Équation cartésienne

e • la r´sistance lin´ique R (Ω.m−1 ), li´e aux pertes dans les conducteurs. e e e • la conductance lin´ique G (S.m−1 ), li´e aux pertes dans les di´lectriques. e e e On a donc le circuit suivant le long d’un tron¸on de longeur ∆x c 2 2.1 Equations g´n´rales de propagation e e Mise en ´quation e ´ ´ Ondes Electromagnetiques- Chap 7: Propagation sur les lignes de transmission– TELECOM 1A (r0ro) Page / Th´orie de Kirchhoff e v(x, t) = v On pose : i(x, t) = i v(x + ∆x, t) = v + ∆v

et attireront le snake. 2.1.4. Déformation du contour actif : Pour déformer le contour actif, on pose v ( x, y ) comme étant la coordonnée généralisée pour la réduction des équations du mouvement donné par l’équation de Lagrange. D’où la minimisation de la fonction J suivante : J = T I(v(s)) (5) (11) Les équations d'Euler-Lagrange mouvement de contour deviennent: ∂ (L ) − ∂ ∂ (L ) − ∂ ∂ (L ) + ∂ s ∂xs ∂t ∂xt ∂x relatives au ( ) ( ) (12) ∂ (∂ ∂ s ∂x 2 2 ss

Exercice n°71 page 180 Soit x le nombre de filles et y le nombre de garçons. Au total, il y a 440 élèves donc : 440 = … + … Puis, on compte 20% de filles de plus que les garçons donc : x = … Tu obtiens alors deux équations à deux inconnues : rassemble-les, elles constituent un système que tu dois résoudre (utilise la méthode de ton choix parmi celles décrites dans les pages 172, 173 et 174 de ton manuel). Exercice n°72 page 201 a) Suis bien la démarche de construction donnée. Attention,

travaille avec seulement deux vecteurs dans un espace de dimension 3. L’équation u = xu1 +yu2 équivaut successivement à    x+y = 2  x+y = 2   4x = 7 (L2 + L1 → L2 ) 3x − y = 5 ⇐⇒    −2x = −5 (L − 4L → L )  2x + 4y = 3 3 1 3 Les deux dernières équations sont incompatibles, u n’est donc pas combinaison linéaire de u1 et u2 . 3. On reprend le même raisonnement. L’équation u = xu1 + yu2 équivaut successivement à    x+y = 3 3x − y = 1   2x + 4y = m ⇐⇒   x+y  = 3 4x = 4 (L2 + L1

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Linéariser une expression 2.1 Formule de Moivre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Formules d’Euler . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Équations du second degré à coefficients réels 1 1 3 5 6 6 7 7 1 1.1 Écritures d’un nombre complexe Forme algébrique Définition 1 Un nombre complexe est un nombre s’écrivant sous la forme z = a + ib où a ∈ R et b ∈ R et i est tel que i2 = −1. L’ensemble

recherche a le coefficient directeur donc tu pose a= yb-ya/xb-xa ( yb=400. Ya=390. Xb=4 et xa=o) Après pour trouver b tu te dis que il est solution de ta premiere équation ya=axa +b ( tu sais comment on fais pour trouver b tu le passe de l autre cote et tu fais venir le y de l autre Après des que ta trouver tu remplace y =ax+b et tu as ton equation Pour la question d'après y = lamda et x= L Après en noires cest les principales raie d absorption Bon pour remplir les 2première ligne du 2eme tableau tu

cinétique : Energie potentielle : car Lagrangien : Action : PRINCIPE des Systèmes dynamiques : l'action est stationnaire par rapport à v(x,t) solution Mise en oeuvre : si v(x,t) est solution des équations de la dynamique • pour toute variation (v(x,t) de v(x,t) qui respecte les Conditions aux Limites, • la variation de S est d'ordre supérieur : Calcul pratique : (v(x,t) induit (v,t(x,t) et (v,x(x,t) [pic] au premier ordre

dépend de la consmmation. Valeur absolue : sans chiffres négatifs Ecartype : mesure l’écart à la moyenne . Moyenne des écarts à la moyenne . Régression : estimation de la représentation d’ une relation entre le phénomène X et le phénomène Y. Equation que l’on cherche à trouver Point aberrant : point qui est très éloigné du nuage de points , et qui s’expliquent par des raisons particulières , indépendantes de ce qui joue sur les autres points u nuage e points . Optimisation : Optimiser une

ci-dessus) • Courbe quelconque : on associe les expressions données grâce à la calculatrice Lien Courbe ↔ Expression • Parabole (2nd degré) : on utilise la forme canonique si on a le sommet, on résout une équation avec un autre point de la parabole. Antécédents de b par f Équation f(x) = b 2 x+1 3− x Les antécédents de 1 par f sont les solutions de 2 x+1 =1 l'équation f(x) = 1 : f ( x)=1⇔ 3− x 2 donc 2 x+1=3− x⇔ 3 x=2 ⇔ x = 3 exemple : f ( x)= Variations de f f croissante  la

a) 33-2²-41-3² b) 254×2,5-54 ×5261 (0,5pt +0,5pt) 3) Résoudre dans IR les équations et inéquations suivantes : a) -3x+12=-5+2x b) d2x,1=4x-3 c) -3x+1>5 (0,5pt+0,5pt+0,5pt) d) d1,2x+4-3x=-2x+6