épistémologie Géographie

HISTOIRE ET EPISTEMOLOGIE DE LA GEOGRAPHIE étude des termes : → Epistémologie : histoire d'une discipline (epistémè = connaissance) construction du savoir. Sert à établir des paradigmes scientifiques = ensemble des connaissances dominantes dans une discipline admises par la communauté scientifique à un temps T. → Géographie : géo= gê/gaia = la terre. Graphein = écrire ou dessiner. décrire ou dessiner la terre Géographie régionale : connaissance d'une région du monde dans ses composantes

au CAPES d’histoire-géographie, Seli Arslan, 2001 Fiché par Twixy L’Epreuve sur dossier au CAPES d’histoiregéographie Théorie et sujets corrigés Epistémologie de la Géographie « L’épistémologie d’une discipline se définit comme l’étude critique d’une science destinée à déterminer son origine logique, sa valeur, sa portée. » La géographie vidalienne ou géographie classique La géographie scientifique était née avec P. Vidal de la Blache avec pour modèle la géographie scientifique allemande

Epistémologie des sciences sociales CM1 16.09.2014 Site de CLERSE Politique de la ville (1977) : action de l’état et des acteurs publiques au sens large, action impulsée par l’état aux collectivités qui visent à répondre à des pbs sociaux et urbanistiques dans des territoires sélectionnés par des critères sociaux. C.f : Politique de la ville, HAMMOUCHE (voir la chronologie à la fin du livre qui permet de voir comment elle nait, cmt elle s’exprime et cmt elle s’affirme) La recherche :

essence. "Est po ce qui est considéré à un moment donné dans un lieu donné comme po. .analyse des faits: dc dimension po. Etiquetage: port du foulard dépend de zone ds monde. Scandale sexuel en po. Histoire privée devient po. Etiquetage dépend de : GEOGRAPHIE – HISTORIQUE – LIEU/TEMPS quoi. Phénomène de politisation: - TOP-DOWN, par le haut: agenda po. Chirac handicap, je suis élu je décide. Sarko pub tv. - BOTTOM-UP: ascendant par citoyens: concerne tt le monde. Engagements. Pb global de sté.

savoirs. C'est un problème didactique toujours ouvert que d'articuler savoirs et connaissances (Conne, 1992) ; sa solution passe, entre autres, par la création didactique d'objets à enseigner, travail de transposition qui ne peut se faire sans cette épistémologie expérimentale que constitue la recherche en didactique. Brousseau (1983) exprime ce projet lorsqu'il écrit (c'est nous qui soulignons) : " Nous admettrons donc que la constitution du sens, tel que nous l'entendons, implique une interaction constante

« Développement des Systèmes d’Organisation » 292 rue Saint Martin 75 141 Paris Cédex 03 France Téléphone ++ 33 (0)1 40 27 21 63 FAX ++ 33 (0)1 40 27 26 55 E-mail yvon.pesqueux@cnam.fr Site web lirsa.cnam.fr « Epistémologie des sciences de gestion » Chapitre 1 : Pour une épistémologie des organisations Introduction C’est depuis l’apparition de la grande organisation comme phénomène social suffisamment important que se pose la question de la construction d’un champ de savoir qui lui soit spécifique

ancienne ou nouvelle, à s’interroger sur les modes d’évaluation et de légitimation des connaissances qu’elle produit et enseigne ; autrement dit, selon le mot de J. Piaget, à s’exercer à sa propre ‘critique épistémologique interne’… - Systémique et épistémologie. Je fus, dès la rédaction de ‘La théorie du système général, théorie de la modélisation’, attentif à cette nécessaire probité intellectuelle requise par l’exercice : Comment légitimer culturellement et scientifiquement la théorie que l’on veut

ancienne ou nouvelle, à s’interroger sur les modes d’évaluation et de légitimation des connaissances qu’elle produit et enseigne ; autrement dit, selon le mot de J. Piaget, à s’exercer à sa propre ‘critique épistémologique interne’… - Systémique et épistémologie. Je fus, dès la rédaction de ‘La théorie du système général, théorie de la modélisation’, attentif à cette nécessaire probité intellectuelle requise par l’exercice : Comment légitimer culturellement et scientifiquement la théorie que l’on veut

subissent à la fois. La société n‟est dans ce cas que le nom donné à un ensemble d‟individus, liés entre eux par des actions réciproques et que par conséquent on considère comme constituant une unité » (op. cit. repris dans G. SIMMEL, Sociologie et Epistémologie, PUF, 1981, p. 90). Sans la développer ici, on retrouverait également une filiation indéniable avec l‟approche de Norbert ELIAS (La société des individus, Fayard, 1991). 26 Dans un autre texte, le même auteur tire les conclusions de cette

propre utilité. Je ne sais pas s’il y aurait eu autant de monde si on avait organisé un débat sur « à quoi sert la biologie », « à quoi sert la géologie » ou même « à quoi sert l’histoire ». On essaye de faire de l’histoire, on essaye de faire de la géographie ; la philosophie, elle, se pose la question de sa propre utilité. Troisième remarque : À quoi sert la question « à quoi sert ? ». Pourquoi posons-nous toujours la question « à quoi sert quelque chose ? » comme si c’était la seule question qui donnait