Epistémologie Clinique

Il n y a pas de vérité sans accord entre les esprits. La certitude corrompt dangereusement ce critère fondamental de vérité. Celui qui est « sûr »rend la vérité impossible. Il met en péril la raison universelle. Or, les certitudes ne sont pas des démonstrations. Elles n’ont pas besoin de preuves pour exister. Elles puisent leur force dans un sentiment intérieur assez intense pour leur donner l’apparence de la vérité. Ici se pose un problème conceptuel : le doute n'est-il pas préférable à la certitude

– Inscrire son projet de recherche dans un cadre épistémologique 13 1. Qu’est-ce que l’épistémologie ? Le terme épistémologie est apparu au début du xxe siècle pour désigner une branche de la philosophie spécialisée dans l’étude des théories de la connaissance. Il est peu à peu devenu synonyme de philosophie des sciences, la première acception possible du terme « épistémologie ». Une seconde acception, plus pertinente dans le cadre de cet ouvrage, correspond à celle de Piaget4 (1967, p. 6) :

Mémoire de Master 2 Recherche Année universitaire 2008-2009 Pratiques et conceptions des professeurs d’anglais : le cas de l’enseignementapprentissage de la culture en cours d’anglais langue étrangère en France CONCLUSION GÉNÉRALE Dans le cadre de cette recherche, je me suis intéressée à une dimension majeure de l’enseignement-apprentissage des langues étrangères, la culture, en prenant appui sur les nombreux travaux qui s’y sont intéressés, sur les programmes et sur le Cadre europé en qui en font

philosophie peut lui fournir. La philosophie doit se mettre à la hauteur des sciences contemporaines Le but de Bachelard n'est pas de distinguer la connaissance scientifique de la connaissance non-scientifique, car cela reviendrait à élaborer une épistémologie sur le modèle cartésien ou kantien. Son but est de montrer au contraire que toutes les connaissances deviennent non-scientifiques si elles n'intègrent pas les nouveaux éléments de la découverte scientifique. Or, le développement des sciences et

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL THE STRUCTURE AND CONTENT OF TRUTH Par : Maxime Poulin Le 1er mai 2006 INTRODUCTION Dans le texte qui m’a été proposé dans le cadre de ce travail, on remet en question certaines conceptions contemporaines du concept de vérité. On apporte le concept dans un nouveau concept. On tente de le sortir du domaine restrictif de la philosophie. Tout comme la nouvelle analyse du concept que nous proposera Davidson, on tente de la démontrer comme étant accessible

Association Française de Science Politique Groupes « Politiques publiques » et « Local et Politique » Journée d’étude les 15 & 16 juin 2006 à l’Institut d’Etudes Politiques de Grenoble LES POLITIQUES PUBLIQUES A L’EPREUVE DE L’ACTION TERRITORIALE -----communication de : Thierry Berthet (CERVL-CNRS) L’Etat social à l’épreuve de l’action territoriale : Postmodernité et politiques publiques de proximité dans le champ de la relation formation-emploi. 1 L’Etat social à l’épreuve de l’action

L’europe au microscope du local. Manifeste pour une sociologie politique de l’intégration communautaire. Romain Pasquier & Julien Weisbein Les « études européennes » constituent un ensemble bien établi de pratiques scientifiques avec un objet (le processus d’intégration communautaire), une communauté grandissante de chercheurs spécialisés (dans leur formation comme dans leurs objets de recherche), des sociétés savantes (dont notamment l’ECPR(1) : (1) European Consortium for Political Research

L'EXPÉRIENCE Définition : I°/ EXPÉRIENCE, du latin experientia : a) C'est une épreuve pour démontrer ou étudier quelque chose. Plus précisément, une épreuve scientifique instituée pour examiner les phénomènes et rechercher les lois qui les régissent, en les reproduisant artificiellement. Une expérience de physique, de chimie par exemple. Expérience, désigne aussi la méthode expérimentale (hypothèse + expérimentation), c'est-à-dire l'ensemble des moyens et procédures de contrôle destinés

1. Existe-t-il une définition unique de la philosophie, selon Russell? Rép : Oui 2. Quelle définition donne-t-il de la philosophie? Rép : C’est spéculer sur des sujets ou une connaissance exacte n’est pas encore possible. 3. Quelle différence Russell établit-il entre science et philosophie? Rep : La différence c’est que : La science c’est ce que nous connaissons et la philosophie c’est ce que nous ne connaissons pas. 4. Quels exemples donne-t-il pour illustrer l’idée suivant laquelle

" L'évidence première n'est pas une vérité fondamentale. En fait, l'objectivité scientifique n'est possible que si l'on a d'abord rompu avec l'objet immédiat, si l'on a refusé la séduction du premier choix, si l'on a arrêté ou contredit les pensées qui naissent de la première observation. Toute objectivité, dûment vérifiée, dément le premier contact avec l'objet . Elle doit d'abord tout critiquer: la sensation, le sens commun, la pratique même la plus constante, l'étymologie enfin, car le verbe,