Environnement De Sofitel

qualitative (accroissement de la capacité d’influence de la firme sur son marché, élargissement de sa notoriété, développement de son image etc.…). La croissance de la firme traduit donc sa capacité à maintenir ou à développer sa position dans un environnement concurrentiel hostile. La recherche d’une domination quantitative (notamment par la concentration) ou d’une reconnaissance qualitative (différenciation du produit offert) influence donc les stratégies des firmes. Pour assurer sa croissance, l’entreprise

d’exploitation...……….……..………..……………..15 Section 3 : Les crédits d’investissement.………..………………...………...39 CHAPITRE II : LE MARKETING BANCAIRE Section 1 : Survol historique…………...……………………..……………..48 Section 2 : L’adaptation de la banque à son environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution des

d’exploitation...……….……..………..……………..15 Section 3 : Les crédits d’investissement.………..………………...………...39 CHAPITRE II : LE MARKETING BANCAIRE Section 1 : Survol historique…………...……………………..……………..48 Section 2 : L’adaptation de la banque à son environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution

crédits d’exploitation...……….……..………..……………..15 Section 3 : Les crédits d’investissement.………..………………...………...39 CHAPITRE II : LE MARKETING BANCAIRE Section 1 : Survol historique…………...……………………..……………..48 Section 2 : L’adaptation de la banque à son environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution des canaux

structures ; * Le micro environnement : on retrouve les éléments externes à l'entreprises ayant une emprise directe sur le fonctionnement de celle-ci : le marché et les publics. Le marché se compose de l'offre et de la demande. Les publics quant à eux, comprennent les publics directs (fournisseurs, prescripteurs, conseillers) et indirects (monde financier, groupes d'intérêts tels que les associations professionnelles, la presse, la population, etc). * Le macro environnement : ce sont les facteurs

sera à la hauteur des attentes de la direction du département financier d’UCM Dolidol et qu’il honorera au mieux l’Ecole Française des Affaires PARTIE I : Recherche documentaire & méthodologie Chapitre I : UCM Dolidol &son environnement 1. Présentation du secteur de la literie et d’ameublement au Maroc : Aperçu général : Le secteur de la literie et d’ameublement au Maroc, regroupe principalement deux grandes entreprises (Dolidol&Richbond). Ces dernières qui détiennent

Quelles que soient la sophistication et la rigueur d’une enquête marketing « de demande », celle-ci ne reflétera jamais plus que ce que le « client statistique » souhaite aujourd’hui ; consciemment ou inconsciemment, en fonction de ce que son environnement lui a montré, de ce qu’il croit possible, concevable. On tombe donc dans une vision moyenne et statistique, qui a peu de chance d’être innovatrice » 15. 15 François Dert. L’art d’innover ou la conquête de l’incertain. Paris : Maxima, 1997

1 - Qu’est-ce que l’économie industrielle ? A) Son objet : Économie industrielle = étude des firmes selon trois axes : Leurs comportements en matière de production et de vente ; Les interactions qu’elles entretiennent entre elles et avec leur environnement ; Les conséquences de ces comportements interactifs sur la structure des marchés ; B) Ses méthodes : deux approches (non exclusives) : Une approche descriptive (après la crise des années 1930) = analyse globale des marchés selon la séquence SCP

sur terre et les pénuries d’énergie viennent encore ajouter des facteurs à notre grille d’analyse et brouiller notre prospective. La crise économique, que nous traversons, ne constitue pas une nouveauté, mais participe également à renforcer cet environnement d’incertitude. Le lecteur consciencieux de cette revue n’aura pas de réponse sur l’avenir du monde, ni sur le fait de savoir si les risques évoqués sont manifestement exagérés ou sous-estimés. Il pourra, en revanche, se forger une opinion sur l’importance

C. GUERARD 28 Deuxième partie : L’éffort de fidélisation Mais la fidélisation n’est pas qu’une question financière comme le précise Benjamin CHAMINADE1 la fidélisation est « une action volontaire de l’entreprise de mettre en place un environnement qui maintient durablement l’attachement des salariés à elle-même. Cette relation d’attachement durable et constante qui lie le salarié à son entreprise est basée sur des valeurs partagées ». Mettre en place une politique de fidélisation consiste