet article est donc partielle et singulière. Elle est construite à partir de l’étude d’une grande entreprise française, L’Oréal, et accrédite la thèse du rôle prépondérant des valeurs du dirigeant « fondateur » dans l’émergence et la persistance d’une culture entrepreneuriale forte de nature à orienter les comportements collectifs de la firme (Hofstede, 1985). Nous allons, dans un premier temps, souligner la force des liens entre les valeurs

l’information | Auteurs | H. Simon (1950) | Métaphore | Cybernétique | Vocabulaire | Auto-organisation, connexion. Complexité et connaissances | Domaines influencés | Informatique, systèmes d’information. « Télé-entreprise » | L’organisation vu comme une culture Image essentiel | Un groupe sociale qui secrète des valeurs communes et crée des liens d’appartenance | Auteurs | Durkheim (XIXe siècle) Le toyotisme (1960) Iribarne (1988) |