Epicure Et Libertinage

contribuent à l'expansion de cette idée-là. La renaissance est un mélange de sacrétisme. 3. Querelle des Anciens et des Modernes. « Crise de la conscience européenne » par Paul Hazard en 1635. Il prend acte de l'apparition de nouveaux modèles : Libertinage (de l'esprit) qui se dégage de la pensée chrétienne (au 17e siècle). Il prend acte de la politique croissante. Révocation de l'Edit de Nantes par Louis XIV en 1685 (proclamation par Henri IV en 1598, droit de culte aux protestants en France). Certaines

bienheureux ; s’ils s’engagent dans la guerre, ils cherchent leur bonheur dans la victoire ; s’ils s’accordent avec leurs ennemis, ils cherchent la félicité dans la paix ». L’idée se trouve aussi chez les auteurs libertins : voir Pintard René, Le libertinage érudit..., p. 482. Selon Gassendi, un seul principe semble inné et universel, le désir de bonheur. On peut fonder sur lui une éthique, pas une théologie naturelle. Voir Opera, III, p. 417-418. C’est le motif de toutes les actions de tous les

Socrate, qui n’écrit rien (on sait tout grâce à Platon). Ce dernier va écrire des dialogues entre Socrate et une autre personne (les ouvrages portent le nom de cette personne). Platon ⇾ L’Académie 5-4 Aristote (élève de Platon) ⇾ Le lycée 4 Epicure ⇾ Le Jardin 3 Les Stoïciens ⇾ Le Portique 3 av JC ⇒ 3 ap JC (un mouvement) 1film Gladiator Athènes Raison : capacité à rendre des comptes ↓ ration = calcul Sophistes = expert/beaux-parleurs Importance de la rhétorique

libres penseurs et révélant les solidarités entre les ≠ parties. Autres dialogues chez H : Enquête sur l’entendement humain, XI (d’abord intitulée : « des csq pratiques de la relation naturelle ») : dialogue encadrant un long discours prêté à Epicure, pour ne pas prendre directement en charge l’exposé, atténuer la brutalité de la thèse,[7] et la rendre inessentielle, sans importance. Enquête sur les pp de la morale (51), dialogue conclusif sur la relativité de la morale : faux récit d’un voyage

avons accès à tous et, si notre grandeur d’âme est capable de dépasser l’étroitesse de la veulerie humaine, beaucoup de temps se révèle disponible à notre exploration. Nous pouvons débattre avec Socrate, douter avec Carnéade, trouver la paix avec Épicure, vaincre la nature humaine avec les stoïciens, la mettre de côté avec les cyniques. Puisque la nature supporte de partager avec nous l’accès à toutes les époques, pourquoi ne pas nous élancer de tout notre cœur, délaissant, l’exigu et bref corridor

d'où une certaine nécessité de conciliation, si l'on veut rendre raison de tous à la fois, et cependant expliquer le mal à partir de Dieu . On trouve le problème du mal très bien formulé par Lactance, dans La Colère de Dieu, 13, 19, qui attribut à Epicure cet acte d'accusation à Dieu: 7 « Dieu ou veut éliminer le mal et ne le peut, ou il le peut et ne le veut, ou ne le veut ni le peut, ou le veut et le peut. S'il le veut et ne le peut il est impuissant, ce qui ne convient pas à Dieu. S'il le peut et

pas tant du confort et des commodités pour eux-mêmes que pour ce qu’ils permettent d’obtenir. L’art induit par la science n’est pas la fin véritable, la technique n’est pas la fin ultime, pas plus que la puissance, ni la jouissance matérielle (libertinage) La fin est plus haute : c’est la sagesse et le bonheur. Les progrès de la science seront des progrès pour le bien général de l’humanité. Découverte de l’idée de progrès, la vérité et le bien ne sont pas dans le passé (renaissance) mais dans l’avenir

conséquences respectives est la condition première de la disparition du mal. Une éducation de l’individu paraît dans cette perspective possible, et le mal cesse en tous cas d’être perçu par l’imagination comme une puissance par elle-même attrayante. ● Epicure (341-270 avant JC) arrive dans sa Lettre à Ménécée à des conclusions similaires, mais à partir d’une définition un peu différente du mal. Celui-ci réside moins dans l’erreur que dans la douleur. Le mal est donc d’abord le mal subi, et qui entraîne

ÉPARGNE (Caisse d’) : Occasion de vol pour les domestiques. ÉPÉE : On ne connaît que celle de Damoclès. Regretter le temps où on en portait. « Brave 22 comme une épée. » Quelquefois elle n’a jamais servi. ÉPÉRONS : Font bien à une paire de bottes. ÉPICURE : Le mépriser. ÉPINARDS : Sont le balai de l’estomac. Ne jamais rater la phrase célèbre de Prudhomme : « Je ne les aime pas, j’en suis bien aise, car si je les aimais, j’en mangerai et je ne puis pas les souffrir. » (Il y en a qui trouveront cela

pas tant du confort et des commodités pour eux-mêmes que pour ce qu’ils permettent d’obtenir. L’art induit par la science n’est pas la fin véritable, la technique n’est pas la fin ultime, pas plus que la puissance, ni la jouissance matérielle (libertinage) La fin est plus haute : c’est la sagesse et le bonheur. Les progrès de la science seront des progrès pour le bien général de l’humanité. Découverte de l’idée de progrès, la vérité et le bien ne sont pas dans le passé (renaissance) mais dans l’avenir